samedi 29 octobre 2011

Vendredi 4 novembre à l'opéra: « La petite marchande d'allumettes »

Un conte musical, coproduit par un collectif d'artistes et l'opéra de Reims, mêle professionnels et jeunes dans une redécouverte de l'univers d'Andersen.

«VOUS pouvez chanter mezzo forte jusqu'à la fin. Certains forcent un peu trop sur la voix ». Dans le « petit théâtre » de l'Opéra de Reims, Cédrine Zwein, chef de chœur, fait répéter les enfants. Sur un texte de Brigitte Macadré et une mise en scène de Christine Berg, le conte est une adaptation de « La petite marchande d'allumettes » d'Andersen. « L'idée est née d'une envie de faire découvrir ou redécouvrir aux jeunes comme aux adultes cette forme de littérature qui permet d'entrer dans un monde onirique », explique Thomas Nguyen, directeur artistique et compositeur de la musique, orchestrée avec la participation de Gabriel Philippot. Les enfants répètent le « chœur des pâtissiers » : « On s'éclate au chocolat, blanc, noir, lait ou praliné… ». « Nous sommes déguisés en pâtissiers. Il faut chanter et danser en même temps. On va être essoufflés », commentent deux des jeunes artistes.
Artistes pros et jeunes amateurs
La petite troupe, composée de jeunes, âgés de 11 à 14 ans, issus de différents stages de chant choral organisés dans plusieurs maisons de quartier durant l'année, répète depuis début septembre, chaque semaine. « Nous souhaitions intégrer un chœur de jeunes dans une création professionnelle », précise Cédrine Zwein, surprise de la vitesse avec laquelle les jeunes se sont approprié les œuvres. Ils travaillent également la chorégraphie (assurée par Isabelle Bazelaire), les déplacements, la mise en scène, avec les professionnels qui participent au spectacle. Pour fin 2012, un livre audio va être édité.
Vendredi 4 novembre, le rideau s'ouvrira sur un spectacle coproduit par le collectif « Io » et l'Opéra de Reims. Un conte onirique qui oscille entre humour, poésie et gravité : par un soir de Noël, une petite fille voudrait rentrer chez elle. Mais elle sait qu'il faut d'abord sourire aux passants et vendre ses allumettes.
Leurs flammes vont ouvrir, au cœur de la ville, des visions magiques. Qui aurait pu imaginer qu'un trottoir gelé cachait tant de merveilles ?
Vendredi 4 novembre à 20 h 30. Opéra de Reims (théâtre). Entrée 15 euros. Réservations 03.26.50.03.92
billeterie@operadereims.com

http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/vendredi-4-novembre-a-lopera-la-petite-marchande-dallumettes

vendredi 28 octobre 2011

Nice: la saison des olives a déjà démarré!

Le moulin Alziari – le dernier en activité à Nice – a déjà commencé à presser les olives dont la récolte est très en avance en raison d’un été chaud et sec. Le millésime 2011 est prometteur.
Au moulin Alziari du quartier de la Madeleine, le dernier encore en activité à Nice, la meule écrase les olives pendant deux bonnes heures. Jusqu'à former une pâte marron et grumeleuse dans le fond de la « piste ». Robert Luminet fait alors couler de l'eau dans le bassin en pierre. Avec une « feuille », sorte de poêlon ajouré, il récupère d'un tour de main habile la première huile qui surnage. C'était mardi matin, pour le « baptême » de la récolte 2 011.

Un p'tit goût d'amande

« Goûtez-moi ça ! Vous reconnaissez ce goût d'amande typique du cailletier ? » Un qui ne perd pas une goutte des explications du maître moulinier, c'est Dominique Grec. Il cultive en amateur « une soixantaine d'oliviers reçus en héritage » du côté de Saint-Roman de Bellet. Il est l'un des premiers à apporter sa récolte au moulin cette année.

