samedi 17 novembre 2012

Le dîner était presque parfait...

Trois belles sœurs - l 'intello, la bourgeoise et la femme au foyer- et leurs époux ,se retrouvent pour un dîner. Hélas, Talia, la secrétaire d'un des époux, véritable bombe sexuelle, débarque pour le dessert. L'ambiance déjà électrique, monte d'un cran, chacune des épouses, étant persuadée que son mari est l'amant de Talia… Règlement de comptes en tous genres, répliques qui fusent et qui font mouche ,sont au menu de cette comédie grinçante d'Éric Assous, qui, tour à tour macho puis féministe, étudie les différences de comportements, et sonde le cœur deshommes, des femmes… et des couples qu'ils forment. Mise en scène par Francis Azéma, interprété avec fougue par la Cie Cœur et Jardin,à laquelle s'est jointe Virginie Desarnauts, cette comédie est présentée, avec le désir d'en découdre,au Grenier Théâtre. (14 impasse Gramont. De 10 à 18€. Du jeudi au dimanche, jusqu 'au 8 décembre. Tel : 05 61 4821 00)

>> Plus d'infos sur la pièce "Les Belles-soeurs" sur ToulouScope.fr


http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/13/1487542-virginie-desarnauts-sacree-belle-s-ur.html

vendredi 16 novembre 2012

Les Méridionaux tissent des liens entre les arts et les styles à la Maison des Associations

Peintres, sculpteurs, photographes, dessinateurs : quatre-vingt-onze artistes exposent sur le thème «Lien (s)».
Le 83e Salon des Artistes Méridionaux se déroule à la Maison des Associations jusqu'au 15 décembre.
Le Salon des Artistes Méridionaux, 83e du nom, s'est ouvert cette semaine à la Maison des Associations. Peintres, dessinateurs, sculpteurs, photographes ou céramistes, artistes figuratifs ou abstraits : l'exposition est largement ouverte à toutes les esthétiques et sensibilités. Quatre-vingt-onze artistes ont été sélectionnés par le jury de la Société des Artistes Méridionaux.
«Nous avons reçu cette année 164 dossiers. Nous en avons retenu quatre-vingt-onze car l'espace de 400 m2 de la Maison des Associations n'offrait pas plus de places. Le jury se prononce sur les œuvres. Ils ne regardent pas les noms», précise le peintre Bernard Ryon, le président de l'association. Le hasard fait bien les choses : la parité hommes femmes règne chez les artistes exposés.
«Lien (s )» est le thème de l'édition 2 012. Le sujet se prête à de nombreuses variations. Le Toulousain Christophe Giral l'interprète de façon classique et sensible en lui donnant les traits d'une grand-mère et de son petit-fils. Le peintre a simplement baptisé sa toile «Générations». Beaucoup d'autres ont évoqué ces «lien(s )» de façon non figurative, en utilisant leur belle palette de couleurs. On citera par exemple Françoise Alric, Raphaël Autunnale, Ernest Averso, Jeanne Leray, Nila, Jacqueline Pré…
Les sculpteurs, nombreux cette année dans l'exposition, ne manquent pas d'imagination. David Léger avec son «Triptyque», Serge Martin-Robin et l'entrelacement de formes d'«Arabesque», Pedro auteur de l'installation «La Bande magnétique», Frédéric Pélissier inspiré par «Le berceau de l'humanité» : ces sculpteurs ont créé des «lien (s)» très personnels. Pour une trentaine d'artistes, ce salon des méridionaux est une première. Le dessinateur calligraphe Gut fait partie des nouveaux venus. Il a imaginé uneFête des feux de la Saint-Jean.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/10/1485763-les-meridionaux-tissent-des-liens-entre-les-arts-et-les-styles.html

jeudi 15 novembre 2012

Evénement original, vendredi 16 novembre à Vincennes…

On verra de nouvelles selles, au cours de la nocturne du vendredi 16 novembre à Vincennes. Non pas que les jockeys aient opté pour du matériel neuf, mais parce que ce sera la fête du… vélo !


A l’occasion de la remise des trophées de la 21ème Coupe de France PMU, les 5 premiers de ce « championnat » 2012 ainsi que 5 champions cyclistes de légende s’affronteront sur la cendrée mais… dans des courses de road-cars, associés à des drivers vedettes.
Mais se dérouleront tout de même deux courses de vélos, sur la piste, puisque Samuel Dumoulin et Nacer Bouhanni ont accepté le défi d’affronter, chacun, un trotteur, les chevaux étant confiés à Matthieu Abrivard et Eric Raffin.


