samedi 29 juin 2013

Tour de France : un accident de bus perturbe l'arrivée de la 1re étape

L'Allemand Marcel Kittel (Argos-Shimano) a remporté la première étape du Tour de France à Bastia. Une première journée en Corse marquée par un fait rarissime sur la ligne d'arrivée et l'accident d'un bus d'équipe.

Le 100e Tour de France a démarré sur les chapeaux de roues. La première incursion de la Grande Boucle en Corse restera sans nul doute dans les annales avec des images inattendues pour marquer ces débuts. Un accident rarissime s'est déroulé lors de la 1re étape à Bastia, mais bien loin du peloton. Alors que les coureurs étaient à moins de 20 km de l'arrivée, le dernier bus des équipes à franchir la ligne pour rejoindre la zone réservée derrière l'arrivée a heurté le portique placé sur la ligne. Il est resté bloqué de longues minutes sans pouvoir bouger, obligeant les organisateurs de l'épreuve à repenser dans l'urgence l'issue de l'étape.
En quelques minutes, la panique s'est emparée du peloton lancée à vive allure dans les derniers kilomètres tandis que les différentes équipes s'organiser pour finir fort. L'étape fut initialement raccourcie pour que l'arrivée soit jugée à 3 kilomètres du but prévu, sans possibilité de photo finish départageant les coureurs, dans un secteur délicat et sur une chaussée étroite alors que le peloton allait arriver groupé.
 
Tous les coureurs classés dans le même temps
Alors que les 198 coureurs se concentraient sur les consignées passées dans leurs oreillettes, une vaste chute expédiait une bonne partie d'entre eux au sol dont Peter Sagan, candidat à la victoire du jour. Alberto Contador et le champion du monde Philippe Gilbert étaient eux aussi retardés. Un moment de panique pour les concurrents avant que le bus ne parvienne à être dégagé et que les commissaires de course ne se décident finalement à faire disputer l'arrivée de l'étape sur la ligne initialement prévue, après 213 km entre Porto-Vecchio et Bastia.
Privée de plusieurs favoris ralentis ou pris dans les chutes, la victoire a souri au sprint à l'Allemand Marcel Kittel (Argos Shimano) qui a devancé Alexander Kristoff (Katusha) et Danny Van Poppel (Vacansoleil). Kittel endosse du même coup le maillot jaune de leader d'un classement où tous les coureurs ont été classés dans le même temps. Les équipes vont désormais compter leurs blessés avant de reprendre dimanche pour la deuxième étape entre Bastia et Ajaccio

L'ours attaque en Couserans : 4 brebis tuées, 15 perdues

Pour Patrick Coumes, éleveur à Seix et membre du groupement pastoral de Fonta, la saison d’estive a débuté de la manière la plus tragique qui soit. Le 9 juin, il avait mené son troupeau de deux cents brebis en altitude, comme il le fait depuis dix ans, mais avec la gorge nouée. Une semaine plus tard, il a subi l’une des premières attaques d’ours de la saison. «En milieu de semaine, l’ours avait été vu à proximité de l’estive, relate Patrick Coumes. J’étais inquiet : le contrat de mon berger ne commençait que quelques jours plus tard. J’avais repoussé son arrivée en raison du mauvais temps. Le dimanche 16, on a vu des vautours tourner au-dessus de l’estive. Des témoins m’ont prévenu». Patrick Coumes comprend immédiatement qu’il s’est passé quelque chose. L’inquiétude chevillée au corps, il prend la direction de l’estive. «J’ai découvert quatre brebis, dans un sale état, à différents endroits, reprend l’éleveur. Sur l’effectif du troupeau, il manque quinze bêtes de plus, qui n’ont pas été retrouvées. Pour quelques jours d’estive, l’addition est sévère». Prévenu, e groupe de suivi de l’ours a examiné la dépouille des quatre brebis et a confirmé l’attaque. Les quatre animaux seront indemnisés, mais pour Patrick Coumes, le compte n’y est pas.
«Au total, j’ai bien perdu 19 bêtes reprend l’éleveur. Normalement, je dois redescendre d’estive aux alentours du 15 octobre. Les attaques peuvent cesses, mais elles peuvent aussi continuer. A Coufflens, l’an dernier, il y a eu une plus d’une cinquantaine. On en a compté deux, depuis le début du printemps, à Sentein. L’éleveur a perdu huit bêtes d’un coup et est redescendu au bout de huit jours d’estive. Pour moi, l’attaque représente une grande perte. Ce ne sera bientôt plus possible de continuer à exercer ce métier. Je monte depuis dix ans, c’est devenu invivable, et personne ne dit rien».
Et de lancer une pique en direction de l’équipe du suivi : «Elle avait connaissance de la présence de l’ours mais, depuis plusieurs années, elle ne prévient plus les éleveurs», explique-t-il.
Au total, 144 attaques d’ours ont été dénombrées, l’an dernier, en Ariège. L’enveloppe des indemnisations s’élève à quelque 100 000 €. Le chiffre était en augmentation par rapport à l’année précédente

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/29/1661479-quatre-brebis-tuees-quinze-perdues.html

vendredi 28 juin 2013

Terrorisme : 4 des 6 suspects déférés

Quatre des six suspects arrêtés lundi en région parisienne dans le démantèlement d'une cellule islamiste présumée ont été déférés vendredi à l'issue de leur garde à vue, en vue de leur présentation à un juge d'instruction.

Il s'agit de trois Français de 22, 31 et 34 ans et d'un Béninois de 27 ans. Les deux autres interpellés ont été remis en liberté. Ce coup de filet avait été réalisé à Stains, en Seine-Saint-Denis, Trappes dans les Yvelines, et Roissy-en-Brie, en Seine-et-Marne


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/28/97001-20130628FILWWW00356-terrorisme-4-des-6-suspects-deferes.php

jeudi 27 juin 2013

Solidays, le son de générosité

Le festival, qui se déroule le week-end prochain, fête ses 15 ans de lutte contre le sida. Les préventes sont - déjà - presque complètes. 
 
Les billets sont déjà vendus pour les 28 et 29 juin, de même que le camping et l’espace kids! Restent des places pour le 30, mais "ce sera sans doute la première fois que le festival sera complet avant son ouverture", se réjouit Luc Barruet, directeur-fondateur de Solidarité sida et créateur du festival. Avec son équipe, il assure 80 % du financement de l’événement en amont, avec des donateurs privés et publics, au premier rang desquels l’Île-de-France, région la plus touchée par ce fléau. La billetterie couvrira donc les 20 % restants, et tout le reste des recettes sera attribué, via des commissions, à des associations et des projets de lutte contre le sida. Le festival est une extraordinaire vitrine pour la lutte contre cette maladie.
Cette année encore, trois jours et trois nuits de programmation alternent têtes d’affiche et découvertes : parmi les 80
concerts
, les spectateurs attirés par David Guetta, Bloc Party, Orelsan, Kery James, Lilly Wood and the Prick, Tryo, Naive New Beaters, ou Asaf Avidan repartiront en ayant aussi découvert The Coup, "des rappeurs new-yorkais très groove", Che Sudaka, "que l’on compare à Manu Chao et qui, à chaque fois, scotche tout le monde", l’électro de Goose, "exceptionnels sur scène" ou les fabuleux mix électro-orientaux d’Acid Arab. Petit bonus spécial 15 ans : -M-, tout juste sorti du Zénith, viendra enflammer, le 28 au soir, une Mojo Party pleine d’invités surprise. La convivialité est toujours au menu, "avec encore plus de restaurants du monde", des manèges, du saut à l’élastique, un Green Corner et ses massages, les créations lumineuses du collectif TILT…

Une nouvelle campagne importante

Les 165.000 festivaliers attendus seront aussi en contact avec 100 stands d’associations, dont un quart dédié à la lutte contre le sida, et (re) verront l’exposition de prévention ludique Sex in the City, ainsi que l’émouvant patchwork des noms à la mémoire des victimes du virus. Cette année, le festival lance aussi une campagne importante : "Dans les prochaines semaines, rappelle Luc Barruet, la France doit se prononcer sur sa contribution au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Les grandes puissances ont annoncé l’accès au traitement contre le sida, dans le monde entier, pour 2015. En temps de crise, il faut que la France et les États-Unis, les deux premiers contributeurs du fonds, envoient un signal fort aux autres pays, tentés par le repli."
 Du 28 au 30 juin, Hippodrome de Longchamp. www.solidays.org/Solidays-2013
 

Mère tuée : le fils incarcéré

Le jeune homme de 19 ans suspecté d'avoir tué sa mère le 12 juin à Valleiry en Haute-Savoiea été mis en examen et incarcéré, a-t-on appris aujourd'hui. Placé en garde à vue le jour du drame, le jeune homme, qui était suivi par un service psychiatrique, avait été hospitalisé d'office quelques heures plus tard. Il a été à nouveau placé en garde à vue hier puis présenté au juge d'instruction en charge de l'enquête, qui l'a mis en examen pour homicide volontaire ce matin.

