Paris (75)-Ile de France
Musique
Paris Jazz Festival, Parc Floral du Bois de Vincennes, du 9
juin au 29 juillet.
Rock en Seine, du 24 au 26 août. Placebo, SigurRos, C2C,The
Black Keys, Noel Ghallagher's, High Flying Birds, Green Day, FosterThe People...
Jazz à la Villette, du 29 août au 9 septembre. Macy
Gray&David Murray Blues Orchestra, Magma, Orchestre national de jazz, Bill
Frisell, Archie Shepp Big Band...
Festival d'Ile de France, du 8 septembre au
14 octobre. Vingt neuf concerts dans 26 lieux, musique classique, world et jazz.
Théâtre
Paris Quartier d'été, du 14 juillet au 11 août. Cent
cinquante représentations en plein air, dans 40 lieux de la capitale et proche
banlieue. Artistes venus d'Espagne, Canada, Autriche, France, USA.
Sceaux (92)
Musique
Festival de L'Orangerie, du 15 juillet au 9 septembre :
Roger Muraro, Henri Demarquette, François-Fréderic Guy, Jean-Fréderic Neuburger,
Jean-Claude Pennetier et Christian Ivaldi, Quatuor Fauré, Quatuor Rosamonde,
Claire Désert, Quatuor
Prazak...
Grand Centre
Bourgogne
Musique
Beaune (21)- Festival international d'opéra baroque, du 6 au
29 juillet. Neuf opéras et oratorios célèbrent les 30 ans du festival.
Vézelay (89)- Les Rencontres musicales, du 23 au 26
août.
Théâtre
Chalon-sur-Saône (71) - Chalon dans la rue, du 18 au 22
juillet.
NORD-OUEST
Bretagne
Musique
Carhais Plouguer (29) - Les Vieilles
Charrues, du 19 au 22 juillet. Portishead, Keziah Jones, The Cure,
Martin Solveig, Thomas Dutronc, Sting, Justice, Bob Dylan, Gossip,
Amadou&Mariam, Orelsan...
Lorient (56) - Festival Interceltique, du 3 au 12 août. Pour
l'année de l'Acadie, à l'honneur des artistes du Canada. Moriarty, Buena Vista
Social Club, Vertigo, Dominique Dupuis et Roland Gauvin, Marie-Jo Thério, Xosé
Manuel Budino, Michael Mc Goldrick, John McCusker, Dan Ar Braz...
Landerneau (29) - La fête du bruit, du 10 au 11 août. David
Guetta, Agoria, Shaka Ponk, Christophe Misossec, Catherine Ringer...
Saint-Malo (35) - La route du rock, du 10 au 12 août.
Spiritualized, Squarepusher, Dominique A, Parick Watson,The XX, Mark Lanegan,
Mazzy Star, Stephen Malkmus and the Jicks, The Walkmen, Cloud Nothings...
Vannes (56) -Jazz à Vannes, du 30 juillet au 4 août. Yuri
Buenaventuera, Malia, Madeleine Peyroux, Kyle Eastwood Band, Ibrahim Maalouf,
Giovanna Mirabassi Trio, Jacky Terrasson & Stéphane Belmondo, Fréderic
Monino, Marcus
Miller...
NORD-EST ALSACE
Musique
Sélestat (67) - Léz'arts Scéniques, du 27 au 29 juillet.
Ministry, Rancid, Catherine Ringer, Dr Jimmy Cliff, Birdy Nam Nam, Tiken Jah
Fakoly...
Picardie
Musique classique
Saint-Riquier (80) - Festival de musique classique, du 13 au
22 juillet. Emmanuel Rossfelder, Hugues Leclère, Jean-Claude Pennetier, Duo avec
Laurent Cirade et Paul Staïcu, Le Quatuor Ebène, Richard Galliano Septet, Anne
Queffélec, Yann Queffélec...
SUD-EST CORSE
MUSIQUE
Patrimonio (2B)- Nuits de la guitare, du 18 au 25 juillet.
