samedi 18 août 2012

Daniel Picouly réalise son rêve

Après le festival off d'Avignon, Daniel Picouly sera au Théâtre Tristan Bernard, à compter du 5 septembre, avec La faute d'orthographe est ma langue maternelle. « Avant, j'avais toujours l'excuse de la télé qui m'empêchait de réaliser mon rêve, confie l'écrivain. Avec l'arrêt assez brutal et inattendu de Café Picouly, je ne pouvais plus reculer. Donc, merci, France 5 ! »

Véritablement emballé par son expérience estivale, il poursuit : « C'est magique ! Le texte fonctionne bien. Il n'y a pas un jour sans que je le modifie. Les réactions dans la salle sont pleines d'enseignements ». À la rentrée, on retrouvera également Daniel Picouly sur France Ô avec une deuxième saison du Monde vu par.... Avait-il fait acte de candidature pour animer une émission culturelle sur France 2 ? « Non, surtout pas ! J'aime l'idée du café littéraire, cela me correspond : amener le livre dans un café pour qu'il ne soit pas dans une position sacralisante. Je ne participerais pas à une émission qui ne prenne pas ça en compte et je refuse de faire une émission en plateau. »

http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/evenement/71088/daniel-picouly-realise-son-reve.html

vendredi 17 août 2012

Arenc-les crottes : Marseille, ville de sauvages !

Ce ne sont pas des punks ! Elles ont quelque chose de gracieux, non ?" À plat ventre sur le sol défoncé d'un entrepôt démantibulé du quartier des Crottes (15e) -"un super terrain de jeux"- la photographe Valérie Vrel n'est que tendresse pour ces petites plantes têtues surgies du bitume. Vous ne les voyez pas ? La jeune femme, elle, n'a d'yeux que pour ces frêles bouquets, comme de petites épiphanies offertes par la nature aux urbains que nous sommes. La plupart des Marseillais n'y prêtent pas attention, ou n'y verraient qu'un chiendent bien banal. Mais penchez-vous à hauteur de pétales et de feuilles, invite la photographe : vous verrez que Marseille recèle une incroyable biodiversité. Sous le bitume, prête à affleurer, cette ville est une jungle !
Voilà 25 ans que Valérie Vrel s'intéresse à cette flore qui repousse le béton, se faufile entre des pavés disjoints, les rails des trains. "Même petite, les mauvaises herbes m'ont toujours intéressée", constate la jeune femme qui, dans tous ses travaux, porte une attention particulière aux "mutations, ce qui disparaît et ce qui naît". À Marseille, ville comme un chantier à ciel ouvert, avec ses vastes zones d'arrière-port, Valérie est au paradis : ses sauvageonnes adorent les friches industrielles, les rues un peu délaissées, les anciens fiefs ouvriers. Là où la ville marque le pas, la nature regagne du terrain. Pour leurs formidables capacités d'adaptation, Valérie a baptisé ces plantes "les résistantes". On peut voir dans ses photos un brin de poésie - insolente, farouche, drôle parfois- mais aussi la base d'un travail scientifique. "Je ne suis pas botaniste, j'ignore le nom de mes résistantes, admet Valérie Vrel, mais je serais très heureuse de travailler en équipe, de rencontrer des gens qui savent !"
Et des "gens qui savent", ou simplement d'autres amoureux de "mauvaises graines" (voir le travail du "plantiste" rock'n'roll David Jeannerot Renet, qui sème le "fouillis végétal" sur les balcons des Parisiens et affuble ses compositions de noms de groupes, comme The White Stripes !), la France en fédère de plus en plus, autour du projet "Sauvages de ma rue". Lancé en 2011 par le Muséum d'histoire naturelle de Paris, et l'association Tela Botanica, ce programme invite les citoyens à recenser les espèces végétales dans leur immédiat environnement. Et à devenir ainsi les sentinelles d'une biodiversité urbaine qui reste à mesurer.
L'appel des scientifiques a été entendu : plus de 7000 observations ont déjà été réalisées par des citadins, de Paris à Montpellier en passant par... la cité phocéenne. En juillet, une quinzaine de Marseillais ravis de composer l'herbier gigantesque et inédit de leur ville, participaient ainsi à une journée d'observation, près du parc Longchamp. Quelque 25 espèces y ont été identifiées en quelques heures dans quatre rues seulement !
Pas étonnant dans une commune qui a cessé, voici deux ans, d'arroser ses trottoirs d'herbicides, afin de préserver nos nappes phréatiques et de favoriser le développement d'une biodiversité qui a tant à nous apprendre. Mauvaises herbes? Résistantes, on vous dit.
En savoir plus : le travail de Valérie Vrel est à retrouver sur son site ; le projet "Sauvages de ma rue" sur http://sauvagesdemarue.mnhn.fr