Il a été incarcéré dans la foulée, après être passé devant le juge des libertés et de la détention. L'autopsie réalisée sur sa mère, âgée de 54 ans, avait montré qu'elle était morte des suites de coups de couteau. Elle a reçu une cinquantaine de coups de couteau dont trois mortels.

C'est le fils aîné qui avait découvert sa mère gisant sur le sol de sa maison, mercredi 12 juin vers 10H00, et qui avait tenté de la ranimer. Sa mère l'avait appelé peu auparavant "parce que son frère plus jeune n'allait pas bien et qu'elle voulait qu'il intervienne", selon le parquet. La commune de Valleiry, située à la frontière suisse, compte 3800 habitants, dont une grande partie sont des travailleurs frontaliers.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/27/97001-20130627FILWWW00568-mere-tuee-le-fils-incarcere.php

Audition de Cahuzac : "C'était une mascarade", s'insurge Christian Jacob

lundi 15 avril 2013

Fort de Condé : un 10e anniversaire haut en couleur

Le Fort de Condé rouvre ses portes le 15 avril avec, en plus des visites, un programme d'animations haut en couleurs qui célébrera le 10e anniversaire d'ouverture au public de l'édifice.
En plus des visites habituelles relancées à partir du 15 avril, le Fort de Condé accueillera la première manifestation marquant les dix ans de son ouverture au public, dès le lendemain, à partir de 18 heures.
Cette animation s'inscrit dans le programme de la journée mémoire au Chemin des Dames proposée par le Département. Le groupe Tichot interprétera Une Vie d'bonhomme pour rappeler comment les gens chantaient la guerre.
Le dimanche 5 mai, un grand spectacle équestre sera offert par la compagnie cheval, dirigée par Marc Devallois. Une première exposition aura lieu du 1er juin au 14 août : Les Gravures de poilus. Elle présentera une série photographique de gravures laissées par les soldats de 14-18 dans les carrières du Val de l'Aisne, inaccessibles aujourd'hui au public. Ce sera ensuite la MJC de la Vallée de l'Aisne qui prendra, comme chaque année, possession des lieux, les vendredis et samedis, à 21 h 30, du 7 au 22 juin, pour un grand son et lumière théâtral : Le Cabaret des enragés.
De mystérieuses créatures
Les enfants se produiront également le 25 juin avec la comédie musicale Les Misérables, interprétée par les élèves de l'école primaire de Bucy-le-Long, sous la direction de Nathalie Doyhamboure. Fort en Fête aura lieu cette année les samedi 29 et dimanche 30 juin, avec de mystérieuses créatures en invitées vedettes pour le 10e anniversaire.
Le 19 juillet, le festival Jardins en scène posera ses valises dans l'enceinte du fort avec la compagnie « 3 points de suspension ». Du 24 août au 8 novembre, l'arboretum sera à l'honneur avec une exposition sur le thème de l'arbre, en parallèle avec sa visite guidée. Un ajout de dernière minute au programme : le conseil général a retenu le site pour organiser le spectacle de clôture de L'Été du conseil général avec la compagnie Circ Panic et son nouveau spectacle : L'Homme qui perdait des boutons.
Il sera bien sûr possible de visiter l'édifice et de participer aux animations permanentes comme « Mission Impossible » ou « Le mystérieux carnet de Séré de Rivière » et, pourquoi pas, « Le secret des 5 lettres ». Tous les spectacles, à part celui de la MJC, seront gratuits ou au prix de l'entrée au fort c'est-à-dire 5 € pour les adultes, 3 € pour les 10 à 18 ans et gratuit pour les moins de 10 ans.
Contact au 03.23.54.40.00.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/fort-de-conde-un-10e-anniversaire-haut-en-couleur

samedi 6 avril 2013

Les alchimistes du pixel

«Tout est support ». À transformer la matière, créer l’illusion, « troubler les sens et perdre ses repères ».
Ainsi les artistes du collectif lorrain « Paradigme » conjuguent-ils le pixel à tous les temps, au gré d’une imagination sans bornes avec la création numérique pour horizon.
Nancy. Dans la Grande Salle de L’Autre Canal plongée dans le noir, se distinguent à peine trois quatre têtes dans la pénombre, cachées derrières de nombreuses consoles, coiffées de lunettes. Les yeux rivés sur l’écran de fond de scène, oreilles dressées vers les deux musiciens qui campent la scène et doigts plantés dans leurs claviers, les créatifs sont à l’œuvre. Pour s’immerger dans le spectacle en préparation, il faut chausser des lunettes 3D.
Sur scène le duo électro messin Abstract sound project (ASP). Dans la salle, le spectateur est plongé dans l’univers fascinant du duo. Les sens en ébullition. Une première pour ce show audiovisuel innovant qui sera prochainement présenté et produit par la salle nancéienne.
Un premier « retour aux sources », aussi pour ce jeune collectif. « Nous avons débuté en collaboration avec ASP », se rappelle Anthony Zollo, chargé de projet de Paradigme.

De Metz au Costa Rica en passant par le Portugal, l’Italie et l’Espagne

Ce « Nous » est né en 2010 de la rencontre de sept passionnés d’informatique, sept « geeks » nancéiens et messins, « une réunion d’artistes avec le numérique pour finalité. Un collectif car nous partageons des valeurs humaines communes, une même vision des choses. Paradigme, s’impose », raconte Anthony Zollo chargé de projet du groupe. Le collectif qui maîtrise à la perfection l’art du vidéo mapping (l’animation visuelle projetée) s’est fait un nom à travers la planète. « Le phénomène a explosé en deux ans et nous a permis d’émerger à l’instar d’autres Français comme AntiVJ et 1024. Il y a dans les arts numériques une communauté très soudée dans laquelle existe une notion de partage. Beaucoup de «geeks» évoluent dans ce milieu où l’on pratique une langue particulière. Nous parlons programmation en ligne, codes et tutoriels. Mais au-delà de la maîtrise de l’outil il y a le talent et la créativité ».
Leur première création réalisée à l’Hôtel de Région pour la 3e édition de Nuit Blanche à Metz en 2010, les a rapidement propulsés au-devant de la scène numérique. En 2011, c’est le DJ Laurent Garnier qui en appelle à Paradigme pour son concert à l’Autre Canal, puis le collectif réalise la même année un vidéo mapping architectural sur la façade de la Villa Tittoni à Milan, œuvre au Mira Festival de Barcelone, en Avignon, au Luxembourg, au Portugal, au Costa Rica…
Fin 2012, les artistes sont récompensés par une « Trophée de la Nuit », pour avoir pris le pari fou de créer pour l’établissement de nuit « Le Best Of » en Alsace. « Notre première installation permanente. La boule à facettes du futur », sourit Anthony Zollo. Une installation sculpturale plastique et numérique imaginée par le directeur artistique du collectif, Cédric Bachorz alias Diez. « Nous avons intégralement redesigné l’architecture intérieure du lieu. Chaque vis, chaque découpe est partie intégrante du système de vidéo projection pour lequel nous avons créé une vidéothèque qui peut être mise à jour à l’envi et un logiciel qui rend l’installation interactive avec la musique du lieu ».
« On joue à domicile sur la plus belle place de Lorraine»
2013 marque le retour en Lorraine. « On joue à domicile sur la plus belle place de Lorraine ». En résidence à l’Autre Canal depuis plusieurs semaines, les artistes préparent, « dans une grande effervescence » et dans le secret du lieu une création qui inaugurera les festivités de Renaissance 2013 à Nancy.
Deux mois de production, « 24 heures sur 24 », pour 18 minutes d’une vidéo qui sera projetée à 270° sur cinq bâtiments de la place. Opéra Théâtre, Hôtel de la Reine, Hôtel de Ville, pavillon Jacquet et musée des beaux-arts. 300 mètres linéaires et près de 5.000 mètres carrés auxquels il faut donner vie. « Deux mois de galères pour une soirée de bonheur… », sourit Cedric Bachorz, directeur artistique du collectif. Ce sont pour ce spectacle, une 20e de personnes, créatifs, techniciens, graphistes… Qui travaillent non-stop à l’émotion du spectateur, pixel par pixel. Un appartement nancéien, prêté pour l’occasion a été transformé en QG. D’énormes serveurs vrombissants accompagnent le travail des graphistes. Pour aider à calculer les milliards de données numériques, « un informaticien d’une grande entreprise publique française, piqué de création numérique, est spontanément venu prêter main-forte pour développer des serveurs adaptés ». Ces mêmes milliards de données, « qui seront supprimées au lendemain du spectacle », ajoute le directeur artistique. À l’ébullition des sens, s’ajoute l’éphémère.
Depuis quelques années, la demande d’animation vidéo augmente. « Quand Nancy créé son spectacle, cela incite d’autres communes. Chacun veut mettre en valeur son patrimoine. » À des prix approchants de ceux d’un feu d’artifice, « c’est d’ailleurs un peu le nouveau feu d’artifices. Notre regard est porté vers l’avant, nous sommes des apprentis sorciers. Le public, lui, est vite blasé, exige de nouvelles expériences. Autour de nos installations, les gens discutent, échangent… ». L’expérience émotive de l’illusion numérique est accessible à tous et ne se contente plus du spectacle patrimonial. Tuning numérique, effets spéciaux en temps réel pour le cinéma, design virtuel et bal populaire 2.0, la ruée vers l’art « augmenté » est en marche.
Collectif Paradigme, plus d’infos sur www.paradigme.tv
 

