samedi 21 avril 2012

Blues samedi à Manureva : Xavier Pillac

CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes) Après Philippe Grancher lundi, Fred Chapellier mercredi, voici un troisième bluesman à Manureva ce samedi, Xavier Pillac. Quelle semaine ! Et quel semestre car le public carolo n'aura jamais vu autant de nouvelles têtes. Xavier Pillac est un guitariste originaire du Poitou qui vient d'avoir 36 ans. A 17 ans, il commence à se produire sur des scènes locales avec différents groupes qui jouent des classiques du rock anglo-saxon et français et des compos personnelles.
A 20 ans, sa rencontre avec le Californien Jeff Magidson le conduit dans l'univers du blues. Des influences majeures se dessinent : Robert Johnson, Freddy King mais surtout BB. King et Eric Clapton.
Premier groupe, Blues en Ville. Xavier Pillac se lance alors dans l'écriture et compose en français, des ballades blues, funky ou folk acoustiques. Son souhait est que les inconditionnels du blues se rendent compte que c'est une musique universelle qui peut être chantée dans toutes les langues. En 2000, sortie du premier opus Faut que j'aille bosser. Suivront deux autres albums, S'en sortir en 2004 et Trio Live en 2010.
En 2002, le guitariste poitevin a obtenu le titre de Révélation blues de l'année et est parti aux Etats-Unis pour enregistrer avec l'harmoniciste et chanteur Joshua Singleton. Il y rencontrera par ailleurs l'un de ses maîtres, BB King. De retour au pays, il écume depuis les cafés-concerts, salles et festivals de l'hexagone, partageant l'affiche avec Liz McComb, Paul Personne, Ana Popovic, Bernard Allison, Byther Smith, Andy J. Forest, Geoffrey Oryema, Bill Thomas, entre autres….


Aujourd'hui Xavier Pillac est sans conteste une valeur sûre du blues made in France. Son prochain album, Nervous Breakdown, est attendu pour l'été 2012.
Le groupe : Xavier Pillac (guitare, chant), Antoine Escalier (basse, chœurs), Fabrice Bessouat (batterie), J.J. Louis (orgue Hammond).
Concert samedi 21 avril 20 h 30 espace Manureva. Entrée : 12 euros, 6 euros. Réservation au 03.24.33.60.40.


http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/blues-samedi-a-manureva-xavier-pillac

vendredi 20 avril 2012

150 ans d'Histoire dans une malle retrouvée dans la cave de la mairie

Pénétrer dans une cave a toujours pour effet d'auréoler de mystère l'instant présent. C'est changer d'univers et d'époque à la fois.
Dans la cave de la mairie, René Coty, dans son cadre officiel,semblait attendre les visiteurs au bas des escaliers, à même le sol,cachant toute visibilité à Jacques Chirac et au Général de Gaulle qui comme lui avaient occupé un temps le mur central de la salle du conseil municipal. Face à lui,dans des tons « vert-olive » délavés par le temps, se trouvait une petite malle, au couvercle bombé, motif de mon incursion indiscrète en compagnie de Thierry Dufour dans la mémoire de la commune. « Nous avons retrouvé deux malles lors d'une opération de traitement de nos archives. Elles renferment des documents précieux correspondant à la période 1800-1950 » précise le maire. Je comprends alors pourquoi le 17e Président de la République Française veille en première ligne sur ces trésors. Ils concernent les 154 années qui ont précédé son élection. Poussiéreux, brunis par le temps, ou recroquevillés par l'humidité, un grand nombre d'entre eux s'offrent immédiatement à notre curiosité. On a envie de tout sortir, de tout voir, mais la délicatesse s'impose. Le temps a fragilisé les documents.