http://www.laprovence.com/article/developpement-durable/arenc-les-crottes-marseille-ville-de-sauvages

jeudi 16 août 2012

Hébergement insolite : l'air, l'eau ou la terre

Envie de s'offrir une nuit, un week-end ou une semaine au vert, mais lassés des hôtels, gîtes ou chambres d'hôtes traditionnels ? Le département regorge de formules d'hébergement insolite, le plus souvent en pleine nature. Une bonne occasion de s'organiser de petites escapades originales ou romantiques, en couple ou en famille.

Tipis, Yourtes, roulottes ou tentes de trappeur...

Enfin, ceux qui souffrent de vertige ou que le roulis de l'eau rend malade peuvent toujours trouver de l'insolite sur la terre ferme. Tipis, tentes de trappeur, yourtes ou encore roulottes. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le choix est varié dans le département. Pas moins de sept sites proposent ce type d'hébergement. Certains organisent même des animations thématiques, comme Taïga&co, Le camp des milles collines (tipis et tentes trappeur), avec une découverte des chiens de traîneaux suivie d'une balade. Ou encore à l'asinerie d'En Manaou (tipi, roulotte et yourtes), où les enfants, après avoir donné à manger aux animaux de la ferme, peuvent faire des promenades à dos d'ânes. À Poucharramet, Les Roulottes occitanes, comme leur nom l'indique, proposent la location d'une roulotte pour deux personnes, et le Bois d'Escoumos, à Gensac-de-Boulogne, a misé sur l'hébergement éco-citoyen avec ses trois yourtes. De leur côté, deux campings ont intégré à leur parc des hébergements insolites : le camping Le Moulin (deux roulottes pour quatre personnes) à Martres-Tolosane, et le camping Le Pré fixe (trois tentes trappeur de deux à six personnes) à Cassagnabère-Tournas. Enfin, de la même façon que pour les cabanes perchées, le parc de loisirs Tepacap propose de nuitées en tipi de six personnes.

Cabanes perchées

En Haute-Garonne, les amateurs de hauteur ont le choix entre deux thématiques. Pour la version «romantique», direction Merville et la cabane perdue dans les bois de son château. Conçue pour accueillir un couple, elle dispose de tout le confort moderne (douche, toilettes sèches, kitchenette extérieure). Le prix comprend l'assurance annulation en cas d'alerte orage ou grand vent. Les familles, elles, peuvent se tourner vers les «féeriques» Robinsonades, à Saint-Christaud. La cabane «des lutins» peut accueillir cinq personnes, celle «des elfes» deux adultes et un enfant (toutes deux avec toilettes sèches), et les «Plum'arbres», tentes solidement suspendues à deux mètres de hauteur, pour deux personnes. L'originalité de ce site est de proposer des «nuits féeriques» (spectacles de jonglage enflammé), des prestations de massages et des repas insolites (cuisine à base de plantes et cueillette sauvage et de produits locaux). Enfin, une cabane perchée est également proposée par le parc de loisirs Tepacap, à Rieumes.

Les péniches

Envie d'être bercé par le doux roulement de l'eau, dans un cadre apaisant et pittoresque ? Dans le département, deux péniches proposent des chambres d'hôtes. La péniche Amboise, stationnée à Toulouse, et Soleïado, à Ramonville. La première dispose de deux chambres doubles, une triple et une quadruple, ainsi que d'un jacuzzi et d'une terrasse de détente. Et la seconde trois chambres d'hôtes et deux cabines d'appoint, avec une terrasse fleurie à l'ombre des platanes.