mercredi 3 avril 2013

Cabaret vert / L'affiche de l'édition 2013

CHARLEVILLE-MÉZIÈRES (Ardennes). La nouvelle affiche du prochain festival du Cabaret Vert (du 22 au 25 août 2013) vient d'être révélée. Réalisée par le collectif nantais APPELLE MOI PAPA, elle présente l'incontournable sanglier ardennais offert sur un plat garni. « On a voulu parler de festin et de gauloiserie », indiquent les concepteurs. De sa gueule ouverte sort un avant-bras couvert de tatouages prolongé par une main brandissant l'index et l'auriculaire, figurant les cornes du diable. Un geste, en forme de clin d'œil à l'univers du rock-métal dont il est issu, mais repris désormais par un large public lors de nombreux festival de musique.
Le tout s'offre dans une esthétique rétro aux caractères déliés, avec un graphisme presque début de siècle, dominé par la couleur verte pour rappeler la dimension écologique du festival. L'ensemble du visuel invite le public à venir déguster un festin musical qui veut faire la part belle au rock au sens le plus large du terme (pop, hard-rock, électro, rap).


A VOIR SUR CE LIEN............. http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/cabaret-vert-laffiche-de-ledition-2013

dimanche 24 mars 2013

Meuse : la Grande Guerre en 3 D

La Somme, les Ardennes, la Meuse… Le tourisme de mémoire est à l’honneur au Salon mondial du tourisme, qui se tient jusqu’à dimanche porte de Versailles à Paris.
Des stands d’information, des itinéraires conseillés pour les prochains séjours touristiques. Mais aussi une animation phare : l’immersion sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale, grâce à des images stéréoscopiques vues en trois dimensions. Plus d’un millier de photographies d’époque prises en Meuse, la plupart empruntées au musée Niépce, de Chalon-sur-Saône. Des clichés triés par la société chalonnaise On Situ. « Ce sont des images prises avec un appareil stéréoscopique », souligne Tony, un employé de la société. « Elles ont été numérisées, retouchées sans modifier le caractère d’époque puis agrandies grâce aux moyens actuels. » Ces clichés, s’avancent vers le visiteur, muni de lunettes. « C’est troublant, les soldats regardent parfois droit vers l’objectif. Ce qui me fait une drôle d’impression », confie Mireille, une retraitée passionnée d’histoire.
Des scènes se rapportant à la guerre de 14, triées par thème : l’aviation, les tanks, les prisonniers… 41 séries au total, entrecoupées de commentaires écrits, traduits en français, allemand et anglais : « C’est le côté pédagogique et international du dispositif », se réjouit Joël Nogier, directeur du Comité départemental du tourisme de Meuse, en charge du projet. Car cette installation a vocation à tourner : sur les salons du tourisme de 2014, comme à Lyon, Toulouse ou Lille. En France, et à l’étranger, s’il y a des demandes.
« Ce qui est sûr, c’est que le public meusien pourra en profiter gratuitement au Centre mondial de la Paix, dans quelques semaines ».
Des photos « témoins », qui, à l’époque, n’étaient pas vraiment vouées au grand écran. « Il y avait une image pour l’œil droit, une pour l’œil gauche. Et les gens pouvaient les voir grâce à des visionneuses », explique Tony. Elles étaient en tout petit format. Cette double vision rend possible la triple dimension : « Il ne faut pas croire. Nous, on n’a rien inventé ! »

Une expo prévue en 2014

En 2006, pour le 90e anniversaire de la Bataille de Verdun, une partie de ces photos avait été présentée au Centre mondial de la Paix, lors d’une grande exposition de 600 m². Véronique Harel, chargée de mission en ingénierie culturelle au conseil général, en était à l’initiative. Son projet a été repris par le CDT pour célébrer le Centenaire.
De son côté, Véronique prépare une grande exposition en 2014 sur le thème : « Que reste-t-il de la guerre ? » L’occasion de mettre en communs des photos françaises mais aussi allemandes de la Grande Guerre. Et de dresser un bilan de la construction européenne. Ce sera à voir au CMP, pendant quatre ans, de 2014 à 2018. Et la 3D sera, encore une fois, au rendez-vous…

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/03/22/la-grande-guerre-en-3-d

vendredi 22 mars 2013

Cité de l'Espace : les robots attaquent

Dans les coulisses, le reste de l'équipe évalue la performance retransmise sur écran géant, pendant que, de l'autre côté, les pilotes livrent un combat acharné pour la victoire. Mais, au lieu de Formules 1, ce sont des robots, commandés par des jeunes âgés de sept à dix-huit ans, qui ont fait grimper la température hier à la Cité de l'Espace, lors de la qualification régionale pour les Trophées de la robotique.

Lancé il ya 20 ans

Au programme de cette initiative, lancée il y a vingt ans par Planète Sciences, empilage de verres, jet de balles et gonflage de ballons, le tout exécuté par des robots fait main. Car, avant de pouvoir participer, les onze groupes, venus du Grand Sud-Ouest, ont dû concevoir intégralement leur prototype.
Respect du cahier des charges, choix des matériaux et série de tests, autant de démarches qui n'ont pas dissuadé les douze membres de l'équipe «Qui s'y frotte s'y pique», élèves de l'école primaire La Cité des roses à Brive-la-Gaillarde : «On a fait notre robot avec des pièces de Mécano, expliquent de concert Romain, Antonin et Antoine. Ensuite, on a formé des groupes pour construire chaque partie. On y travaille depuis octobre! Mais c'était vraiment génial, et en plus on est qualifiés».
Comme eux, une autre équipe de Brive, ainsi que les garçons du lycée Vieljeux de La Rochelle et les lycéens de Jean Moulin à Béziers se sont qualifiés pour la finale nationale, qui se déroulera les 30 et 31 mars à Toulouse.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/17/1584214-cite-de-l-espace-les-robots-attaquent.html

lundi 11 mars 2013

Vieilles Charrues. Le DJ Paul Kalkbrenner s’annonce le 19 juillet

Décidément, les artistes programmés aux Vieilles Charrues ont bien du mal à tenir leur langue. Après -M- la semaine dernière, qui avait annoncé sur son site officiel sa présence à Carhaix vendredi 19 juillet avant de vite supprimer le message, c’est cette fois Paul Kalkbrenner, DJ allemand spécialiste de l’electro, qui vient d’en faire autant. C’est plus précisément " Nous Productions", son tourneur français, qui l’a annoncé sur son site avant, lui aussi, de le retirer. Mais, comme pour -M-, des internautes ont rapidement fait une copie d’écran comme le souligne le site sourdoreille.net.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/vieilles-charrues-le-dj-paul-kalkbrenner-s-annonce-le-19-juillet-06-03-2013-2026987.php

mardi 5 mars 2013

Cornouaille. Steve Hackett, Murray Head, Salif Keita et Carlos Nunez pour les 90 ans du festival

Pour ses 90 ans, les organisateurs du Cornouaille à Quimper (Finistère) ont choisi de conserver une formule identique à celle de l'an dernier : 6 jours pleins, du mardi 23 au dimanche 28 juillet inclus, et une fête répartie dans de nombreux lieux du cœur de ville, avec quatre sites principaux et un final intitulé Kemper en fête.


A l'Espace Gradlon, place de la Résistance, c'est là qu'on pourra applaudir les principales têtes d'affiche. Le mardi 23, Carlos Nunez, le Galicien, proposera une de ses seules dates françaises.

Le mercredi 24, le griot malien Salif Keita sera sur scène, une visite symbolique qui sera la première de l'artiste à Quimper. Le vendredi 26 juillet, l'évènement sera créé par l'un des deux seuls concerts français de Steve Hackett, avec son «Genesis revisited Tour». Un mythe ! Suivi le lendemain samedi, par un autre mythe, puisque cette année, on fête le vingtième anniversaire de L'héritage des Celtes, et on verra donc Dan Ar Braz remonter sur la scène de l'Espace Gradlon, avec sa dernière création «Célébrations», entouré du bagad Kemper, mais aussi d'un certain nombre des protagonistes de l'Héritage: Karen Matheson, Donald Shaw, Donal Lunny, ou encore Gilles Servat.