Mariza, Biréli Lagrène Quartet, Jean-louis Aubert, Chico and the Gypsies, Alan
Parsons Live Project...
Languedoc-Roussillon
DANSE
Montpellier Danse, du 22 juin au 7 juillet. Artistes du
bassin méditerranéen : Mourad Merzouki, Mathilde Monnier, Andrès Marin, Danya
Hammoud, William Fosythe, Ali Moini...
Provence-Alpes-Côte
D'Azur
Vaison -La-Romaine (84)
DANSE
Vaison Danses, du 8 au 28 juillet. Les Ballets de
Monte-Carlo, La compagnie Carolyn Carlson, La compagnie Momix, Philippe
Découflé...
Aix-en-Provence (13)
Art lyrique, concerts
Festival d'Aix-en-Provence, du 5 au 27 juillet. "Les Noces
de Figaro", "La Finta Giardiniera", " David et Jonathas", " Written on Skin"
....
Antibes- Juan-Les-Pins (06)
Musique
Jazz a Juan, du 12 au 22 juillet. Adam Cohen, Anoushka
Shankar et Charlie Winston, Robin McKelle, Keith
Jarret...
Avignon (84)
Théâtre, Danse
Festival d'Avignon, du 7 au 28 juillet. Simon McBurney,
Sophie Calle, Christoph Marthaler, Christophe Honoré, Stéphane Braunschweig Sidi
Larbi Cherkaoui...
La Roque -d'Anthéron
(13)
Musique classique
Festival international de piano, du 21 juillet au 22 août.
Orange (84)
Art Lyrique
Chorégies d'Orange, du 7 au 30 juillet. " La Bohème" de
Puccini," Requiem" de Mozart, "Petite Messe solennelle" de Rossini, " Turandot"
de Puccini...
Ramatuelle (83)
Musique
Jazz a Ramatuelle, du 16 au 20 août. Aldo Romano, Abdullah
Ibrahim Sextet, Patricia
Barber...
SUD-OUEST
MIDI-PYRENEES Marciac
(32)
Musique
Jazz in Marciac, du 27 juillet au 15 août. Melody
Gardot, Esperanza Spalding, Sonny Rollins, Youn Sun Nah Quartet, Gregory Porter,
Roberto Fonseca, Ibrahim Maalouf...
MONTAUBAN
(82)
Musique
Jazz à Montauban, du 29 juin au 2 août. Ahmad Jamal, Ayo,
Maceo Parker, Julien Clerc, Olivia Ruiz, Aloe Blacc...
Figeac
(46)
Théâtre
Festival de théâtre, du 18 juillet au 1er août. Bruno
Sermonne, Olivier Desbordes, Michel Fau, Richard Mitou...
http://lci.tf1.fr/culture/musique/les-festivals-de-l-ete-region-par-region-7408335.html
De vous à moi ... de moi à vous ... mes infos évènements ... suivez moi ... Des évènements, des faits divers, des information sur les faits de société et sur des faits politiques et sportifs, revue de presse des spectacles et des festivals
samedi 14 juillet 2012
vendredi 13 juillet 2012
Plus de 200 œuvres au salon d'art contemporain
Le salon international d'art contemporain de Montauban ouvre ses portes aujourd'hui, la 6ème édition durera jusqu'au 25 août à l'ancien collège. Deux cent œuvres sont exposées.
Aujourd'hui débute le 6ème salon international d'art contemporain à l'ancien collège de Montauban. Cette manifestation est organisée par l'Association pour la promotion des artistes et des créateurs, présidée par Serge Lachèvre. L'exposition durera un mois et demi, jusqu'au 25 août , contrairement aux années précédentes où elle avait duré deux semaines. « Cette année nous espérons accueillir plus de visiteurs et que ce salon devienne un véritable rendez-vous estival du Tarn et Garonne. » explique Serge Lachèvre. Les trois salles de l'ancien collège accueillent plus de deux cent œuvres réalisées par soixante artistes peintres et sculpteurs, ils viennent tous de Midi-Pyrénées, mais c'est la première fois qu'ils exposent en Tarn et Garonne. L'objectif de ce salon est d'offrir la possibilité aux artistes de faire connaître et vendre leurs œuvres. Cette 6ème édition met à l'honneur le peintre belge Olivier Lamboray qui définit la peinture comme sa vie. « Cet artiste a un coup de crayon extraordinaire, c'est un passionné, et c'est pour ces raisons que nous l'avons choisi. » explique Serge Lachèvre.
