samedi 22 octobre 2011

1500 ans après sa mort / Que reste-t-il du roi des Francs ? C'est la fête lundi !

Clovis est mort le 27 novembre 511. 1500 plus tard, le service du patrimoine met en lumière l'époque mérovingienne. L'anniversaire se fête dès lundi.

SOUVIENS-toi du Vase de Soissons… Cette phrase a été apprise par bien des écoliers. Aux Soissonnais, on pourrait dire aujourd'hui : Souviens-toi de la mort de Clovis, il y a 1500 ans. Ce serait le 27 novembre 511 et le roi des Francs avait 45 ans.
Un millénaire et demi plus tard, à Soissons, ville qui doit une partie de sa notoriété au célèbre vase, on célèbre l'anniversaire de ce décès. Pour le service de l'architecture et du patrimoine, c'est l'occasion de montrer « à travers ce personnage, les transformations de Soissons, qui va entrer dans le Haut Moyen-Age », indique Karine Jagielski, directrice, évoquant le développement des abbayes, puisque Clovis s'est converti. Son épouse Clotilde, dont les reliques sont à Vivières, près de Villers-Cotterêts, n'y est pas pour rien…

Un vase en métal

L'abbaye Saint-Médard - dont la crypte subsiste encore - l'abbaye Notre-Dame - dont les vestiges sont à découvrir dans le square Saint-Pierre - sont, bien que construits après Clovis, des témoins de la véritable entrée de Soissons dans l'ère chrétienne, même si le diocèse existait déjà.
Si Clovis et le Vase vont être l'objet de circuits, il est parfois difficile de satisfaire la curiosité des touristes dont la question lancinante est « Où est le Vase ? » Point de vase et point trop de représentations, ni de cet objet, ni de l'homme qui y est associé. Jusque-là, un feuillet comportant un texte était remis aux curieux. Désormais (lire ci contre), une brochure pourra les rassasier davantage. Car c'est Grégoire de Tours qui a, le premier, évoqué ce vase, 100 ans après la mort de Clovis et c'est encore après que des détails sur la provenance supposée de l'objet sont donnés dans d'autres textes. Difficile donc, de savoir ce qu'il en est vraiment…
Toujours est-il que l'on peut découvrir au musée des vases de l'époque de Clovis, arrivé à Soissons, vraisemblablement en 486, pour livrer la bataille portant le nom de la ville. Dans les salles d'archéologie consacrées à l'époque mérovingienne, certains sont exposés ainsi que d'autres, des « ratés de cuissons », dans la salle d'histoire locale, qui eux, sont bien Soissonnais puisqu'ils ont été trouvés, en 1992, lors de fouilles, dans la rue de l'Hôpital. Mais il ne s'agit pas de l'objet du texte. Lui est vase liturgique, un objet d'orfèvrerie… qui serait donc sans aucun doute en métal. Exit, donc, l'histoire du vase brisé : il ne serait que cabossé ! Et il pourrait ressembler à celui dont l'image trône près des vases trouvés à Soissons !

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/1500-ans-apres-sa-mort-que-reste-t-il-du-roi-des-francs
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vendredi 21 octobre 2011

Clôture en musique pour les 800 ans de la cathédrale

Un grand concert sera donné dimanche à la basilique pour clôturer les festivités officielles du 8e centenaire.

LES festivités officielles du 8e centenaire de la cathédrale touchent à leur fin. Et on terminera en beauté -on a presque envie de dire en fanfare, si le terme n'était pas vraiment approprié- ce dimanche 23 octobre, avec un grand concert dans les murs de la… basilique Saint-Remi ; là seront réunis une foule d'artistes, orchestre, choristes et soliste, en l'occurrence la soprano Annick Massis (voir par ailleurs). Mais c'est « toute cette fin de semaine qui est importante » pour Bernard Poret, le président des Amis de la cathédrale, association organisatrice : « Il y aura d'abord le colloque international, qui débute ce jeudi, où il est vrai que les Rémois ne sont invités que dans la limite des places disponibles à la médiathèque (voir aussi notre édition d'hier mercredi) ; en revanche, ils sont largement invités à la conférence donnée ce jeudi soir à la cathédrale (20 h 30), ouverte au public, gratuite, et qui sera animée par un conférencier au CV extraordinaire, Willibald Sauerländer. »
Et puis il y aura le samedi soir à 18 h 30, à la cathédrale toujours, un concert de musique médiévale par l'ensemble Beatus, quelques jeunes de la Maîtrise et le chœur grégorien de Champagne-Ardenne. Là ce sera payant, mais « nous avons fixé des tarifs bas, commente le président organisateur, 5 ou 7 euros. »