Robert assure que les olives ont mûri très tôt. « On a entre quinze jours et trois semaines d'avance. Pour ce que j'ai vu en me promenant dans la région, il y a beaucoup de fruits sur les arbres. Si le mauvais temps ne vient pas tout gâcher, on aura une bonne récolte ». Cet ancien prof d'histoire-géo passe désormais six mois par an au moulin pour produire une huile de qualité. Avant d'être retraité, il n'était que client de cette entreprise niçoise fondée en 1 868.

« L'été a été sec, elles ne sont pas gorgées d'eau comme l'année dernière. Pour produire un litre, cinq kilos d'olives vont suffire, contre sept kilos l'an passé qui avait été pluvieux ».

Le moulin a commencé à traiter les olives apportées par les producteurs de la bande littorale, où la maturité est la plus précoce. Puis, au fil des mois, il travaillera les productions des collines pour finir, en mars ou avril, avec les récoltes de Breil-sur-Roya.

Une méthode 100 % traditionnelle

« Tout dépend de l'altitude et de l'exposition des parcelles. Par exemple en ce moment, à Colomars, les arbres sont très chargés mais les olives sont encore vertes, alors qu'à Saint-Antoine-Ginestière elles sont déjà bien mûres ».

Comme pour le vin, les conditions météo sont déterminantes. Dominique Grec explique que, gamin, la récolte familiale se déroulait en décembre, un mois et demi plus tard que maintenant. Faut-il y voir un des effets du réchauffement climatique ? Possible.

Au moulin en tout cas, la méthode de production n'a pas changé. C'est 100 % à l'ancienne, sans aucun produit ajouté. « Chaque producteur repart avec l'huile de ses propres olives », poursuit Robert. Le maestro transmet son savoir au jeune Sébastien. Ils ne sont pas trop de deux pour ce travail qui demande autant de muscle que d'attention pour faire tourner des machines qui ont été installées il y a presque un siècle et demi…
http://www.nicematin.com/article/societe/nice-la-saison-des-olives-a-deja-demarre

jeudi 27 octobre 2011

Le Japon, invité d'honneur du Salon du livre de Paris en mars 2012

Le Japon sera l'invité d'honneur du Salon du livre de Paris du 16 au 19 mars 2012 et Moscou la ville célébrée, au côté de grands thèmes tels les liens entre le monde du livre et celui de l'image ou la culture manga, dont la France est le deuxième pays consommateur.
Pour ce 32e rendez-vous du livre à la Porte de Versailles sont attendus 200.000 visiteurs dont 30.000 jeunes, ainsi que 30.000 professionnels (libraires...), quelque 1.200 éditeurs et 2.500 auteurs, indiquent les organisateurs.
En 2011, le Salon avait accueilli 1.000 éditeurs et plus de 180.000 visiteurs.
Une trentaine d?auteurs japonais, romanciers, auteurs de polars, de livres jeunesse, poètes et mangakas viendront à la rencontre du public français ainsi qu'une dizaine d?auteurs moscovites.
Le manga, l?un des symboles forts de la culture japonaise, qui s?exporte désormais dans le monde entier, sera particulièrement à l'honneur. Les fans pourront rencontrer leurs héros dans un espace réservé : stands d?éditeurs, rencontres avec des auteurs, débats sur les particularités de ce genre et sur les étapes de sa production.
Des défilés de "cosplays" seront organisés sur la Grande Scène. Le "cosplay" consiste à se déguiser pour ressembler à un personnage de fiction.
Avec un grand événement public par jour, la thématique "Du livre au film" apportera un éclairage sur l?adaptation à l?écran d?oeuvres littéraires tous genres confondus (romans, polars, BD, etc.).
Depuis trois ans, le Salon organise aussi des Rencontres sur les droits audiovisuels avec la SCELF (Société civile des éditeurs de langue française) afin de faciliter les échanges entre éditeurs et producteurs.
En cette année électorale, le Salon s'interrogera aussi, à travers "Le livre dans la Cité" sur le rôle social du livre.
Plus de vingt régions françaises et plus de 300 éditeurs régionaux seront présents ainsi que des étrangers, en plus des Japonais et des Moscovites, venus d'Argentine, de Tunisie, Turquie, Pologne, Hongrie, Chine, Arménie ou Allemagne.
Des groupements d?éditeurs religieux, écologiques, scientifiques ou de livres d?art seront également au rendez-vous. Et chaque métier du livre sera représenté pendant le Salon.
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/le-japon-invite-d-honneur-du-salon-du-livre-de-paris-en-mars-2012-24-10-2011-1683651.php