L'art contemporain, c'est la tendance qui se dégage de nos jours, de l'abstrait au figuratif, et qui est apparu après la seconde guerre mondiale. Cette année pour le salon, l'absence d'un thème offre aux artistes la possibilité d'exposer librement leurs œuvres.
Le vernissage de ce 6ème salon international d'art contemporain aura lieu demain à 18 h 30 à l'ancien collège.
Serge Lachèvre évoque Olivier Lamboray : «Cet artiste a un coup de crayon extraordinaire, c'est un passionné.»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/10/1397486-plus-de-200-uvres-au-salon-d-art-contemporain.html
Aujourd'hui débute le 6ème salon international d'art contemporain à l'ancien collège de Montauban. Cette manifestation est organisée par l'Association pour la promotion des artistes et des créateurs, présidée par Serge Lachèvre. L'exposition durera un mois et demi, jusqu'au 25 août , contrairement aux années précédentes où elle avait duré deux semaines. « Cette année nous espérons accueillir plus de visiteurs et que ce salon devienne un véritable rendez-vous estival du Tarn et Garonne. » explique Serge Lachèvre. Les trois salles de l'ancien collège accueillent plus de deux cent œuvres réalisées par soixante artistes peintres et sculpteurs, ils viennent tous de Midi-Pyrénées, mais c'est la première fois qu'ils exposent en Tarn et Garonne. L'objectif de ce salon est d'offrir la possibilité aux artistes de faire connaître et vendre leurs œuvres. Cette 6ème édition met à l'honneur le peintre belge Olivier Lamboray qui définit la peinture comme sa vie. « Cet artiste a un coup de crayon extraordinaire, c'est un passionné, et c'est pour ces raisons que nous l'avons choisi. » explique Serge Lachèvre.
Hommage à Marc Dautry
Ce salon rend également hommage au graveur, sculpteur et peintre Marc Dautry, qui était un artiste de grande qualité et un dessinateur très talentueux, cet événement est l'endroit idéal pour exposer certaines de ses œuvres encore méconnues du grand public.L'art contemporain, c'est la tendance qui se dégage de nos jours, de l'abstrait au figuratif, et qui est apparu après la seconde guerre mondiale. Cette année pour le salon, l'absence d'un thème offre aux artistes la possibilité d'exposer librement leurs œuvres.
Le vernissage de ce 6ème salon international d'art contemporain aura lieu demain à 18 h 30 à l'ancien collège.
Serge Lachèvre évoque Olivier Lamboray : «Cet artiste a un coup de crayon extraordinaire, c'est un passionné.»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/10/1397486-plus-de-200-uvres-au-salon-d-art-contemporain.html
jeudi 12 juillet 2012
14 juillet : TF1 et France 2 dans le flou
C'est le flou intégral à TF1 et France 2 concernant l'organisation précise de la journée du 14 juillet. Du côté de l'Elysée, les services de presse expliquent que rien ne devrait être connu avant mercredi. Soit quatre jours avant les émissions spéciales qui mobilisent les rédactions.