Le dimanche 28 enfin, c'est Murray Head, star des années 70 et 80, qui clôturera la série des grands concerts de l'Espace Gradlon.

Autres spectacles


Bien entendu, le Théâtre de Cornouaille proposera aussi quelques soirées: Une création musico-théâtrale le mardi 23, «Glenmor, l'insoumis», un évènement le mercredi 24 avec le spectacle «Kazut de Tyr» autour de Gaby Kerdoncuff, Jean Le Floc'h et Yves-Marie Berthou, mais surtout, le retour sur scène de Barzaz, pour la première fois depuis 15 ans (Yann-Fanch Kemener, J-M Veillon, Gilles Le Bigot, Alain Genty, Hopi Hopkins).

Autres spectacles programmés: une création du bagad de Vannes, Cécile Corbel, le championnat de Bretagne des cercles de la fédération War'l leur. Chaque soir également, l'Espace Evêché permettra pour 12 €, de suivre trois concerts à 19 h, 20 h 45 et 23 h. Au menu, entre autres: New Celeste, Breizharock (avec Pat O' May, Soïg Sibéril et le bagad de Guingamp), Konogan an Habask, la création El Taqa du groupe Startijenn, les Ramoneurs de Menhirs, Jean-Charles Guichen Group ou la dernière création du bagad Brieg.

Election de la reine de Cornouaille
Bien entendu, chaque soir est programmé un fest-noz à l'Espace Saint-Corentin, avec ce qui se fait de mieux en matière de groupes à danser breton (Loened, Fall, Skolvan, E Leizh...) avec comme il se doit, un fest-deiz/fest-noz marathon le dimanche 28, entre 14 h et 2 h du matin. Ce fameux dimanche, la ville sera bouclée, et pour 8 €, on pourra assister à l'ensemble des animations: Défilé de Kemper en fête, triomphe des sonneurs, concerts de bagadou, spectacle pyrotechnique, élection de la reine de Cornouaille.

La billetterie est ouverte dès vendredi après-midi, soit en ligne sur le site du festival, soit au 02 98 55 53 53.
 

lundi 4 mars 2013

Ce que vous allez découvrir au musée des Confluences dans 18 mois

Ouverture en novembre 2014

Le chantier du musée des Confluences avance. Le bâtiment doit être livré « en février 2014 », confirme le vice-président du Département, Jean-Jacques Pignard. « La couverture de l’extérieur doit être achevée dès mars. » Après la livraison, il faudra six mois « pour installer la muséographie », confie l’élu. C’est donc en novembre 2014 que les premiers visiteurs pourront découvrir le musée des Confluences. Mais que verront-ils ?

Le mammouth de Sainte-Foy, la baleine, deux dinosaures…

Les trois expositions permanentes, réparties sur 7 000 m² , s’appelleront « D’où venons-nous », « Qui sommes-nous », « Que faisons-nous ». Elles reprendront ce que l’on pouvait trouver dans l’ancien musée Guimet. C’est donc là que vous verrez le mammouth, le squelette de baleine, mais aussi deux squelettes de dinosaures « que nous avons acquis ces dernières années au prix d’un million d’euros chacun », révèle Jean-Jacques Pignard. « Ces trois salles nous permettront de mettre en évidence les collections de Guimet, dont seuls 10 % étaient visibles jusqu’alors. »

Déjà 17 expositions temporaires annoncées

Cinq espaces seront réservés aux expositions temporaires. « Certaines se feront en co-production, d’autres nous permettront de mettre en avant nos réserves pas exposées. » Il y aura cinq à sept expositions temporaires par an.

Le programme

« L’esprit Guimet en héritage » sera la première, de novembre 2014 à juin 2015. Une expo qui retracera l’histoire des musées lyonnais. Puis, « La course au pôle » , de février à juin 2015, s’intéressera à la conquête du pôle Sud. Cette exposition sera proposée avec l’American museum of natural history de New York. « Robolution » , de mars à septembre 2015, entraînera les visiteurs dans le monde des robots depuis 1920. « L’art et la machine » terminera l’année 2015, suivie de « Clim, de l’abeille à Jean Nouvel » , jusqu’en avril 2016, en partenariat avec l’Insa et la Fondation ErDF. Elle s’intéressera à l’influence du monde vivant pour les constructions énergétiquement efficaces. L’aventure de la « Lumière » sera à l’honneur, de mars à juin 2016. « Ma terre première » , avec la Cité des Sciences, sera à l’affiche d’avril à juillet 2016. « Tatouages, la peau d’image s » , devrait être l’un des événements de l’année, de juillet à novembre. Pour la Biennale de la danse, le musée proposera une expo « Danse, rebel body » , avec la Maison de la danse, de septembre à décembre. « Jean-Jeanne » , sur le transgenre, fera forcément débat, d’octobre à mars 2017. 2017 débutera avec « la géographie des larmes » , jusqu’en juillet. Vinyle montrera les langues, de mars à juillet. Escales et Horizons mettra Hugo Pratt et Corto Maltese à l’honneur, de juin à décembre. Outre-mer (octobre à février 2018), puis l’art colon (octobre à janvier 2018), s’intéresseront au colonialisme. De janvier à mai 2018, les années Toutankhamon devraient connaître un grand succès, avec notamment des momies exposées. La dernière exposition déjà programmée s’intitule les trottoirs du monde , de mars à juin 2018.
Encore une année de travaux Le bâtiment sera livré en février 2014, et le musée ouvrira au public en novembre.
 

samedi 2 mars 2013

Anthony McCall sculpte la lumière aux Abattoirs

Vivant à New York depuis les années 70, l'artiste anglais présente six œuvres au musée d'art contemporain toulousain. Un travail sur la lumière et l'espace où le corps du visiteur fait partie du dispositif, toujours mouvant, toujours fascinant.
Pour exposer Anthony McCall aux Abattoirs, son directeur, Olivier Michelon, a eu une idée originale : faire entrer le public (pas plus de 150 personnes à la fois) par l'issue de secours, située tout au fond du musée, près du restaurant. Après le béton de la descente, on se retrouve dans un autre monde, obscur et mystérieux, vaste espace traversé par la lumière de trois projecteurs disposés au plafond. Le procédé est simple, ici comme dans les autres salles : des «dessins» sont tracés sur le sol (ou sur les murs) en même temps que des volumes prennent forme dans un halo de brouillard artificiel. Une idée mise en œuvre dès les années 70, du temps du film argentique.

Des lofts aux musées

«J'ai réalisé mes premiers travaux dans des lofts new-yorkais, explique Anthony McCall, un homme fin au maintien tout british. C'était de vieux bâtiments pleins de poussière, ce qui me convenait parfaitement pour donner du relief à la lumière. Le gros problème a été de poursuivre dans des musées. Tout était trop propre, j'ai dû arrêter. J'étais devenu un artiste invisible.» Jusqu'aux années 1990, Anthony McCall met son œuvre en sommeil, travaillant essentiellement comme graphiste. «Des machines à brouillard ont enfin été inventées. Et la vidéo numérique s'est révélée très intéressante à utiliser. J'ai vite trouvé les ordinateurs plus proches de mes mains. Comme un crayon et une feuille de papier, avec la possibilité d'effacer jusqu'à être totalement satisfait.»
A 40 ans de distance, Anthony McCall, trouve une «grande continuité» dans son travail, quels que soient les moyens techniques utilisés. «Le lien est très proche, avec cette volonté inchangée de produire des œuvres qui n'existent qu'au moment présent, quand on y est confronté. Mais les changements sont significatifs. Aujourd'hui, je suis intéressé par la représentation du corps et par la mort. J'ai vieilli.»
On lui parle de lumière divine, de rayons spirituels qui traversent les ténèbres. Anthony McCall rigole : «Je n'y ai pas mis cette intention. Mais si vous voyez cela, pourquoi pas ? Chacun apporte ce qu'il veut dans mes œuvres.»
Exposition Anthony McCall, «Solid light works», jusqu'au 5 mai au musée des Abattoirs (76, allées Charles-de-Fitte), Toulouse. Tél. 05 34 51 10 60 (www.lesbattoirs.org). Tarifs : 4 € et 6€. Du mercredi au vendredi de 10h à 18h, samedi et dimanche de 11h à 19h.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/21/1565675-anthony-mccall-sculpte-la-lumiere-aux-abattoirs.html

lundi 18 février 2013

Francofolies : Lou Doillon, Bruel, Orelsan et Cali à l'affiche de l'édition 2013

Patron des Francofolies, Gérard Pont dévoile ce lundi soir à La Rochelle la programmation 2013 devant les partenaires du festival réunis à l’aquarium.
Avec sa nouvelle équipe de programmation, il a livré à Sud Ouest en avant première les noms des artistes attendus sur la grande scène de la place Saint Jean d’Acre.