1868 : pétition contre l'école

Nos doigts sélectifs se portent sur une pétition soumise en 1868 au conseil municipal « contre l'établissement à La Falgarié d'une maison d'école », sur un dossier de 1860 à l'en tête « Empire Français : au nom de l'Empereur ». C'est « l'exercice de gestion 1858 de la commune de Puygouzon ».
Un peu plus bas dans la pile nous tombons sur «le tableau de recensement de la classe 1872 » (la guerre qui opposa l'empire de Napoléon III à la Prusse était achevée depuis un an), puis sur un courrier de 1869 concernant l'achat d'une parcelle. Une période de l'histoire de Puygouzon est sous nos yeux, pour peu de temps encore, puisque le conseil municipal a décidé de déposer les malles aux archives départementales. Les archives assureront le dépoussiérage, le classement, le conditionnement et la conservation des documents qui pourront être consultés selon « les règles en vigueur» précise Thierry Dufour « mais qui resteront propriété de la commune».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/18/1333588-puygouzon-150-ans-d-histoire-dans-une-malle.html

jeudi 19 avril 2012

Concert de Lady Gaga à Nice: le "rush" pour acheter des places

Plus d’une centaine de fans attendaient hier, à la première heure, de pouvoir acheter leur place pour l’un des deux concerts que donnera Lady Gaga en France, le 4 octobre, à Nice

À la sortie de la file d'attente, billet à la main, un jeune fan de Lady Gaga s'effondre en larmes. L'émotion est trop forte. Un ami est à ses côtés pour le réconforter. Plus fort que pour le concert de Coldplay, beaucoup plus fort que pour celui de Madonna : hier matin très tôt, bien avant l'ouverture des portes, c'est plus d'une centaine de fans de Lady Gaga qui se pressait devant les grilles de la Fnac de Nice. Objectif unique : être parmi les premiers à avoir leur place pour le concert du 4 octobre.

« Je me suis levée à 5 h 30 pour être ici à 7 h 30. J'ai même manqué l'école pour l'occasion », explique Marion, toute tremblante. À l'ouverture du magasin, à 10 heures, les « Little monsters » - nom donné aux fans de la chanteuse extravagante - se sont littéralement rués au premier étage. Dans l'escalator, on a poussé, on a couru, on a crié. La devise ? « Chacun pour soi. »

Pour tous ces fans inconditionnels de la star planétaire, il était hors de question de réserver les places sur Internet. « On préfère venir directement, car c'est le seul moyen d'être 100 % sûr d'avoir sa place. Car on ne sait jamais, le réseau Internet pourrait saturer rapidement, alors que moi je ne veux louper pour rien au monde ce concert », s'exclame Steve.

Une occasion à ne pas manquer, il est vrai, puisque la chanteuse américaine a prévu uniquement deux dates en France pour cette tournée baptisée Born This Way. Ce sera le 22 septembre au Stade de France et le 4 octobre… au stade Charles-Ehrmann à Nice.

« Le plus dur, maintenant, c'est d'attendre six mois. En tout cas, le jour J, j'y serai, et encore une fois à 7 heures du matin, pour être la mieux placée possible », précise encore Jennifer, les yeux remplis de bonheur.

http://www.nicematin.com/musique/concert-de-lady-gaga-a-nice-le-rush-pour-acheter-des-places.846406.html

mercredi 18 avril 2012

Douze ans après, la Foire commerciale revient à Lille et veut renaître de ses cendres

Après douze ans d'absence, la Foire commerciale de Lille signe son grand retour samedi à Lille Grand Palais. Durant une semaine, du 21 au 29 avril, près de 400 exposants régionaux, français et européens viendront présenter leurs produits, parfois étonnants. Cent mille visiteurs sont attendus. Josiane Balistaire, directrice générale de GL Events Lille, nous détaille l'événement.