Infos pratiques

Péniches :
Péniche Amboise, 17 boulevard Griffoul Dorval, Toulouse. Tél : 05 62 16 94 37 ou 06 50 77 64 58. www.peniche-amboise.com. De 70 à 140 € la nuit.
Soleïado, pont Mange-Pomme, Ramonville. Tél : 06 86 27 83 19. www.peniche-soleiado.com. De 60 à 90 € la nuit.
Cabanes perchées :
Château de Merville, 2 place du château de Merville. Tél : 06 25 54 07 30. www.canopystreat.free.fr. Prix : 147 € la nuit.
Les Robinsonades, Tersac, Saint-Christaud. Tél : 05 61 87 48 23 ou 06 01 73 30 70. www.lesrobinsonades.com. De 50 à 130 € la nuit.
Tipis, yourtes et roulottes :
Taïga & co, Le camp des milles collines, lieu-dit Naoudinas, Le Cabanial. Tél : 05 62 18 40 71 ou 06 87 90 36 38. www.taiga-and-co.com. De 55 à 75 € la nuit.
Asinerie d'En Manaou, route de Pelleport, Thil. Tél : 05 61 06 91 30 ou 06 79 94 96 51. asineriemanaou.jimdo.com. De 30 à 110 € la nuit.
Les Roulottes occitanes, Poucharramet. Tél : 09 74 62 11 18 ou 06 33 17 41 13. www.roulottes-occitanes.com. Prix : 70 € la nuit.
Au Bois d'Escoumos, lieu-dit Martignan, Gensac-de-Boulogne. Tél : 05 61 88 13 96 ; 06 19 77 04 19 ou 06 19 80 19 82. www.auboisdescoumos.com. De 55 à 75 € la nuit.
Camping Le Moulin, Martres- Tolosane. Tél : 05 61 98 86 40. www.campinglemoulin.com. De 49 à 69 € la nuit.
Camping Le Pré fixe, route de Saint-Gaudens, Cassagnabère-Tournas. Tél : 05 61 98 71 00 ou 06 33 11 56 19. www.camping-pre-fixe.com. De 55 à 85 € la nuit.
Tepacap, route de L'Isle-en-Dodon, Rieumes. Tél : 05 62 14 71 61. www.tepacap.fr.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/05/1413612-hebergement-insolite-l-air-l-eau-ou-la-terre.html

mercredi 15 août 2012

Le musée du Cidre fait pétiller le pays d'Othe

Eaux-Puiseaux- Faire revivre les techniques ancestrales d'un produit du terroir délaissé, le cidre : telle est la noble mission du musée du Cidre. Balade bucolique au verger...
Eaux-Puiseaux- Des 30 000 bouteilles par an que permettent de produire les quelque 3 000 arbres de la ferme d'Hotte à Eaux-Puiseaux, deux nouveautés viennent de faire leur apparition sur les étagères en bois de la boutique. Le cidromel tout d'abord, ce jus de pomme gazeux fermenté avec du miel, et le ratafia de coing, mis en rayon il y a quelques jours à peine. Chaque saison, les époux Hotte s'emploient à tester, goûter et créer de nouveaux breuvages. La pléthore de bouteilles, toutes colorées et aiguisant la curiosité, en est la parfaite illustration : leur imagination va bon train, leur fibre créatrice n'est pas tarie. Loin de là. Il se murmure même que les prochaines bouteilles pourraient associer raisins et pommes.
La genèse du musée n'est pas anodine. Gérard Hotte, fils des anciens propriétaires de la ferme, voulait à tout prix commercialiser un produit local trop délaissé, le cidre. « Je ne voyais pas d'autre issue que de créer un ensemble géographique unique autour de la pomme », avoue-t-il.
Le premier cidre sorti des pressoirs en 1986, l'histoire ne devait pas s'arrêter là. Le pays d'Othe, dans ses heures de gloire, comptait pas moins de 350 pressoirs. C'est alors que Gérard Hotte, pour aller jusqu'au bout de sa démarche, commença à se documenter et à enquêter sur tous les pressoirs et autres outils de production du cidre.
De petites annonces en bouche-à-oreilles, le musée du Cidre du pays d'Othe se constitua et ouvrit ses portes en 1994, après deux ans de travaux.