Bien entendu, il y aura également un quinté « normal » et des épreuves de trot et, pour clore la soirée, un grand feu d’artifice est prévu.
Si vous êtes tentés, voici un « tuyau » : vous pouvez retirer des invitations sur
www.letrot.com.

http://onrefaitlescourses.rtl.fr/

mercredi 14 novembre 2012

Événement à Lyon : deuxième édition du "Festival Labelsoie"

"Des Canuts à la création contemporaine" : tous les acteurs de la soie sont réunis du 14 au 30 novembre 2012 à l'initiative de la Ville de Lyon.
La seconde édition du Festival Labelsoie, des canuts à la création contemporaine, piloté par les musées Gadagne, est dédiée cette année aux diverses innovations qui ponctuent l’histoire de la soierie lyonnaise.
La vocation de cet événement est de mettre en avant la richesse de ce secteur, de valoriser la diversité de ses innovations à la fois techniques, sociales et culturelles. Il montre que Lyon a su prendre appui sur un héritage exceptionnel pour continuer à construire l’avenir, en devenant un acteur majeur de la création, du design textile et des tissus techniques en Europe.
Une dizaine de boutiques lyonnaises (jeunes designers, librairies, grandes enseignes, ameublement design), partenaires de l’évènement animeront leurs lieux et leurs vitrines aux couleurs du festival.


http://suite101.fr/voyages-decouvertes


mardi 13 novembre 2012

Les plus grandes actrices de cinéma s'affichent à la cinémathèque

Une toute nouvelle exposition s'est installée dans le Hall de la Cinémathèque de Toulouse. Depuis mardi 6 novembre et jusqu'au 6 janvier, les amoureux du 7e art ainsi que tous les curieux peuvent découvrir «Belles de jour», une succession d'affiches qui retrace l'histoire du cinéma de façon originale.
À travers sa propre collection d'affiches, le comité de programmation de la Cinémathèque a souhaité mettre en valeur la femme et plus précisément l'actrice.

Un concept original

Imaginez un peu… tous les films ont disparu, les scénarios ont été détruits et il ne reste plus rien de la presse cinématographique. Une affreuse vision qui obligerait les générations suivantes à écrire son histoire et ses usages à partir des seules collections d'affiches. C'est le drôle de concept de cette nouvelle exposition. Raconter les heures de gloire d'un cinéma qui n'aurait jamais eu froid aux yeux.
D'affiches en affiches, le spectateur aperçoit ces stars de l'écran, ces icônes féminines, les véritables pin-up d'hier et d'aujourd'hui. Ces créatures sont tour à tour présentées sous les traits d'une prostituée avec ou sans cœur, d'une «vamp» en robe longue et bien sûr échancrée au possible. «Belles de jour» invite le public à faire une expérience amusante et enrichissante. L'occasion de retrouver Brigitte Bardot, tout juste vêtue de sa longue chevelure afin d'illustrer l'affiche du chef d'œuvre «Le Mépris» réalisé par Jean-Luc Godard.
La représentation d'héroïnes telles que Rita Hayworth ou encore Vivianne Romance, permet à cette exposition de nous parler du 7e art, ainsi que des fantasmes des affichistes et publicitaires de l'époque.
Une accumulation de stéréotypes, qui traverse ce que les historiens appellent la «Nouvelle Vague». La littérature doit également énormément à ces créatures de rêve qui ont été des muses pour de nombreux auteurs.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/09/1484912-les-plus-grandes-actrices-de-cinema-s-affichent-a-la-cinematheque.html

lundi 12 novembre 2012

Une exposition très colorée

Le concours exposition 2012 du Club ornithologique Sud-Landes Côte basque s'est achevé dimanche dernier. À la mi-journée, Danielle Destouesse, adjointe au maire de Tarnos ; Ludovic Marcadieu et Guy Rivera, dirigeants du club ornithologique, ont dévoilé le palmarès du concours.
Palmarès: Grand prix élevage toutes classes confondues et canaris couleurs, Michel Darrigues ; canaris postures, Ludovic Marcadieu ; exotiques, Daniel Lopes ; indigènes mutés, Fabien Damestoy ; becs crochus, Robert Langlois.
Après avoir reçu les félicitations de Danielle Destouesse pour la qualité de l'exposition et son remarquable festival de couleurs d'oiseaux, le président du club a remercié les participants et a associé au succès de la manifestation le maire de Tarnos, les juges du concours, les éleveurs

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&frm=1&source=newssearch&cd=2&cad=rja&ved=0CDAQqQIoADAB&url=http%3A%2F%2Ftarnos.blogs.sudouest.fr%2Farchive%2F2012%2F11%2F08%2Fune-exposition-tres-coloree.html&ei=M6ibUIjIEqyY0QWK8IH4Bw&usg=AFQjCNGWCqY8GO9DCcZMmOF3_p6VKk5tmQ&sig2=cMd4KRElHnuK719U-aWssg

dimanche 11 novembre 2012

Il sera au Zénith de Dijon le mardi 20 novembre

C’est un mythe, unique en son genre. Une véritable main mise sur des millions de fans qui depuis 50 ans scrutent le moindre de ses mouvements. Les millions, il ne les compte probablement plus, “vedette” de tous les records, couronner de 40 disques d’or, 22 de platine, 3 de diamant et 8 Victoires de la Musique, il est aujourd’hui aussi présent dans les foyers français que le mobilier nordique.
Un succès qui traverse le temps comme une comète, passant des salles secouées par l’effervescence des sixties où il partageait la scène d’Évreux avec Jimi Hendrix, pour devenir plusieurs décennies plus tard la star incontestée des J.T de 13 heures. Entre les deux, 50 ans d’une vie menée comme un fantasme d’adolescent.