Vendredi 12 juillet
C'est une nouvelle pousse de la chanson française, du moins francophone car il est suisse, qui donnera "le La" le vendredi 12 juillet pour ouvrir les Francos 2013.
Bastian Baker aura en effet cet honneur. Repéré par le grand public pour avoir participé à la saison 3 de danse avec les Stars sur TF1 il a depuis dépassé le simple cadre de la téléréalité pour tourner aujourd'hui en concerts et festivals.

Mais que les plus anciens festivaliers se rassurent le reste de la soirée est riche de Cali, Raphaël et Patrick Bruel à qui ses ami réserveront une fête.
Fâché avec les Francos depuis 2009 et la polémique autour de la déprogrammation d'Orelsan, Cali ne fait pas son retour seul cette année.
Samedi 13 juillet
Le second jour, le 13 juillet, Olivia Ruiz sera là aussi avec Disiz et… Orelsan lui même.
"On tourne la page" assure Gérard Pont, directeur des Francos, qui affirme avoir “invité personnellement le rappeur à venir aux Francos cette année (…) Je croyais déjà en son talent en 2009", insiste le patron des Francos. "Je n’ai jamais jamais changé d’avis et je ne me suis pas trompé si j’en crois son succès public".
Dimanche 14 juillet
Le 14 juillet, les Francos oublient la soirée en anglais (si ce n’est en accueillant Rover) de la fête nationale des dernières années. Mais ils programment un artiste que le festival espérait depuis deux ans : Saez sera sur la scène. Dans la foulée d'une fête à… Benjamin Biolay, accompagné certainement de Jeanne Cherhal.

Lundi 15 juillet
Le lundi soir c’est une autre nouvelle pousse, et des plus belles, de la chanson française qui vivra ses premières Francos : Lou Doillon sera sur scène, avant que -M- ne vienne (forcément) mettre le feu. Mathieu Chedid s’y emploiera dès cette semaine à la salle de La Sirène à La Rochelle où il vient répéter sa tournée et donner deux concerts (complets) ce week-end.

Mardi 16 juillet
Enfin pour le dernier soir de cette édition 2013 le festival conserve sa recette electro pour faire de la place Saint Jean d’Acre un dancefloor immense. Après les Guetta et autres Solveig sont annoncés cette année les deux jeunes qui montent, Breakboat et Woodkid, mêlés à des valeurs plus anciennes comme Archive et Vitalic.

En présentant une partie de la programmation des concerts de la place Saint-Jean d’Acre, Gérard Pont et son équipe ont aussi beaucoup insisté sur les créations 2013 proposées elles durant le festival au théâtre de La Rochelle, à La Coursive.
Des concerts hommages dont un à Bashung par le talentueux Gaëtan Roussel. Deux soirs de suite (13 et 14 juillet) l’ex-leader de Louise Attaque... s’attaquera à l’album Play Blessures (travaillé avec Gainsbourg) mais aussi à Bleu Pétrole. Un dernier opus de Bashung décédé en 2009 que Roussel connait on ne peut mieux pour avoir signé plusieurs chansons, texte et musique, dont «Résidents de la République» et «Je t’ai manqué» entre autres.
L’autre hommage (le 15) peut surprendre davantage : «Emilie Loizeau va rendre hommage à Jacques Demy» sourit Gérard Pont. Deux univers qui risquent de faire «swinguer» les demoiselles de Rochefort.
Barbara sera elle honorée par Daphné (le 16 juillet) qui fait déjà tourner ce spectacle depuis la fin de l’année dernière. Le même jour, Rufus Wainwright (repéré en France entre autres pour avoir interprété «la complainte de la butte» pour le film Moulin Rouge) chantera quelques titres en français.
Le programme
12 juillet.- Bastian Baker, Cali, Raphaël, Patrick Bruel.
13 juillet.- Disiz, Olivia Ruiiz, Tryo, Orelsan.
14 juillet.- Rover, Benjamin Biolay, Saez et un artiste encore à confirmer.
15 juillet.- France ô folies, Lou Doillon, -M- et un artiste à confirmer.
16 juillet.- Soirée electro avec Breakboat, Archive, Woodkid, Vitalic.

Tarifs.- Les places des concerts pour les Francos sont en vente depuis ce mardi matin.
Le festival a maintenu ses prix de l’an passé et lance une offre spéciale jusqu’au 11 mars.
Les concerts de la place Saint Jean d’Acre sont au prix de 25€, au lieu de 35€ ensuite.
Pour les créations à La Coursive, c’est tarif unique, 32 euros. En vente uniquement sur
francofolies.fr et digitick.com

http://www.sudouest.fr/2013/02/11/francofolies-lou-doillon-bruel-orelsan-et-cali-a-l-affiche-de-l-edition-2013-963564-1391.php

jeudi 14 février 2013

Depêche Mode en concert à Nice

Les bonnes nouvelles se succèdent en ce debut du mois de février. Après Asaf Avidan, c'est Depeche Mode qui vient d'annoncer un concert à Nice (Nikaia) le 4 mai.

Il semblerait même que le groupe ait décidé de lancer sa tournée mondiale à Nice puisqu'elle devait démarrer le 7 mai à Tel Aviv.

Dave Gahan, Martin Gore et Andy Fletcher donneront 34 concerts dans 25 pays européens différents avant de se diriger vers l'Amérique du Nord.

En France, Depeche Mode jouera à Paris le 15 Juin, ainsi qu'à Nîmes le 16 Juillet. Ces concerts seront les premiers du groupe depuis le "Tour of the Universe" de 2009/2010

http://www.nicematin.com/nice/depeche-mode-en-concert-a-nice.1138317.html

dimanche 10 février 2013

Exposition. Regards d'artistes sur l'« Inoubliable Neruda »

Après avoir été présentée dans un des lieux les plus populaires du Chili, le Prado à Santiago, et avant de partir pour le palais des Beaux-Arts d'Alger au mois de mars, cette exposition exceptionnelle d'oeuvres d'artistes des quatre continents, inspirés par l'oeuvre poétique de Pablo Neruda, fait escale dans le Finistère.

Une quinzaine de lavis de Picasso

Le Musée départemental breton accueille ainsi deux gravures de Joan Miró, inspirées du poème « Le survivant visite les oiseaux » et une quinzaine de lavis de PabloPicasso, réalisés pour illustrer « Toros », un texte de Pablo Neruda publié en 1961. « Picasso est devenu un grand ami de Neruda. Il lui a demandé un poème sur les taureaux mais la tradition de la corrida n'existait au Chili. Il a écrit ce texte "Toros", qui parle aussi de l'Espagne pauvre, de la femme, que Picasso a illustré et qui a été exposé une fois à Paris, en 1961 », souligne le commissaire de l'exposition, le Chilien TitoGonzález, qui a connu le poète alors qu'il était étudiant au Mexique. Son oeuvre, dit-il, « nous a donné une lecture de notre pays, de notre histoire ».

Le regard d'artistes sur l'univers du poète

À la
Maison du département, une soixantaine d'oeuvres de peintres et d'artistes reconnus rendent ainsi compte de la richesse de l'univers poétique de cet homme de lettres et de convictions, disparu à Santiago du Chili, douze jours après le coup d'État du 11septembre 1973. « Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée » ont inspiré l'Équatorien Oswaldo Guayasamin et le Chilien José Venturelli ; « Hauteurs de Macchu Picchu », le muraliste mexicain David Alfaro Siqueiros ou le Péruvien Gino Ceccarelli ; « L'Espagne au coeur » - dans lequel il rend hommage à l'Espagne républicaine -, les Chiliens Alex Chellew et Irene Dominguez. Les peintres chiliens José Balmes et Sergio Montesinos signent également de très beaux portraits de celui qui fut le compagnon de route d'Allende. Cet événement a aussi été l'occasion de développer des projets dans 19 collèges et lycées finistériens. Dans certains d'entre eux, Tito González animera des conférences en espagnol et installera quelques oeuvres. Par ailleurs, le cinéaste chilien Manuel Basoalto, qui n'est autre que le neveu du poète, viendra présenter, en avant-première, son documentaire, « Neruda, la mort d'un poète », au cinéma Les Studios à Brest, ce soir à 19 h, et animera, à 16 h, une conférence sur « Neruda et la France » à la Faculté Victor Segalen. Pratique Exposition « InoubliableNeruda », jusqu'au 24février, à Quimper, à la maison du département, du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 17 h 30 et au Musée départemental breton, tous les jours, de 9 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h, sauf le dimanche matin et le lundi. Entrée gratuite.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/index_finistere.php