Une caverne antique

Pousser la porte du musée, c'est prendre le risque d'être totalement dépaysé, comme parcourir un album-photos maculé de poussière et en éprouver une mélancolie certaine. Et incontestablement une admiration sans bornes pour nos aïeuls aussi astucieux que courageux.
Sur deux niveaux, les pressoirs, alambics, tonneaux et autres moulins témoignent d'une époque révolue que les époux Hotte veulent restituer au public. Un travail titanesque et minutieux, à l'image de la récolte des pommes. Récolte qui, cette année, sera amputée de moitié pour cause de météo inapropriée.

Pratique
Rue Largentier, Eaux-Puiseaux.
De 14 h à 18 h du 1er avril au 15 novembre.
4 €/personne pour une visite, un visionnage et une dégustation. Pour les groupes, réservation.
www.lafermedhotte.com

http://www.lest-eclair.fr/communes/Eaux-Puiseaux

mardi 14 août 2012

Braderie : c'est parti!

Les bradeux peuvent obtenir les fameuses affichettes de la braderie qui les autoriseront à monter leur stand le jour J. Jusqu'au 29 août, les personnes qui veulent brader doivent venir s'inscrire. La mairie réserve juste aux brocanteurs professionnels les espaces autour du parc Jean-Baptiste Lebas et le long de l'Esplanade.
Pour pouvoir vider son grenier, trois options :
- vous êtes propriétaires : rendez-vous en mairie annexe (2bis, rue Frédéric Mottez) avec l'avis de taxe foncière 2011 et une pièce d'identité.
- vous êtes locataires : rendez-vous au même endroit, avec une quittance de loyer récente, une pièce d'identité et une attestation du propriétaire donnant son accord...
Mais quand les locataires sont nombreux, mieux vaut arriver parmi les premiers pour avoir son bout de trottoir.
- vous habitez à l'extérieur du périmètre braderie, vous pouvez réserver un emplacement en ayant un accord écrit, daté et signé d'un propriétaire situé dans les rues où l'on brade.

http://nord-pas-de-calais.france3.fr/flashinfo/

lundi 13 août 2012

Saulieu : une exposition qui invite au voyage

Jusqu’au 29 août, le Maroc est à l’honneur sous le préau Monge grâce à l’exposition de deux artistes, Belal et Danielle, qui présentent leurs peintures mais aussi la présentation de l’artisanat local. Le dépaysement arrive à Saulieu et l’exposition invite au voyage grâce à deux peintres qui ont le Maroc en commun.
Abdelali Belal est originaire de Fès où il est allé à l’école. Très tôt l’art pictural le possède et il n’a qu’une idée en tête, souvent incomprise par son entourage : faire les Beaux-Arts. Qu’à cela ne tienne, il vend ses affaires personnelles et son vélo et “s’enfuit” à Casablanca où, à force d’insistance et de persuasion, les portes de l’école des arts appliqués s’ouvrent enfin à lui. Il poursuivra ses études et deviendra alors professeur d’arts appliqués à Fès tout en peignant des toiles. Belal souhaite avant tout transmettre son savoir et continuer à peindre, il fait l’unanimité chez ses élèves et est reconnu par les amateurs d’art.
Danielle est également native de Fès mais sa mère est originaire de Saulieu. Passionnée de dessin et de peinture depuis l’enfance elle n’a pas la chance d’assouvir cette passion et fait ses études dans une école de commerce. Dès qu’elle en a l’occasion, elle rejoint les associations qui dispensent des cours de dessin et de peinture. À l’heure de la retraite, elle retourne vivre au Maroc qu’elle n’a pas revu depuis son enfance. C’est là qu’elle rencontre Belal avec qui elle va travailler, progresser et tisser des liens d’amitié qui les ont conduits tout naturellement à Saulieu.
INFO Ouvert tous les jours de 10 à 12 heures et de 15 à 18 heures et dimanche de 10 à 12 heures. Entrée gratuite

dimanche 12 août 2012

Les expositions de l'été

Jusqu'au 1er septembre. « Quelques cheminements », carte blanche à la galerie l'Arrivage, rue Larivey à Troyes. Entrée libre tous les après-midi, sauf le lundi. Découvrez les œuvres de nombreux artistes.