> Douze ans après, la foire a-t-elle toujours sa place ?
Avec la multiplication, ces dernières années, de salons thématiques, de foires d'hypermarchés ou le développement d'internet, la Foire commerciale de Lille a-t-elle encore sa place dans le paysage métropolitain et régional ? « Oui, au contraire !, assure Josiane Balistaire, directrice générale de la société d'événementiel chargée de sa réalisation. S'il y a quinze ans, les gens étaient en demande de salons thématiques, on s'aperçoit que la tendance s'inverse. »

En juillet dernier, c'est d'ailleurs à la demande de Lille Grand Palais que la directrice, en charge des plus gros salons organisés dans l'infrastructure (Amenago, 70 000 visiteurs Tendances habitat, 16 000 Immotissimo, 11 000), commence à travailler sur le projet. « En rachetant Norexpo, en 1997, nous avions acquis le nom officiel. C'était logique d'organiser la Foire commerciale de Lille et ça permet de ne pas concurrencer nos autres salons. »
> Ancrée dans les mémoires
Avec 1,5 million de visiteurs en 1959, au plus fort de sa renommée, la Foire internationale de Lille était considérée comme l'une des plus importantes de France et d'Europe. Lorsqu'elle s'éteint, en 2000, 100 000 visiteurs s'y bousculent encore. Robots, aspirateurs dernier cri, canapés à moitié prix, démonstrations toujours plus originales... Née en 1925, la foire, autrefois hébergée dans les bâtiments de Norexpo (là où se trouve aujourd'hui le conseil régional), était devenue incontournable. D'où cette opération de communication (et séduction) à grande échelle, qui surfe sur la vague du souvenir.

D'ailleurs, ce n'est pas hasard si, sur les affiches publicitaires, on retrouve l'inscription attrayante « 15 ans après... ». « Même si nous revendiquons ce côté vintage, ce ne sera pas comme avant. La foire se déroulait une fois par an, c'était la seule. Il y avait une attente. »
> Que va-t-on donc y trouver ?
« Des bons plans mais pas d'innovation. Il y a beaucoup d'autres endroits pour ça. » Mais les traditionnelles démonstrations, qui ont fait le charme de la foire d'antan, seront bien au rendez-vous. Débouche-tuyau révolutionnaire, râpe à légumes, robots ménagers... « C'est avant tout un endroit familial, où l'on peut se balader à la découverte de produits, promet la directrice. Le public visé n'est pas le même que pour les salons traditionnels. » Gastronomie, bien-être, tourisme, loisirs, beauté, équipements électriques, motorisés, ménagers... Sans oublier les stands aux couleurs du monde (Maghreb, Argentine, Vietnam...) et la « célèbre allée du bagout », où des commerçants effectueront des démonstrations parfois théâtrales.

Mais c'est avec les animations, qui ont aussi largement contribué à la renommée de la foire de Lille, que Josiane Balistaire compte séduire et attirer le public. « Comme à l'époque, chaque visiteur repartira avec un cadeau. » Neuf voyages, trois voitures et 20 000 E de lots sont à gagner. Personnalités, jeux-concours ou encore groupes de musique régionaux ponctueront cette folle semaine. Un test grandeur nature qui permettra de savoir si l'emblématique foire est capable de renaître de ses cendres
http://www.lavoixeco.com/actualite/Secteurs_activites/Commerces_et_Distribution/2012/04/16/article_douze-ans-apres-la-foire-commerciale-rev.shtml

mardi 17 avril 2012

Toulouse-Lautrec réveillé à Albi

Onze années de travaux ont métamorphosé le Palais de la Berbie qui abrite la plus importante collection dédiée au chantre des nuits parisiennes. Un artiste à redécouvrir.
C’était le vilain petit canard d’une des plus anciennes lignées de la noblesse française. Henri de Toulouse-Lautrec (1864 - 1901) était difforme, handicapé par une maladie congénitale. Et pire encore : artiste peintre. Une vocation incongrue mais finalement respectée par ses parents, le flamboyant comte Alphonse et Adèle, sa mère. Après la mort prématurée d’Henri épuisé par les intempérances, cette dernière se préoccupe de sa postérité. En 1922, elle lègue le fond d’atelier de son fils à la Ville d’Albi (Tarn).