Histoire d’une légende

Jean-Philippe Smet, né d’un père belge et d’une mère française, ne choisira sa nationalité qu’à 18 ans. Confié très jeune à sa tante paternelle qui l’élève avec ses deux cousines, ce nouveau foyer sera l’origine de son premier contact avec la scène. Ses cousines, qui apprennent la danse classique, lui feront partager un rêve, un rêve de scènes, de projecteurs, de paillettes. L’une d’elles, Desta, a alors pour partenaire un danseur américain, Lee Lemoine Ketcham, qui se produit sous le nom de scène de “Lee Halliday”. Adopté par ce grand frère de substitution, qui le baptise affectueusement “Johnny”, il suit avec ambition l’activité scénique de ses aînés. Il a 11 ans et occupe la scène pendant les changements de costume du couple, pousse la chansonnette.

Un club pour tremplin

C’est le coup de foudre avec les planches. Inscrit à l’école des enfants du spectacle, il échange son violon contre une guitare, alors qu’il découvre Elvis Presley au cinéma à l’age de 14 ans. Sa vocation prend forme. Le repaire de tous les fans de musique américaine en cette année 1959, c’est le Golf-Drouot, la première discothèque rock de la capitale. Dans le club, un jukebox attire comme une sirène les jeunes du 9 e arrondissement qui forment petit à petit un public de connaisseurs. Le club sera un tremplin pour plus de 6 000 groupes amateurs à partir de 1961. Le jeune Jean-Philippe est un adepte du club, mais signe du destin, ce sont les G.I d’une base américaine qui, à la fin des années 50, lui offriront ses premiers retours positifs. C’est toujours le même Lee Halliday qui l’alimente en disques, Presley, Bill Halay, introuvables alors en Europe. Il en fait son inspiration légitime, mais la musique ne séduit pas vraiment les clubs de l’Hexagone.
Ses premières chansons, aussi sirupeuses que directes et novatrices, collent à un genre qui lui inspirera une discographie au standard encyclopédique, déclinée sur 47 albums studio. Mais pour l’heure, plus que de chansons, c’est son image qu’il doit faire découvrir au public. Une attitude, un style qui va bientôt provoquer un vent d’hystérie.

Idole intergénérationnelle

La première tentative se solde par un échec cuisant. Bien qu’il signe chez Vogue un premier 45 tours (son nom se voit alors affublé d’un second Y), une reprise de Dalida, T’aimer follement, les radios (en particulier Europe 1) accueillent le disque avec mépris. La jeune émission Salut les copains sera alors son seul soutien.
Aidé par Line Renaud, il fait sa première télé dans L’École des Vedettes, où il chante Laisse les filles en jouant de la guitare tout en se roulant par terre, attitude qui défraie la chronique et dope les ventes de son album Hello Johnny. Le reste de la presse reste hostile au déchaînement passionné que lui témoigne son jeune public lors de ses premiers galas. Le 13 février 1961, dans une ambiance survoltée et bagarreuse où les arrestations sont nombreuses, il chante au premier festival international de rock organisé au Palais des sports de Paris. C’est probablement l’un des événements qui feront entrer le rock dans les foyers français. Porté par une industrie du disque qui trouve ses marques, à 18 ans, il est professionnel depuis à peine plus d’un an, a enregistré 35 chansons et a déjà vendu un total de 1 673 000 disques.

Rockeur éternel

Johnny brille également par une autre exception : son intarissable longévité. Tour à tour adulé, imité, remarié, caricaturé, en pleine confession, objet de pub, objet de culte, signe distinctif sur les T-shirts, et source d’inépuisables pronostics, son image fait presque partie du patrimoine. Porté par un public qui, plus que fidèle, se renouvelle de génération en génération, “l’Idole des jeunes” devenue idole des stades arrive probablement au crépuscule de sa carrière. Aspect qui fera assurément de cette tournée un succès sans précédent, une habitude prise par le rocker depuis bien longtemps, sur les rives d’un Mississippi imaginaire.
Pratique Mardi 20 novembre, à 20 heures, au Zénith. Tarifs : de 55 à 130 €. Tél. 03.80.667.666 (Pyrprod) et 03.80.42.44.44 (billetterie du Bien public ).