Ainsi, personne ne sait où et à quelle heure le président Hollande s'exprimera. Et les chaînes ont donc le plus grand mal à déterminer quels seront les journalistes chargés de l'interview de celui qui souhaite renouer avec un rendez-vous que le prédécesseur avait abandonné depuis cinq ans. Du côté du défilé lui-même, aucune confirmation officielle n'était connue aujourd'hui à 12h sur la présence des Casques bleus et du secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki-moon.
http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/articles-type/4/0/Tous-les-articles.html
Ainsi, personne ne sait où et à quelle heure le président Hollande s'exprimera. Et les chaînes ont donc le plus grand mal à déterminer quels seront les journalistes chargés de l'interview de celui qui souhaite renouer avec un rendez-vous que le prédécesseur avait abandonné depuis cinq ans. Du côté du défilé lui-même, aucune confirmation officielle n'était connue aujourd'hui à 12h sur la présence des Casques bleus et du secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki-moon.
http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/articles-type/4/0/Tous-les-articles.html
mercredi 11 juillet 2012
Festival d'Avignon: "Le Maître et Marguerite", un maelström où s'entremêlent les styles
A un rythme échevelé, "Le Maître et Marguerite", roman mis en scène par Simon McBurney pour le Festival d'Avignon, entraîne le spectateur dans un maelström où s'entremêlent de façon inextricable les époques et les styles qui vont du tragique au burlesque, de la passion au fantastique.
Présenté pour la première fois en France, dans la vaste Cour d'honneur du Palais des Papes, pour ouvrir samedi le festival, l'adaptation du metteur en scène britannique raconte l'amour liant le Maître et Marguerite qui n'hésite pas à se vendre au Diable pour retrouver celui qu'elle aime.
La pièce relate aussi la souffrance du Maître, écrivain opprimé par la dictature stalinienne, la rencontre de Ponce Pilate avec Jésus et les mésaventures de personnages de la Russie stalinienne dans les années 1930/1940, étirées jusqu'à nos jours. Mésaventures d'autant plus folles que le Diable vient de débarquer à Moscou.
Ecrit puis réécrit par l'écrivain russe Mikhaïl BoulgakoV, "Le Maître et Marguerite", roman foisonnant et complexe achevé par son auteur en 1940, a été interdit en Union soviétique jusqu'en 1966. Une version censurée fut alors publiée, suivie en 1973 de l'oeuvre intégrale.
Sur scène, une action succède ou s'entremêle à une autre à un rythme haletant, tandis que les techniques les plus sophistiquées de projection vidéo se superposent à un théâtre artisanal, où un bâton représente une fenêtre qu'on ouvre ou qu'on enjambe.
Des chaises, un bureau, un lit métallique, un panneau qui se tire constituent le décor. Mais à l'action du plateau, s'ajoute, sur l'imposante façade du Palais des Papes, une dimension visuelle et mentale : tâches de sang quand la violence jaillit, grand portrait de Staline, vision de Moscou tourbillonnant depuis les airs ou foules grondantes, sur une musique de Dimitri Chostakovitch.
Quand après avoir passé un pacte avec Woland, alias le Diable, Marguerite peut voler, c'est son corps filmé sur la scène et projeté sur la façade qui prend son envol, dans des images pleines de poésie.
Au coeur de la pièce, une question de Woland aux personnages et aux spectateurs: vos vies matérielles se sont améliorées, mais avez-vous changé à l'intérieur ? Les projecteurs éclairent alors les spectateurs qui se voient projetés sur la façade du palais et soumis à cette interrogation.
Dans un bouquet final, la façade se fend puis s'écroule avec fracas.
La construction complexe du roman est préservée et les récits s'imbriquent dans le récit. "C'est comme des poupées russes. On ouvre à l'infini", selon Simon McBurney, qui se dit fasciné par les méandres du cerveau et le rapport entre notre intériorité et le monde extérieur. "Qu'est-ce qui est le plus vrai", interroge-t-il, "l'extérieur ou le monde intérieur".
Pour lui, "le théâtre n'existe que dans la tête du spectateur", comme la folie du Maître s'entremêle à la folie du monde dans lequel il vit. Un monde où les individus disparaissent dans des cliniques psychiatriques et où l'enfer le dispute au ciel.
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/
Présenté pour la première fois en France, dans la vaste Cour d'honneur du Palais des Papes, pour ouvrir samedi le festival, l'adaptation du metteur en scène britannique raconte l'amour liant le Maître et Marguerite qui n'hésite pas à se vendre au Diable pour retrouver celui qu'elle aime.