samedi 9 février 2013

Vieilles Charrues. Elton John et Carlos Santana à Carhaix cet été

Deux stars des années 1970 devraient figurer au programme du festival des Vieilles Charrues, cet été, à Carhaix, dans le Finistère : Elton John et Carlos Santana.
Carlos Santana, 66 ans, sera en concert en Angleterre quelques jours avant. Le guitariste, chanteur et compositeur américain d’origine mexicaine fera ensuite un détour par la France pour jouer aux Vieilles Charrues, le week-end du 20-21 juillet.
Selon nos informations, une autre grande star des années 1970, le pianiste, chanteur et compositeur Elton John, 66 ans lui aussi, devrait également chanter à Carhaix cet été. Il est aussi annoncé au festival de Poupet, en Vendée, le 3 juillet.
La programmation des Vieilles Charrues sera officiellement connue le 16 avril, jour où la billetterie sera ouverte
 

mercredi 6 février 2013

Nouvelle formule pour les Festi'Meuse

Le festival va voir sa formule évoluer. S'il faisait jusqu'alors étape dans quatre communes de la Pointe, il sera désormais concentré sur un seul site.
ON a beau toujours être emmitouflés dans nos anoraks, rien ne nous interdit de penser déjà à la prochaine saison estivale. Et à travers elle, au soleil, aux vacances et aux fameux… Festi'Meuse, devenus en l'espace de quelques années l'événement festif n° 1, l'été, dans la Pointe.
Et bonne nouvelle : cela sera encore le cas en 2013, même si le refrain va complètement changer comparé aux précédentes éditions.
Le festival s'apprête en effet à adopter un tout nouveau look, afin d'être toujours plus efficace. « L'idée, c'est de réussir à optimiser l'argent dépensé, dans le but d'obtenir le retentissement le plus important possible », détaille le directeur général des services de la com'com, Claude Wallendorff.
Pour ce faire, l'interco a décidé de partir à la chasse aux économies. Non pas histoire de diminuer le budget alloué aux concerts, mais plutôt pour aller à la pêche au « gros » en terme de têtes d'affiche.
Première révolution d'envergure par rapport à l'an passé : la com'com a souhaité reprendre en main le volet « organisation ». En clair, elle ne déléguera plus l'événement à l'association nordiste Gilda & compagnie, mais elle le chapeautera désormais elle-même à travers la SPL Rive de Meuse, qui gère déjà le centre aqualudique Rivéa et le parc d'aventures TerrAltitude.

Un budget identique
Autre nouveauté de taille (certainement celle qui intéressera le plus le grand public) : la formule du festival va, elle aussi, changer.
Exit les quatre dates programmées dans quatre communes différentes, les Festi'Meuse se concentreront dorénavant sur un seul week-end, avec des concerts planifiés en un même et unique lieu. Histoire de « faciliter leur organisation, notamment en terme de logistique », assure Richard Szwajcer, chargé de mission au sein de la com'com.
Mais que les adeptes du feu d'artifice de Haybes (4 500 fidèles en 2012) ne soient pas en pétard : le traditionnel embrasement de la commune devrait malgré tout être maintenu « à part », à une date qui n'a pas encore été fixée.
Les concerts, eux, auront lieu le week-end des 27 et 28 juillet. Où ? Mystère. L'interco a demandé aux municipalités de Givet, Vireux-Molhain, Vireux-Wallerand et Fumay de proposer un ou plusieurs sites adaptés à un tel événement (installation de la scène, accueil du public, parkings…).
Le choix final devrait être entériné par les élus dans les toutes prochaines semaines.
Une fois cela fait, il sera alors temps de se pencher sur les têtes d'affiche à proprement parler. Qui succédera à Louis Bertignac, Arno, Murray Head, Cock Robin et la Grande Sophie ? Rien n'est décidé. Mais on peut clairement s'attendre à du « lourd », même si les cachets des artistes ont tendance, eux aussi, à augmenter année après année.
De son côté, le budget du festival devrait quant à lui rester strictement identique, au grand dam de ceux (et il y en a…) qui estiment que cet argent public aurait pu être dépensé « de manière plus utile » dans la Pointe.
Au total, l'enveloppe devrait avoisiner les 150 000 euros pour l'édition 2013. De quoi concocter une programmation des plus alléchantes, dont va évidemment dépendre la réussite du festival.
L'été dernier, le millésime 2012 avait mis la barre très haut, sous l'égide de Gilda & compagnie, en parvenant à réunir près de 12 000 festivaliers. Record de fréquentation battu. Et de loin.


http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/nouvelle-formule-pour-les-festimeuse

dimanche 3 février 2013

Toulouse, un musée vivant à ciel ouvert

Près du nouveau bâtiment du département «Lettres, langues et civilisations étrangères» de l'Université du Mirail, trois structures horizontales en béton quadrillent l'esplanade. Entre la plate-forme abstraite et un banc public contemporain, l'œuvre s'intègre à son environnement. Cette réalisation, signée de l'artiste Jean-Christophe Nourisson, a été rapidement adoptée par les étudiants. Ils s'y assoient, relisent leurs cours, rêvent. «L'art est désacralisé. Les corps font partie de l'œuvre qui, de fait, est en perpétuel mouvement», justifie l'artiste. C'est la définition parfaite de ce que peut apporter la création contemporaine en milieu urbain, en immersion avec le public dans les rues, places, faubourgs ou transports en commun.
À Toulouse, de nombreuses œuvres jalonnent le paysage et font désormais partie intégrante du décor. Tisséo-SMTC, le syndicat mixte des transports en commun, en est une illustration. Les œuvres présentes dans le métro, sur la ligne du tram, donnent une réelle identité à ces mêmes stations. Les longilignes arcs d'acier de Bernard Venet au carrefour de Barrière de Paris au «Locataire» des Arènes Romaines en passant par le «Mirador» de l'avenue de Lombez, les exemples sont presque à chaque détour de rue en ville. Au début des années 2000, devant la station des Argoulets, Jacques Vieille, un artiste «végétal» a conçu un jardin suspendu un concept alors, avant-gardiste. «C'était une image du jardin du futur», s'en explique l'artiste. «Tisséo réunit les gens, les quartiers. L'art crée aussi du lien. C'est donc la continuité de notre mission. Il s'agit de faire emprunter les chemins de la sensibilité à nos usagers», assure Christophe Halley des Fontaines, en charge des œuvres d'art. «Des artistes de renommée enrichissent le patrimoine de la ville. Ils la révèlent», poursuit-il. Mais plus que des objets figés, là aussi, c'est l'appropriation des œuvres par les habitants qui est visée. «Les gens s'arrêtent, parlent entre eux».
Le conseil régional finance de nombreuses œuvres urbaines, notamment par le biais du 1 % culturel, comme c'est le cas avec la mise en place récente de l'œuvre de Nourisson à la fac du Mirail. «Dans la période difficile que nous traversons, nous ne devons pas abandonner la culture, au contraire. Elle permet à l'artiste de se confronter à l'espace public hors du circuit traditionnel et de familiariser le public à l'art de notre temps, l'art contemporain», réagissait Martin Malvy, président de la région.
Seul trait d'union entre toutes ces créations contemporaines : la rue pour toile de fond et le ciel ouvert pour cimaise. Une galerie d'art, à entrée libre.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/27/1546076-toulouse-un-musee-vivant-a-ciel-ouvert.html

vendredi 1 février 2013

Exposition Napoléon et l'Europe au Musée de l'Armée

L'Exposition Napoléon et l'Europe s'installe au Musée de l'Armée du 27 mars au 14 juillet 2013. Avec près de 250 oeuvres d'art, d'objets et documents, l'exposition vous fera découvrir Napoléon Bonaparte et son ambition européenne entre 1793 et 1815. Ainsi vous découvrirez sa politique d’expansion, les réactions et ses conséquences sur l'Europe.
Napoléon Bonaparte, voilà un Monarque qui a su marqué l'histoire. Avec son ambition débordante et sa volonté de fer, il a su, en 15 ans seulement, changer l'Europe. L'Exposition Napoléon et l'Europe au Musée de l'Armée - Hôtel des Invalides, vous présentera sa politique d’expansion en Europe, et, en contre-point, les réactions multiples, d’adhésion ou de résistance, qu’elle a suscitées dans de nombreux pays européens ; il témoigne aussi des conséquences et des traces profondes que cette conquête a imprimées sur l’Europe.
Loin des clichés et des partis-pris, cette exposition a pour objectif de montrer un épisode marquant de l’histoire française et européenne, de façon différenciée ; elle le fait en croisant les regards, divers voire opposés, des contemporains des événements, sur des thèmes touchant à la guerre, la politique, la diplomatie, l’administration, la monnaie, la propagande, les arts…
Pour retracer cette histoire, sont rassemblés 250 œuvres d’art, objets et documents prêtés par une cinquantaine de musées et institutions européennes. Depuis l’exposition rétrospective Napoléon organisée en 1969 au Grand Palais, aucune synthèse de ce type et de cette ambition, n’a été organisée en France. Voilà donc une occasion en or pour en découvrir davantage sur le visage de Napoléon.
Cette exposition, qui se veut pédagogique offrira de nombreux outils vous accompagner le visiteur dans son parcours : cartes sur les territoires, postes audio pour les témoignages des soldats auprès des oeuvres, diaporamas des grandes figures contemporaines et leur relation avec Napoléon, animation multimédia sur la célèbre bataille des "Trois empereurs" et parcours jeunes public seront au rendez-vous.
Bref, à découvrir donc pour enrichir son savoir !