Cette donation qu’avait refusée le musée du Luxembourg à Paris, s’avérera une aubaine, car Toulouse-Lautrec est vite admis au panthéon des peintres du XIXe siècle. La collection d’Albi, constamment enrichie (aujourd’hui un millier d’œuvres), est la plus importante au monde.
On la redécouvre aujourd’hui après une interminable (onze ans) mais magnifique rénovation du palais épiscopal de la Berbie qui héberge Lautrec depuis 1922. Dans cet imposant écrin de briques roses, la collection se déploie en ponctuant les étapes d’une vie fugace et intense.
Henri peint dès l’adolescence. Des paysages, d’aristocratiques scènes de chevaux - dont il sera exclu à cause de sa disgrâce physique - et de plus en plus de portraits : ses amis, ses cousins, sa mère adorée, la comtesse de Toulouse-Lautrec immortalisée dans de doux camaïeux impressionnistes, parfois cézanniens.
Mais c’est surtout l’influence d’Edgar Degas, qui émane du petit monde pittoresque des maisons closes, dont l’artiste devient familier lorsqu’il s’installe à Paris en 1882. Les prostituées aimantent Lautrec, comme les danseuses fascinent Degas.
Ses compositions prennent le parfum capiteux des salons chargés de tentures et de filles lascives. Lautrec excelle surtout dans l’esquisse, l’instantané, saisissant la résignation d’une rousse renfilant ses bas, le rictus sardonique d’une mère maquerelle, un mouvement de tendresse entre deux pensionnaires.
Ces pochades, fusains et rehauts d’éclaboussures blanches, sur de simples cartons, révèlent un grand art de la simplification que Lautrec pousse un cran plus loin avec ses fameuses affiches pour les cabarets parisiens. Il met en scène des figures de la nuit et du spectacle : la Goulue et Valentin le Désossé au Moulin Rouge, le chansonnier Aristide Bruant à l’Eldorado, Jane Avril, Yvette Guilbert...
Le musée d’Albi possède l’intégralité des 31 affiches qui ont fait la renommée de Lautrec lithographe. Elles sont complétées par d’intéressants travaux préparatoires réalisés au même format. Comme la série consacrée au chanteur Caudieux, un dandy corpulent mais raffiné, miné par les outrages du temps. L’angoisse, la douleur, percent souvent sous le fard, sous les masques de Lautrec. Faut-il y percevoir des tourments plus intimes ? Probablement. Sur les ultimes toiles, très oppressantes, il montre les médecins qui soignent sa syphilis et ses troubles mentaux.
Un seul autoportrait, peint à l’âge de 16 ans, figure dans la collection : un beau reflet flou renvoyé par une glace. Henri de Toulouse-Lautrec ne se représentera ensuite que sous la forme de caricatures. Le 9 septembre 1901, il meurt à Malromé, le château de sa mère en Gironde. "Maman, vous, rien que vous" sont ses derniers mots.
Un palais musée

Le musée Toulouse-Lautrec a retrouvé son lustre grâce à la totale réhabilitation du Palais de la Berbie, joyau d’Albi avec la cathédrale voisine Sainte Cécile, un ensemble classé au patrimoine de l’Unesco depuis 2010. Tout en doublant les surfaces d’exposition, la rénovation met en valeur l’architecture singulière de cette résidence fortifiée des évêques, notamment la salle de l’Inquisition avec son pavement d’origine du XIIIe. Une collection d’art ancien et moderne complète le fond Lautrec.
Ouvert tous les jours, sauf le mardi.museetoulouselautrec.com

http://www.midilibre.fr/2012/04/14/toulouse-lautrec-reveille,486358.php

lundi 16 avril 2012

Décospray fait éclater la planète graff

On retrouve le trio entre objets éclatant de couleur dans l'atelier de Fonbeauzard, près de Castelginest,étiré sur 250 m2. : «Ici, nous sommes chez nous et plutôt à l'aise. Après avoir démarré à Croix-Daurade dans un petit local, on est plutôt contents», affirme Sébastien Paty, l'un des trois graffeurs fondateurs de la société Décospray avec Rodolphe Moraly et Vincent Beynet. Une saga toulousaine presque incroyable où le talent le dispute à la chance. «Nous avons lancé notre entreprise il y a cinq ans après avoir été durant deux ans en association. Notre spécialité, c'est le graff personnalisé sur tous supports pour les particuliers et les professionnels. Sans oublier la partie événementielle avec shows et diverses manifestations artistiques».