La pièce relate aussi la souffrance du Maître, écrivain opprimé par la dictature stalinienne, la rencontre de Ponce Pilate avec Jésus et les mésaventures de personnages de la Russie stalinienne dans les années 1930/1940, étirées jusqu'à nos jours. Mésaventures d'autant plus folles que le Diable vient de débarquer à Moscou.
Ecrit puis réécrit par l'écrivain russe Mikhaïl BoulgakoV, "Le Maître et Marguerite", roman foisonnant et complexe achevé par son auteur en 1940, a été interdit en Union soviétique jusqu'en 1966. Une version censurée fut alors publiée, suivie en 1973 de l'oeuvre intégrale.
Sur scène, une action succède ou s'entremêle à une autre à un rythme haletant, tandis que les techniques les plus sophistiquées de projection vidéo se superposent à un théâtre artisanal, où un bâton représente une fenêtre qu'on ouvre ou qu'on enjambe.
Des chaises, un bureau, un lit métallique, un panneau qui se tire constituent le décor. Mais à l'action du plateau, s'ajoute, sur l'imposante façade du Palais des Papes, une dimension visuelle et mentale : tâches de sang quand la violence jaillit, grand portrait de Staline, vision de Moscou tourbillonnant depuis les airs ou foules grondantes, sur une musique de Dimitri Chostakovitch.
Quand après avoir passé un pacte avec Woland, alias le Diable, Marguerite peut voler, c'est son corps filmé sur la scène et projeté sur la façade qui prend son envol, dans des images pleines de poésie.
Au coeur de la pièce, une question de Woland aux personnages et aux spectateurs: vos vies matérielles se sont améliorées, mais avez-vous changé à l'intérieur ? Les projecteurs éclairent alors les spectateurs qui se voient projetés sur la façade du palais et soumis à cette interrogation.
Dans un bouquet final, la façade se fend puis s'écroule avec fracas.
La construction complexe du roman est préservée et les récits s'imbriquent dans le récit. "C'est comme des poupées russes. On ouvre à l'infini", selon Simon McBurney, qui se dit fasciné par les méandres du cerveau et le rapport entre notre intériorité et le monde extérieur. "Qu'est-ce qui est le plus vrai", interroge-t-il, "l'extérieur ou le monde intérieur".
Pour lui, "le théâtre n'existe que dans la tête du spectateur", comme la folie du Maître s'entremêle à la folie du monde dans lequel il vit. Un monde où les individus disparaissent dans des cliniques psychiatriques et où l'enfer le dispute au ciel.
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/
mardi 10 juillet 2012
Prometheus : un coffret événement fera le lien avec Alien
Pendant longtemps, le lien entre Alien et Prometheusest resté flou. Sir Ridley Scott entretenait lui-même le mystère. Pas vraiment un prequel, mais pas non plus le début d'une saga originale, Prometheus nourrissait avec le premier Alien une liaison incestueuse et distante (comme le confirma Scott en conférence de presse, "seules les 7 dernières minutes de Prometheus font le lien avec le premier Alien"). Mais pour la sortie home-cinéma du film, la Fox a décidé de mettre les choses au clair. En plus du film (en version 2D et 3D), le coffret Evolution : De Alien à Prometheus qui sortira le 3 octobre prochain risque de mettre plus d'un cinéphile KO.
Le site Amazon.fr permet de découvrir que ce coffret monstrueux (de 9 disques, NEUF DISQUES) livrera plus de 150 minutes de suppléments inédits sur Prometheus et permettra de se replonger dans la saga Alien. Le premier disque proposera des interviews, un commentaires audio (de Ridley Scott), 20 minutes de scènes coupées, des tonnes de galeries photos, de pré-visualisations et de vidéos virales. Et comme si cela ne suffisait pas, un deuxième disque (celui de la version 3D) proposera 120 minutes de vidéos making of découpées en 9 chapitres. Par contre, ceux qui fantasment encore sur une version longue du film devront encore patienter, puisque rien de tel n'est pour l'instant prévu sur ces Blu-Ray.