Infos pratiques :
Exposition Napoléon et l'Europe au Musée de l'Armé
Hôtel des Invalides : 129 rue de Grenelle 75007 Paris
Du 27 mars au 14 juillet 2013
De 10h-17h jusqu’au 31 mars, 10h-18h à partir du 1er avril, nocturne jusqu’à 21h les mardis soirs (sauf les 23 & 30 avril et le 7 mai). Fermée le 1er mai.
Tarifs : 8,50€ exposition seule / 12€ expo+musée / gratuit moins de 18 ans


http://www.sortiraparis.com/arts-exposition/articles/59122-exposition-napoleon-et-l-europe-au-musee-de-l-armee

mardi 29 janvier 2013

Un évènement se prépare au siège de Free ?

Ce matin, une photo du siège de Free à Paris nous a été envoyée par un lecteur. Comme vous pouvez le constater, sur l’affiche qui a été installée dans le hall d’accueil, et où on peut lire « journée best performer » avec la petite fusée qui avait été utilisée lors du lancement de Free Mobile, il semble qu’un évènement se prépare. Nous n’avons pas, pour le moment, d’information à ce sujet, mais nous allons essayer d’en obtenir.

http://www.universfreebox.com/article/19428/article/19428/Un-evenement-se-prepare-au-siege-de-Free

samedi 26 janvier 2013

Sidaction : 70 stars télé s'engagent

Les 5, 6 et 7 avril aura lieu le 19e Sidaction, manifestation destinée à collecter des fonds pour la lutte contre le sida. Pendant trois jours, les médias partenaires de l'opération mettent à l'antenne le ruban rouge et appellent aux dons. Cette année, plus de 20 chaînes de télévision et de radio se sont associées à cette mobilisation. Un record !

Pour l'occasion, un clip regroupant 70 animateurs de ces différents supports a été réalisé la semaine dernière, dans un studio où se sont succédé
Harry Roselmack, Laurent Ruquier, Alessandra Sublet, Michel Denisot... Ensemble, ils lancent le décompte avant le début de l'événement. Ainsi, Line Renaud, vice-présidente de l'association, a notamment pris la pause aux côtés de Laurent Romejko et d'Hervé Mathoux. Le présentateur du Canal Football Club, qui se dit « fier de participer à ce moment de solidarité », a surtout tenu à saluer l'action des bénévoles qui s'activent au quotidien pour l'association : « Ce sont eux les vrais acteurs importants. Nous, notre engagement est symbolique ».
http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/evenement/73557/sidaction-70-stars-tele-s-engagent.html

jeudi 17 janvier 2013

Port-musée de Douarnenez. Un atelier pour fabriquer des bateaux en carton

L'association «Ça cartonne à Douarnenez!» organise une régate de bateaux en carton le dimanche 26 mai. «Pauline», le premier prototype de bateau entièrement réalisé en carton, a été construit par Bernard Ficatier, du lycée professionnel Jean-Moulin de Plouhinec et Paul Robert, des Ateliers de l'Enfer. Pour aider les participants à construire des bateaux, des ateliers sont proposés les 3e samedis de janvier, février, mars et avril.

Le premier atelier aura lieu samedi 19 janvier, de 10h à 12h, au Port-Musée, avec Paul Robert.


http://www.letelegramme.com/tag/Bateaux%20en%20carton

mardi 15 janvier 2013

Exposition Mille & une orchidées au Jardin des Plantes

Les grandes serres du Jardin des Plantes vous invite à découvrir l'exposition "Mille & une orchidées" qui vous présentera plus d'une millier de pieds d'orchidées en fleur, du 22 février au 18 mars 2013. Une exposition immanquable pour les amoureux des fleurs et notamment des orchidées.
Vous aimez les orchidées ? Alors, vous allez être servi ! Les grandes serres du Jardin des Plantes accueillent une exposition exceptionnelle de plus de 1000 pieds d'orchidées en fleurs. L'exposition "Mille & une orchidées" vous fera découvrir des espèces fascinantes et inconnues dans le joli cadre des serres luxuriantes, rénovées et réaménagées. Un voyage fantastique au cœur de la biodiversité pour les amoureux des plantes.
Le Jardin des Plantes, désireux de renouer avec la tradition d'expositions végétales et particulièrement d’exposition d’orchidées, est heureux de vous présenter cette belle exposition. Vous y découvrirez une draperie de Phalaenopsis qui cascadera sur le grand rocher après que des gerbes de Cymbidiums auront jailli à l’entrée. Cette famille végétale mythique compte environ 30 000 espèces, elle est l’un des groupes de plantes à fleurs les plus diversifiés et les plus « sophistiqués ».
Le Muséum conserve en son sein, pas moins de 1000 espèces "sauvages". Celles-ci sont pour la plupart, gardées dans les serres de l’Arboretum de Chèvreloup près de Versailles. L’exposition est aussi une belle occasion de découvrir quelques-unes des raretés appartenant à cette collection historique. Un zoom sera fait sur l’acquisition en 2011 de la collection de l’orchidéïste français Marcel Lecoufle qui a cessé son activité et dispersé les rares plantes qu’il gardait par passion.
Vous découvrirez également quelques trésors du Jardin du Luxembourg du Sénat et des serres d’Auteuil de la Ville de Paris, qui vous dévoileront certaines orchidées extraites de leurs collections extraordinaires et secrètes.
Côté scénographie, 3 producteurs français d'orchidées mettront en scène "3 scènes d'orchidées" qui mettront en valeur, dans des décors simples, contemporains et naturels, ces plantes exceptionnelles. De quoi vous en mettre plein la vue. Des visites guidées et des conseils de culture seront assurés les mercredi et week-ends par l’AFCPO, association française culture et protection des orchidées.
Voilà un rendez-vous qui saura dévoiler les plus belles collections d’orchidées conservées à Paris et sur les plus beaux catalogues privés des orchidéïstes français.
Infos pratiques :
Exposition "Mille & une orchidées" au Jardin des Plantes
Du 22 février au 18 mars 2013
Dans les grandes serres du Jardin des Plantes
57 rue Cuvier - Métro Gare d’Austerlitz, Censier ou Jussieu
Tous les jours de 10h à 17h30 (sauf mardi), 18h dès le 10 mars
Gratuit : conseils de l’AFCPO chaque mercredi et week-end de l’exposition, à partir de 14h
Tarif : 6€, réduit 4€
Fermeture des caisses, 45 minutes avant la fermeture


http://www.sortiraparis.com/arts-exposition/articles/58630-exposition-mille-une-orchidees-au-jardin-des-plantes

mercredi 9 janvier 2013

Le Parc Argonne découverte n'a pas fini de vous épater

C'est LE petit parc qui monte. Avec une fréquentation multipliée par trois en quatre ans et de gros projets en cours, tout le monde a les yeux tournés vers Olizy-Primat.
À l'heure où les Ardennes perdaient tout un tas de musées et de sites touristiques, où certains fermaient et d'autres étaient revendus, la 2C2A a fait un choix courageux : elle a complètement repensé son parc, modifié sa stratégie, amélioré sa communication, et n'a pas eu peur de voir grand.
Le résultat est spectaculaire. Huit ans après l'ouverture de Nocturnia (qui à l'origine, assez paradoxalement, tournait le dos à la forêt), et quatre ans après avoir compris que l'expo sur la vie nocturne séduisait peu les touristes, la 2C2A a su rebondir.
Chacun connaît la suite : place aux hectares de forêt, place au hamac à bonds, place à un nouveau nom et surtout, place aux loups. Avec un sacré coup de pouce de la nature : après une année 2011 infertile, la femelle Futée, dominante âgée de 5 ans, a donné vie à huit loupiots (quatre garçons, quatre filles)… là où une portée classique n'en excède pas quatre.
Le boom des visiteurs a suivi celui des naissances : alors que Nocturnia ne dépassait guère les 10 000 entrées par an, le PAD a terminé 2012 au-delà des 30 000 (plus 10 % par rapport à 2011) ! Rien qu'en juillet et août, 8 000 touristes ont franchi les portes.