Saint Remi le trait d'union

Quant au dimanche, il sera marqué par trois événements distincts : dans l'ordre chronologique la messe de 11 heures à la cathédrale, qui comportera une solennité particulière puisque ce sera celle de l'anniversaire de la « dédicace » (la consécration) du bâtiment ; ensuite le grand concert à Saint-Remi à 17 heures. « Pourquoi à Saint-Remi ? commente M. Poret, tout simplement parce qu'il était matériellement impossible d'installer à la cathédrale les gradins, les praticables et tout le matériel pour le concert avec la messe du matin… » Cela dit, cet épisode concernant la cathédrale mais ayant lieu à la basilique ne chagrine pas outre mesure l'organisateur : « Saint Remi ne constitue-t-il pas un vrai trait d'union entre les deux monuments, lui qui a baptisé Clovis dans l'un et donné son nom à l'autre ? »
Enfin, dans la soirée, ce seront les dernières représentations du remarquable « rêve de couleurs », illuminant la façade de Notre-Dame. Il faudra ensuite attendre le marché de Noël pour les revoir. Et quand les projecteurs s'éteindront ce soir-là, on pourra dire que le 8e centenaire aura vécu. Enfin officiellement. Et on pourra, du côté des organisateurs, souffler un bon coup, et du côté des amoureux de la cathédrale, se projeter déjà vers l'année suivante, où l'on fêtera le 50e anniversaire de la réconciliation franco-allemande. Mais ceci est une autre histoire…
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/cloture-en-musique-pour-les-800-ans-de-la-cathedrale

jeudi 20 octobre 2011

Salon du chocolat. Clara Morgane à croquer sans modération !

Le Maître chocolatier roannais François Pralus participera du 20 au 24 octobre au 17ème Salon du chocolat à Paris. Il a choisi comme ambassadrice de charme Clara Morgane qui portera lors du défilé "Cacao show" une parure de lingerie en chocolat.
Comme chaque année, le défilé "Tendances Chocolat" révèlera une collection de modèles "couture" en chocolat portés par des personnalités et imaginés par des tandems de créateurs et de chocolatiers. Pour réaliser cette création gourmande "made in Roanne", le chocolatier François Pralus s’est entouré d’une styliste de talent, Maxine Watta.
D’origine anglaise, c’est au bureau de style Chantal que Maxine Wattam, passionnée de lingerie, a fait ses armes. Elle a conçu pour l'occasion une parure de lingerie en chocolat aux allures baroques et burlesques. Influencée par le bondage japonais, sa parure « Bumpy Boop », évoque le fameux soutien-­gorge conique réalisé par Jean-­Paul Gaultier pour Madonna. La créatrice a souhaité que le soutien-­gorge soit relié à l'aide de scoubidous à une culotte comportant une paire de fesses rebondies en chocolat.
Clara Morgane a accepté pour la première fois de se prêter au jeu du défilé de robes en chocolat pour la Maison Pralus. Sa plastique lui permet de porter mieux que personne cette tenue sexy éphémère à croquer !
Salon du chocolat Porte de Versailles du 20 au 24 octobre, Chocolats Pralus Espace grand public, Stand D9. Défilé de robes tous les jours à 17 heures sur le podium central "Cacao show".
http://www.leprogres.fr/loire/2011/10/19/clara-morgane-a-croquer-sans-moderation

mercredi 19 octobre 2011

Ouverture du salon sur la sécurité intérieure "Milipol"

Le 17e salon "Milipol", consacré à la sécurité intérieure des Etats, a ouvert ce mardi 18 octobre au Parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris jusqu'à vendredi, et mettra l'accent sur les "risques majeurs", selon ses organisateurs. Il sera inauguré par le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant.
Seul "salon mondial" dans ce domaine, se tenant alternativement à Paris et à Doha (Qatar), Milipol "met en valeur la très grande variété des technologies utilisées et leur actualité" en la matière, souligne son président le préfet Alain Rondepierre.
L'événement de cette édition parisienne, sera le "développement de l'espace risques majeurs", créé en 2009 et qui avait "suscité un intérêt incontestable" auprès des visiteurs. Dans ce cadre, police, gendarmerie et Sécurité civile présenteront leurs actions, interventions et innovations selon différents scen
Importance de la vidéo-surveillance
Tandis que la police fera intervenir sa "cellule mobile d'intervention chimique" en réponse à l'action simulée d'un kamikaze dans un lieu public, la Sécurité civile mettra en scène une équipe de déminage après la "découverte" d'un objet suspecté de contenir un chargement chimique.
Quant à la gendarmerie, elle présentera son véhicule d'intervention BIOTOX-PIRATOX, un laboratoire mobile aérotransportable unique en Europe.
Quatre autres thématiques (technologies/information/communication ; mobilité-sécurité routière ; armement et textiles/équipements spéciaux) seront développées.
De même, la vidéo-surveillance tiendra une place importante au cours de ce salon parisien, avec notamment la présentation d'une "valise de vidéo surveillance intelligente" interprétant les images issues de multiples caméras grâce à des logiciels intelligents.
888 exposants de 47 pays
Dans un autre domaine, sera présenté un "drone de contact léger", engin d'un poids de 600 grammes avec 200 grammes de capacité d'emport, d'une autonomie de 20 minutes, pilotable par télécommande ou grâce à la programmation de points GPS. Avec pour mission la "reconnaissance avant intervention, il est en cours de dotation au RAID-FIPN, l'unité d'élite de la police nationale.
"Milipol" 2011 accueillera 888 exposants (dont 34 % français) représentant 47 pays (887 exposants et 43 pays en 2009).
Si certains des Etats présents en 2009 à Paris ne figurent plus dans la liste, sept nouveaux se sont inscrits : Australie, Emirats Arabes unis, Hongrie, Lettonie, Malaisie, Slovaquie et Singapour.
Le prochaine édition de Milipol se tiendra du 26 au 28 novembre 2012 à Doha.arii.
http://tempsreel.nouvelobs.com/high-tech/20111018.OBS2671/ouverture-du-salon-sur-la-securite-interieure-milipol.html