Parallèlement, 6 disques reviendront sur la saga Alien (l'origine de Prometheus) puisque le coffret contiendra les 4 films du cycle d'origine : Alien, Aliens 2, Alien 3 et Alien - La résurrection (version cinéma et version longue pour chacun bien entendu) auxquels il faut ajouter 2 disques de suppléments. Attention cependant, ces disques semblent identiques à ceux du coffret Alien Anthologie sorti il y a deux ans (même masters et même suppléments)... Mais pour ceux qui n'avaient pas acheté ce box hallucinant, la saga Alien y était décortiquée en long, en large et en travers. Du coup, le coffret Evolution s'annonce comme l'événement numérique de l'année 2012. Tout cela pour 99,98 euros.
http://www.premiere.fr/Cinema/Sorties-DVD/Actualites-DVD
Le site Amazon.fr permet de découvrir que ce coffret monstrueux (de 9 disques, NEUF DISQUES) livrera plus de 150 minutes de suppléments inédits sur Prometheus et permettra de se replonger dans la saga Alien. Le premier disque proposera des interviews, un commentaires audio (de Ridley Scott), 20 minutes de scènes coupées, des tonnes de galeries photos, de pré-visualisations et de vidéos virales. Et comme si cela ne suffisait pas, un deuxième disque (celui de la version 3D) proposera 120 minutes de vidéos making of découpées en 9 chapitres. Par contre, ceux qui fantasment encore sur une version longue du film devront encore patienter, puisque rien de tel n'est pour l'instant prévu sur ces Blu-Ray.
Parallèlement, 6 disques reviendront sur la saga Alien (l'origine de Prometheus) puisque le coffret contiendra les 4 films du cycle d'origine : Alien, Aliens 2, Alien 3 et Alien - La résurrection (version cinéma et version longue pour chacun bien entendu) auxquels il faut ajouter 2 disques de suppléments. Attention cependant, ces disques semblent identiques à ceux du coffret Alien Anthologie sorti il y a deux ans (même masters et même suppléments)... Mais pour ceux qui n'avaient pas acheté ce box hallucinant, la saga Alien y était décortiquée en long, en large et en travers. Du coup, le coffret Evolution s'annonce comme l'événement numérique de l'année 2012. Tout cela pour 99,98 euros.
http://www.premiere.fr/Cinema/Sorties-DVD/Actualites-DVD
lundi 9 juillet 2012
Une exposition en faveur des enfants des rues à travers le monde
Une exposition de 4 peintres issues de la même famille sur 3 générations. La médiathèque de Sisteron accueille jusqu'au 15 juillet prochain la famille Honnorat très connue dans les alentours. L'exposition est à but caritatif
L’exposition des Honnorat a commencé depuis le lundi 2 juillet et demeure visible à la médiathèque jusqu’au dimanche 15 juillet. Une centaine d’œuvres sont rassemblées des 3 générations de peintres aux techniques différentes. Quatre artistes peintres de la même famille, quatre techniques et styles différents, quatre personnalités affirmées.
L’exposition des Honnorat a commencé depuis le lundi 2 juillet et demeure visible à la médiathèque jusqu’au dimanche 15 juillet. Une centaine d’œuvres sont rassemblées des 3 générations de peintres aux techniques différentes. Quatre artistes peintres de la même famille, quatre techniques et styles différents, quatre personnalités affirmées.
Jean est né en 1888 et décédé en 1969. Il est la première génération d’artistes. Il est nommé le peintre de la lumière car il la saisit avec douceur. Elle inonde la citadelle de Sisteron jusqu’au vieux port de Marseille. Pierre est né en 1921 et décédé en 1997. Il est la seconde génération. C’est le fils de Jean. Il crée des personnages ou des scènes de vie avec un pinceau plus vif, comme les couleurs qu’il utilise. Geneviève est l’épouse de Pierre. Elle est née en 1928. Elle peint des tableaux chatoyants. Ses actions en faveur de l’humanitaire lui vaut de recevoir en 2003 le trophée des Justes. Denis est la troisième génération. Il est né en 1956. Il s’inspire du Suminagashi japonais et l’encre de Chine forme des marbrures.