Rapaces, hérissons, chauves-souris…
Idem du côté du chiffre d'affaires : il est passé d'environ 50 000 euros en 2008 à près de 330 000 quatre ans plus tard.
L'année 2013 devrait confirmer l'essor du site, qui figure aujourd'hui parmi les incontournables de la région.
Des travaux d'aménagement permettront d'accueillir, d'ici quelques mois, de nouveaux locataires presque aussi fascinants que les loups : des vautours, des cigognes et des grands-ducs.
Un appel d'offres a été passé il y a quelques semaines pour trouver les oiseaux et le personnel qualifié.
Comme il faut sans cesse se renouveler pour fidéliser la clientèle, l'année 2014 sera elle aussi riche en nouveautés : l'expo sur le monde de la nuit, qui s'est rapidement révélée faillible techniquement et pauvre visuellement, sera complètement revue.
La société Harmatan, spécialisée dans la scénographie, reprendra le thème de la nature la nuit, mais en y intégrant des centaines d'animaux vivants, d'une trentaine d'espèces différentes : chauves-souris, hérissons, genettes, araignées, sans oublier l'énigmatique crapaud accoucheur.
Une partie des décors sera préservée, comme l'automate de la chauve-souris Sidonie, à la fois pour des raisons financières et parce qu'ils fonctionnent encore plutôt bien. Pour le reste, place au grand spectacle, avec notamment une salle de projection en 3D.
La 2C2A ayant quasiment fini de rembourser les emprunts de Nocturnia, les élus ont consenti pour ce nouveau musée un investissement d'1,2 million d'euros (des subventions seront demandées à l'Europe, l'État, la Région et le Département).
Les travaux devraient commencer fin 2013, pour une ouverture au printemps 2014. Question cruciale : combien de loups comptera alors la meute d'Olizy-Primat ?


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/le-parc-argonne-decouverte-na-pas-fini-de-vous-epater

lundi 7 janvier 2013

Affluence à Lens près d'un mois après l'inauguration de l'antenne du Louvre

Le musée a déjà accueilli plus de 120.000 curieux...
Près d'un mois après son inauguration, le Louvre-Lens a accueilli plus de 120.000 curieux, une affluence prometteuse pour l'antenne nordiste du grand musée parisien qui s'est fixé un objectif de 700.000 visiteurs la première année.
En cette période de vacances scolaires, quelque 10.000 personnes ont franchi certains jours les portes du musée à l'architecture ultra-moderne, situé en plein coeur du bassin minier, créant des files d'attente «impressionnantes», «traversant tout le hall d'accueil», affirme le directeur du Louvre-Lens, Xavier Dectot. Pour lui, c'est le signe d'«un vrai engouement pour ce projet», mais aussi «du pari réussi de son appropriation par les gens du territoire».
«C'est comme si la région se réveillait!», s'exclame une des employées chargée de l'accueil, où se pressent par petits groupes les visiteurs pour récupérer un audioguide avant de s'engouffrer dans la Galerie du Temps. «On pensait que le tourisme n'existait pas dans la région, on l'a caché derrière la misère des mines. Mais les gens viennent de toute l'Europe, c'est magnifique», dit-elle dans un grand sourire.
Nordistes pour plus de la moitié, ces dizaines de milliers de curieux arrivent également de toute la France, de Belgique, Grande-Bretagne, Nouvelle-Zélande ou encore du Canada.
«Nous sommes venus spécialement de la région parisienne, en disant 'il y a un monde fou à Paris, autant aller ailleurs', mais il y a un monde fou ici aussi», témoigne Marie, 52 ans. «Je ne pensais pas que ça aurait un tel impact. Mais il faut reconnaître que sur Lille, il n'y a pas énormément d'expositions d'envergure, (...) il faut aller systématiquement à Paris», note Patrice, 53 ans, venu de Faches-Thumesnil, au sud de Lille.
«Grande bouffée d'oxygène pour la ville»
Comme lui, les visiteurs de tous âges, venus le plus souvent en famille, déambulent dans la salle sans cloisons pour admirer sarcophages égyptiens, sculptures, retables et tableaux. La foule peut être parfois compacte, notamment devant «La Liberté guidant le peuple» de Delacroix, l'une des pièces maîtresses du musée, mais «c'est aéré, on peut tout voir dans la salle et aller à son rythme», remarque Maëlle, une jeune Bretonne de passage dans la région après un séjour en Belgique.
«C'est une conception du musée tout à fait nouvelle. On a là la richesse du Louvre original, c'est extraordinaire. Ils ont bien fait de sortir les merveilles qui étaient cachées», s'enthousiame Jean-Pierre, un Normand âgé de 70 ans. Le Louvre-Lens, «je l'attendais avec impatience, j'imaginais quelque chose de grandiose, mais ça fait musée de province», regrette quant à elle Françoise, de Douai (Nord).
La principale raison de l'affluence de ces dernières semaines réside selon elle dans la gratuité de la Galerie du Temps pour la première année.
Alors que son grand frère parisien a enregistré en 2012 une fréquentation record avec près de 10 millions de visiteurs, le Louvre-Lens s'est fixé pour objectif 700.000 visiteurs après un an d'existence.
Selon Hassan Bella, responsable de l'Hôtel de France, qui fait face à la gare de Lens, le musée, «grande bouffée d'oxygène pour la ville», a «déjà créé une dynamique». «Ca ne peut être que positif, on prévoit une hausse de 20 à 30% pour le restaurant de l'hôtel» ces prochains mois, même si «ça demande un peu de travail» pour faire en sorte que les visiteurs du Louvre restent à Lens, estime-t-il.

http://www.20minutes.fr/article/1072271/affluence-a-lens-pres-mois-apres-inauguration-antenne-louvre

mercredi 2 janvier 2013

Le rappeur Eminem en concert au Stade de France à l'été 2013

Le rappeur américain Eminem se produira pour la première fois au Stade de France le 22 août 2013, a appris l'AFP ce jeudi auprès de l'enceinte.
Les places, à partir de 50 euros, seront mises en vente à compter du 16 janvier 2013, précise le Stade de France sur son site officiel. Rappeur à l'humour subversif et souvent controversé, Eminem a vendu plus de 105 millions d'albums dans le monde.
Son dernier album "Recovery" est paru en 2010 et un nouveau pourrait voir le jour en 2013.

http://www.midilibre.fr/2012/12/27/le-rappeur-eminem-en-concert-au-stade-de-france-a-l-ete-2013,618332.php

mardi 1 janvier 2013

"L'amour est dans le pré 8 : Photos des 14 candidats"

Alors que la saison 7, marquée par le mariage d'Annie et Thierry, est encore dans toutes les têtes, L'amour est dans le pré repart pour une huitième saison. M6 va présenter quatorze nouveaux agriculteurs à la recherche de l'amour les 7 et 14 janvier. En exclusivité, Karine Le Marchand dresse le portrait de chacun d'eux et fait le point sur ce cru.
Karine Le Marchand, comment se présente cette nouvelle saison ?
Nous allons découvrir des agriculteurs âgés de 28 à 52 ans, donc des candidats un peu plus jeunes que l'an dernier. Certains sont assez originaux puisque nous ferons la connaissance d'un animateur de soirées, d'un chasseur ou d'une agricultrice travaillant avec ses deux soeurs. Il y a également, cette année encore, des métiers nouveaux dans l'émission : un trufficulteur est par exemple présent. Chacun des participants a une passion et, en général, ils ont l'esprit assez ouvert.
Comment se sont passés les tournages de ces portraits ?
Je les ai pas mal fait pleurer ! Du coup, j'ai moi aussi versé quelques larmes... Nous avons également beaucoup ri. Il y a de vraies personnalités qui nous ont étonnés et vont encore faire changer nos idées reçues sur les agriculteurs. Tous sont des gens bien ancrés dans la vie d'aujourd'hui. L'un est bénévole, l'autre acteur de la vie sociale, un autre maire de sa commune. Ces agriculteurs ont aussi tous des familles présentes ou des amitiés très fortes alors qu'avant on avait souvent des hommes seuls ou vivant avec leurs parents. Là, il y a vraiment du lien social ou amical.
Y a-t-il un autre point commun entre les candidats ?
Quasiment tous ont déjà vécu une histoire en couple, ce qui est assez rare. Ils connaissent donc les concessions nécessaires à la vie à deux, cela facilite les choses. En revanche, quasiment tous ont connu de grosses déceptions. Le danger sera de savoir s'ils en ont fait le deuil et s'ils ont passé l'éponge sur (...) Lire la suite sur TVMag.com