mercredi 26 octobre 2011

"Metropolis" : exposition événement à la Cinémathèque française

Une collection unique au monde, présentée jusqu'au 29 janvier 2012, permet de découvrir le film à travers six grandes séquences qui servent de parcours.

Fritz Lang (5 décembre 1890 – 2 août 1976) est un réalisateur allemand d'origine autrichienne, naturalisé américain en 1935. Ce fut l’un des grands noms de ce que l’on a appelé le cinéma expressionniste allemand. Ses films muets (Docteur Mabuse, Les Espions, Metropolis) le désignèrent comme un maître aux yeux des plus grands cinéastes.
Ce qui caractérise Metropolis, c’est la grandeur technique de son exécution. Le film a été tourné entre 1925 et 1926 dans trois des plus grands studios de Neubabelsberg, dans la banlieue de Berlin. 311 jours et 60 nuits de tournage furent nécessaires pour terminer cette œuvre spectaculaire.
La Cinémathèque française possède une collection unique au monde : plus de 800 photographies de plateau, des dessins originaux, le robot reconstitué par Walter Schulze-Mittendorff


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mardi 25 octobre 2011

Une fête des Lumières ardente, dimanche, à Mosaïc,pour célébrer la fin de la saison avec poésie

Dommage, la saison est déjà terminée. Dimanche 30 octobre,

le parc Mosaïc d'Houplin-Ancoisne ferme ses portes pour cinq mois. Un peu de repos pour les animaux, pas mal de boulot pour les salariés de l'espace naturel. Il va falloir remettre clôtures et espaces verts en état, afin qu'en avril prochain, le jardin des cultures, à nouveau paré de ses plus beaux atours, accueille ses premiers visiteurs de la saison.
Dimanche, l'Espace naturel Lille Métropole organise, comme tous les ans, sa traditionnelle fête des Lumières. Cette année, c'est la compagnie transport culturel fluvial qui va mener les curieux en bateau, dans un monde où l'eau joue avec le feu. À Mosaïc, les visiteurs épris de nature sont invités à assister à la représentation des amours contrariés d'Aquarius, jeune femme à la tête de poisson, et de Zoroastre, puissant mage de feu. De tableaux en tableaux, ils vivront cette douce romance, en compagnie des protagonistes. Un spectacle poétique où l'eau se mêle avec le feu dans un univers fantastique et fantasmagorique, peuplé d'acteurs, de danseurs, d'acrobates, d'artificiers.
Dans la journée, les artistes qui ont marqué l'année de Mosaïc reviendront animer le jardin des cultures. Une fin de saison en apothéose, à ne surtout pas manquer.
Fête des Lumières de Mosaïc, dimanche 30 octobre, à partir de 14 h pour les animations et à 17 h pour le spectacle (fermeture des caisses à 17 h).
Renseignements : Tél : 03 20 63 11 24.
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=f%C3%AAte&source=newssearch&cd=6&ved=0CFgQqQIwBQ&url=http%3A%2F%2Fwww.lavoixdunord.fr%2FLocales%2FSeclin%2Factualite%2FSecteur_Seclin%2F2011%2F10%2F24%2Farticle_une-fete-des-lumieres-ardente-dimanche-a.shtml&ei=5VOlTvvrOIae-wb9z5yoBQ&usg=AFQjCNHkynzqysh-OHMIwm6Eg2G1seAhHQ&sig2=odJWNwtjs_HWdWi9pr1-hg