NOGENT-SUR-SEINE. Jusqu'au 9 septembre. Exposition « L'Aube en chemin de fer » à découvrir au pavillon Henri-IV. Ouvert samedi, dimanche et mercredi de 14 h 30 à 18 h 30.
Entrée libre.
TROYES. Jusqu'au 2 décembre. Exposition « Céramique des peintres » avec plus de 200 pièces présentées au musée d'Art moderne. Ouvert de 10 h à 13 h et de 14 h à 19 h, le lundi, et du mercredi au vendredi de 11 h à 19 h le week-end. Tarif : 5 €.
CHAOURCE. Jusqu'au 8 septembre. « Verre et nature », exposition des œuvres de pâte de verre de l'artiste verrier Marie-Agnès Laurey, à l'office de tourisme de Chaource. Ouverture du mardi au samedi de 10 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 18 h 30.
Entrée libre.
SAINT-JULIEN-LES-VILLAS. Jusqu'au 30 septembre. Exposition « La Vierge au croissant de lune », à la Maison du patrimoine. Ouvert du mardi au dimanche de 14 h à 17 h 30. Entrée libre.
TROYES. Jusqu'au 8 septembre. « La médiathèque du Grand Troyes fête ses dix ans », exposition à la médiathèque. Ouvert du lundi et jeudi, de 12 h à 19 h. Mar., mer., vend., sam., de 9 h 30 à 19 h 30.
TROYES. Jusqu'au 30 septembre. « Spazio Luce », peintures de Pierro Cavallieri, Passe Art, galerie rue Passerat. Ouvert du lundi au samedi de 17 h 30 à 20 h. Entrée libre.
TROYES. Jusqu'au 31 octobre. « Templiers, une histoire, notre trésor » à l'occasion du 700e anniversaire de la dissolution de l'ordre du Temple, en partenariat avec les Archives nationales, à l'Hôtel-Dieu-le-Comte. Ouvert tous les jours de 9 h 30 à 19 h. Tarifs : 2 €, entrée libre pour les moins de 18 ans et les étudiants de moins de 25 ans. Visite commentée tous les jours à 16 h 30.
TROYES. Jusqu'au 30 décembre. Expositions « Porcelaine de Sèvres », cent cinquante pièces sont présentées au musée Saint-Loup. Ouvert lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Samedi et dimanche de 11 h à 18 h. Tarif : 4 €, entrée libre pour les moins de 25 ans.
TROYES. Jusqu'au 30 septembre. « Une passion des métiers : le champagne ! » à la Maison de l'Outil. Ouvert tous les jours de 10 h à 18 h.
Rens : 03 25 73 28 26.
Tarifs : 6,50 € et 5 €.
TROYES. Jusqu'au 30 décembre. Exposition « Claude et Isabelle Monod verre & collection Buttner », au musée d'Art moderne à Troyes. Ouvert du mardi au vendredi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Samedi et dimanche de 11 h à 18 h Tarif : 5 €.
TROYES. Toute l'année. « 1 000 ans de livres à Troyes », histoire de la précieuse collection de riches ouvrages à la médiathèque du Grand Troyes. Ouvert lundi et jeudi, de 12 h à 19 h. Mardi, mercredi, vendredi et samedi de 9 h 30 à 19 h. Entrée libre. Renseignements :
03 25 43 56 20.
TROYES. Toute l'année. « Reliures, gravures et monotypes » de Catherine Roussel, Fabrice Roussel et Julie Bonnafous, à la galerie Le Départ, 14 rue de la Cité. Ouvert du mardi au samedi de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h. Entrée libre.


http://www.lest-eclair.fr/aube-direct