mardi 18 octobre 2011

Picardie Mouv

La sixième édition du festival des musiques actuelles se déroule du jeudi 3 au samedi 12 novembre 2011.
La Picardie va encore une fois danser et chanter au rythme du reggae, du rock, de la chanson française, du folk ou de l’électro. Pour cette sixième édition, diversité et découverte, tant dans les styles musicaux que dans les artistes et groupes !
Picardie mouv, c’est un festival ouvert à tous les publics, et particulièrement aux jeunes : les tarifs proposés y sont particulièrement adaptés. Et, avec des soirées organisées dans 19 villes, il est accessible à tous les picards !
Rendez-vous donc tout au long de ce festival, quels que soient les sons qui vous font vibrer … Vous trouverez toujours de quoi satisfaire votre curiosité et découvrir de nouveaux talents.
Tous les programmes sur ce lien...
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&sqi=2&ved=0CCIQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.picardiemouv.com%2F&ei=LtyaTuCnAq304QSVoNiqBA&usg=AFQjCNFqsCdHiy7tBefAuuFl5oYmztC-nA&sig2=jy48M3ox_Uh-TbHxstAXMA

lundi 17 octobre 2011

Le livre événement sur Anne Sinclair nous apprend tout de ses amours

En pleine tourmente médiatique depuis plusieurs mois, la journaliste Anne Sinclair voit à présent sortir un livre biographique intitulé "Anne Sinclair, femme de tête, dame de cœur". Les deux biographes tentent de décrypter sa personnalité et nous disent tout de ses amours…
C'est un travail débuté en 2009. Les deux journalistes, Alain Hertoghe et Marc Tronchot, décident de raconter l'histoire de la femme de Dominique Strauss-Kahn, alors qu'il est annoncé comme favori socialiste pour les présidentielles 2012. Anne Sinclair accepte ce projet et ces longs entretiens, qui se concluront juste après le scandale de New York, en mai dernier. Le livre "Anne Sinclair, femme de tête, dame de cœur" vient de sortir et les deux auteurs ont offert quelques passages croustillants à "TV Magazine". On en sait notamment plus sur les amours de l'ancienne présentatrice de "7 sur 7".
Les conquêtes amoureuses d'Anne Sinclair sont nombreuses et hauts placées. Elle vit une histoire avec Jacques Attali (entre autres ancien conseiller de François Mitterrand), mais leur relation est décrite comme "pas assez passionnelle, trop 'plan-plan'". D'après les biographes, "le problème est simple, Jaques Attali n'est pas assez amoureux d'elle". Elle vit alors une aventure de quelques mois avec Laurent Fabius mais cela ne durera pas.
Anne Sinclair rencontre alors Ivan Levaï, son premier mari. Dans le livre, le journaliste qui a récemment pris la défense de la femme de DSK, écrit leur rencontre : "Et, soudain, je vois une reine de la nuit, une jeune femme avec des yeux absolument incroyables, je ne vois plus qu'eux. Je suis foudroyé".
Mais le véritable amour de sa vie, c'est Dominique Strauss-Kahn. Très vite, ils s'envoient des lettres d'amour enflammées et rendent leur idylle publique. Mais les proches de la journaliste s'affolent : "Sa réputation d'homme à femmes est bien établie sur la place de Paris". Tant pis, Anne Sinclair est amoureuse et pardonne même à son époux son incartade avec la haute responsable hongroise du FMI en 2008. Elle raconte : "il était tellement malheureux du mal qu'il avait fait, à moi, et aux enfants, qu'iI s'est puni tout seul".
Depuis, la brune aux yeux immenses a vécu une véritable tourmente. Anne Sinclair confie aux journalistes, juste après le scandale de New York : "Dans l'adversité, je me répète la devise de ma grand-mère : on serre les dents, on serre les poings. Et j'ajoute ; après, si besoin, on en use". Une femme forte mais sensible, prête à tout pour protéger son mari. Car comme l'expliquent si bien, Alain Hertoghe et Marc Tronchot dans l'interview pour "TV Magazine" : "C'est DSK qui la connaît le mieux".