lundi 24 octobre 2011

Exposition « Demoiselles » : bienvenue dans l'univers féminin de Lilly Seewald

Jusqu'au 4 novembre, les Roubaisiens sont invités à découvrir l'exposition « Demoiselles » de Lilly Seewald dans les locaux du Ankama restaurant qui, depuis deux ans est devenu le lieu de rendez-vous des amateurs de belles choses et des nouveaux talents de la région. Chaque mois, un nouvel artiste est mis à l'honneur.

« Nous acceptons tous les styles et toutes les techniques d'art, explique Sabine Darras, gérante des expositions au Ankama, cependant nous avons tendance à privilégier l'art figuratif. C'est l'un des points commun des quelques artistes que nous avons accueillis jusque là. » « Une première exposition en solo » pour cette jeune Nordiste de 24 ans, originaire d'Alsace, qui a pris ses premiers cours de dessin à l'âge de 6 ans. A 18 ans, Lilly signe sa première collaboration en tant qu'illustratrice avec les éditions Henry de Montreuil-sur-Mer (dans le Pas-de-Calais) pour l'élaboration d'un ouvrage intitulé Demain, c'est mon anniversaire, d'Anne-Françoise Théréné, adressé aux enfants de 10 à 12 ans. Sa carrière commence alors à prendre forme.

Fascinée par le visage féminin

Après des études d'arts plastiques à Lille III et l'obtention de son diplôme, la jeune femme s'envole pour le Canada, et commence à travailler dans une boutique d'art et de loisirs créatifs. De retour en France, elle collabore avec les éditions Playbac pour la création d'une valisette de la collection Lili Chantilly ou encore pour le magazine Charlotte aux fraises avec les éditions Turbulences.
Aujourd'hui, Lilly a trouvé sa voie en se consacrant au visage féminin pour lequel elle voue une véritable fascination et finit par donner naissance à ses « Mistinguettes ».
« Je ne suis pas féministe, assure-t-elle dans un éclat de rire, mais pour ma part, je trouve qu'il est plus agréable de dessiner des visages féminins. Ils sont plus doux et permettent qu'on s'y attarde pour y ajouter de nombreux détails. J'aime ajouter de la couleur ou dessiner des yeux de biche à mes personnages. »

Des pièces uniques

Peintures, dessins, collages, sur toile, papier, carte postale ou napperon, Lilly Seewald ne lésine pas sur les supports. Artiste polyvalente, la jeune femme s'est récemment lancée dans la création de bijoux à l'esprit très vintage, un style qu'elle affectionne, et d'accessoires à l'effigie de ses Mistinguettes (sacs, badges, miroirs de poche, boîtes, etc). Des modèles uniques pour tous les goûts et pour toutes les bourses qui avaient été présentés lors du vernissage de l'exposition et qui avaient remporté un vif succès, « Mon stand avait été littéralement pris d'assaut, je n'avais pratiquement plus rien en stock, se souvient Lilly. Actuellement, je reçois beaucoup de commandes, que ce soit pour des tableaux qu'on me demande de reproduire (toutes les toiles sont des pièces uniques) ou pour des bijoux.
» Des projets ? Lilly n'en manque pas. Grande adepte des brocantes, la jeune femme espère pouvoir se lancer très prochainement dans la customisation d'éléments de décoration, un projet qui lui tient à coeur. « Même si je tente de nouvelles expériences, mon boulot premier reste l'illustration ». • S. O. (CLP)
L'exposition s'achèvera le 4 novembre. Les intéressé(e) s pourront retrouver les créations de Lilly sur sa boutique en ligne lilly-seewald.dawanda.com ou sur lilly-seewald.com.
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=exposition&source=newssearch&cd=2&ved=0CDEQqQIwAQ&url=http%3A%2F%2Fwww.lavoixdunord.fr%2FLocales%2FRoubaix%2Factualite%2FSecteur_Roubaix%2F2011%2F10%2F23%2Farticle_exposition-demoiselles-bienvenue-dans-l.shtml&ei=kPqjTvizIIPQ4QTNrc3vBA&usg=AFQjCNGms5PtP5_JuOJNYjUUc7fQKcfxEQ&sig2=A6oOZOz-gsCtG--j6vdWyg