Adorés aux émirats

Parti des trottoirs et des terrains vagues de Toulouse, le trio colore désormais à l'international : des émirats à la Grande-Bretagne en passant par l'Espagne, l'Italie et le Maroc. «Les Emirats adore le graff. Ils aiment les dessins plutôt élaborés. Ils ont aussi les moyens»,avoue Sébastien. Le groupe le dit : «On se positionne sur le modèle Outre-Atlantique. On se démarque».
Graffeurs de base, ils ont tout appris à l'école de la rue : «On faisait des graffitis purs, spontanés. Aujourd'hui , on s'adapte à la demande pour dessiner dans les chambres d'enfants Spiderman ou Hello Kitty. On habille aussi le salon des parents avec vue pop de New York version Andy Warhol».
Sébastien, autodidacte, a usé ses couleurs sur les murs de la capitale : «Je suis passé d'une totale liberté à un dessin élaboré. Ce n'est pas simple. Mais la créativité reste. Nous ne sommes pas des photocopieuses».

Émissions de déco à la télé

Aujourd'hui , leur carnet de commandes explose : «Au début, on travaillait souvent gratuitement par pur plaisir. Et puis face à la demande, on s'est lancé en SARL. Nous sommes devenus une PME avec une démarche à la fois créative et administrative». Attaché aux valeurs pionnières du graff, Decospray a travaillé l'an passé pour le bus des Restos du Cœur et Un maillot pour la vie : «De belles causes». Sans oublier, TF1et l'émission, «Tout changer chez soi» pour laquelle ils ont relooké gratuitement l'appartement d'une famille en difficulté. On a aussi vu le trio sur M6 Déco. «Aujourd'hui on veut donner au graffiti une vraie reconnaissance et continuer notre saga».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/15/1331142-decospray-fait-eclater-la-planete-graff.html

dimanche 15 avril 2012

Le Nice Jazz Festival 2012 dévoile ses têtes d'affiche

Du jazz et des escapades pop ou R’nB et Dee Dee Bridgewater en marraine. Le Jazz à Nice place la barre trés haut : battre les records d’affluence de l’été dernier dans son nouveau Jardin Albert-Ier

Ca fleure bon l'été. Le Nice Jazz Festival a dévoilé hier sa programmation 2012. Ce sera du 8 au 12 juillet dans le jardin Albert-Ier.

Cinq soirées de swing dans tous ses états. Note Bleue avec un Herbie Hancock qui, à 72 ans, a accepté de revoir son cachet à la baisse pour être présent à Nice. Géants du swing et du bop qui, depuis le temps de la Grande Parade, ont toujours été fidèles à Nice, comme Ahmad Jamal, Ron Carter ou Dee Dee Bridgewater, la marraine de l'édition.

Mais aussi multiples escapades loin du jazz, histoire d'« attirer un public plus jeune que le mot jazz, parfois, rebute encore».

Voila le ton de ce Nice Jazz Festival 2012.

Exclusivement jazz dans l'enceinte du théâtre de Verdure mais rock, pop, soul, funk, en fait totalement débridée devant les 6 000 spectateurs qui, chaque soir, pourront se masser devant la grande scène du Jardin Albert-1er.

C'est là que le punk balkanique d'Emir Kusturica et du No Smoking Orchestra sévira, que la divine Selah Sue, nouvelle coqueluche R'nB la jouera Amy Winehouse en mode proprette et belge ou encore que Texas réapparaîtra après plusieurs années de silence radio.
*Les réservations ouvrent dès aujourd'hui réseau France Billet avec un tarif prévente jusqu'au 31 mai 2012 à 31 euros.

http://www.nicematin.com/musique/le-nice-jazz-festival-2012-devoile-ses-tetes-daffiche.842752.html