dimanche 23 octobre 2011

Les fans de BD comblés

Ce sera un beau salon : solide et diversifié », promet Matthieu Druillole, vice-président de l'Amicale laïque de Bassillac et en charge du Salon de la BD. Cette 22e édition, qui se déroulera samedi 22 et dimanche 23 octobre, accueillera 55 auteurs, un nombre record. Découverte et renouvellement seront à l'ordre du jour. « La moitié n'est encore jamais venue. »
Les deux invités d'honneur seront le scénariste Kris et le dessinateur Jean-Denis Pendanx. « Kris était présent il y a deux ans. Il écrit des séries qui sont de vrais succès auprès du public. Son album "Un homme est mort", réalisé avec Étienne Davodeau, a obtenu le prix de la bande dessinée d'actualité de France Info. »
Un Autrichien, un Finlandais
Jean-Denis Pendanx est venu au salon dans les années 1990 où il présentait sa série « Labyrinthe ».
Depuis, il a réalisé « Abdallahi » l'histoire de René Caillié, premier Européen à avoir foulé le sol de Tombouctou et le triptyque « Jéronimus », des albums marquants tant pour le graphisme que la couleur. « Kris et Jean-Denis Pendanx ont réalisé ensemble leur premier album, "Svoboda". En tchèque, ça veut dire liberté. C'est un récit historique qui se déroule en Sibérie pendant la Révolution russe. Et c'est le premier tome d'une série qui en comptera huit ou neuf. »
Plusieurs auteurs étrangers effectueront le déplacement à Bassillac. Le Belge Max de Radigues, spécialiste de la BD jeunes ; l'Italien Stefano Casini ; Yoon Sun Park, Coréenne, habitant à Angoulême ; Gradimir Smudja, dessinateur d'origine serbe vivant en Italie, qui a réalisé des albums sur Toulouse-Lautrec et Van Gogh. À noter la présence pour la première fois d'un auteur autrichien, Léopold Maurer et d'un Finlandais, Hannu Lukkarinen.
On retrouvera bien sûr les Périgourdins habitués du salon. Au premier chef, Philippe Bigotto, qui n'a manqué aucune édition (lire ci- contre). Il fera équipe avec son complice Thierry Félix. On peut citer également José et Pablo Corréa, Monsieur Puzzle, Stéphane Laumonnier, le scénariste Benoît Rivière, etc.
Belle affiche. D'autant que de nombreux genres seront représentés : BD historiques, thrillers, polars, science-fiction… Sans oublier le rugby, en plein dans l'actualité.
Les scolaires aussi
Les organisateurs attendent ce week-end environ 5 000 personnes. La majeure partie des visiteurs viennent de l'agglomération périgourdine et du département. « Il y également des passionnés de BD de toute la France. Ils représentent 20 % de la fréquentation. »
Pour les spécialistes comme pour le public familial, le salon offrira une large palette de propositions. Cinq expositions serot présentées, ainsi qu'un espace lecture et dessin. Deux libraires et quatre bouquinistes amèneront des ouvrages.
Une large place sera réservée aux scolaires. Vendredi 21 octobre, les collégiens doivent décerner leur prix. Les enfants des écoles de Bassillac et de Boulazac recevront des auteurs dans leurs classes. Et tous ceux qui viendront au salon auront leur mot à dire. Les visiteurs seront appelés à voter pour le prix du public qui sera décerné dimanche soir.
http://www.sudouest.fr/2011/10/21/les-fans-de-bd-combles-532243-4608.php