L’exposition a pour but d’apporter des fonds à l’association "Terre Neuve" pour les enfants qui sont dans la rue à travers le monde.
dimanche 8 juillet 2012
Festival d’Anjou – Le Maine et Loire est enjoué
Anjou : deuxième festival français de théâtre
Point d’orgue de la saison culturelle pour le département, le Festival d’Anjou est le deuxième festival de théâtre de France. Avec près de 26 000 spectateurs en 2011, l’événement a battu son record de fréquentation l’an passé grâce en partie à une programmation alliant têtes d’affiche, pièces en avant-première et créations amateurs.
« Le festival est une énorme machine à mettre en place que cela soit au niveau de la logistique, avec plus de 60 personnes à gérer, mais également d’un point de vue budgétaire. Cette année encore, le budget est conséquent puisque ce sont 1,7 millions d’euros qui ont été nécessaires pour mettre en place l’événement », souligne Cyrille Gilbert, directeur de l'EPCC en charge de la direction du festival.
Tous les ans, sur près d’un mois, le Festival d’Anjou offre au public une programmation riche et éclectique avec des spectacles joués en plein air, dans des sites historiques et pittoresques, comme les Arènes de Doué-la-Fontaine, les cloîtres du Ronceray ou encore le château de Plessis-Macé.
Un festival en grande partie autofinancé
Fait rare dans la sphère culturelle, l’événement réussit à s’autofinancer à hauteur de 990 000 euros, soit 55% du budget global (1,7 millions d’euros).
« C’est grâce aux spectateurs, toujours plus nombreux, et à nos partenaires privés qui ont eux aussi augmenté cette année. Pour vous donner des chiffres, la billetterie a déjà engendré 550 000 euros de recettes (hors taxe) et nos partenariats s’élèvent aujourd’hui à 440 000 euros », précise Cyrille Gilbert.
Symbole fort de la région et du département du Maine et Loire, le festival a toujours était soutenu par le Conseil Général qui finance un tiers du budget global. Une aide financière sans laquelle il ne pourrait exister.
« Le département est un partenaire historique et essentiel pour nous. Même dans le contexte de restriction budgétaire que l’on connaît, l’aide financière du Conseil Général n’a pas diminué cette année et s’est même maintenue. Il finance 45% du budget global soit près de 760 000 euros. Une fois de plus, le département s’impose comme l’un de nos piliers et nous prouve sa fidélité. A l’inverse, l’Etat ne nous a rien donné et la Région Pays de la Loire ne nous a versé que 18 000 euros… J’imagine qu’elle a préféré soutenir d’autres actions culturelles… Je ne porte pas un jugement, c’est un simple constat », tient à souligner Cyrille Gilbert.
Sur les 1,7 millions d’euros de budget, 900 000 euros sont consacrés à la masse salariale, à savoir l’équipe administrative du festival mais également les techniciens et les comédiens, qu’il faut loger et nourrir pendant plusieurs jours.
« On a toujours tenu à offrir un accueil chaleureux et d’excellente qualité aux troupes et au public. Aucune économie n’est faite à ce niveau-là, explique le directeur du festival. Notre deuxième grande dépense est l’achat des spectacles, qui représente un coût de 400 000 euros cette année. Une somme conséquente qui nous permet d’offrir au public des spectacles auxquels il n’accède pas le reste de l’année. Cette somme nous permet également de participer à la production de nouvelles pièces. C’est le cas cette année avec Le Misanthrope de Molière, pièce mise en scène par Francis Huster. La création du spectacle a été finalisée chez nous et c’est ici aussi qu’a eu lieu la première », s’enthousiasme Cyrille Gilbert.
Le festival, une richesse culturelle et économique d’Angers
S’il est difficile de faire une estimation de l’impact du festival sur l’économie locale, « il est évident » pour Cyrille Gilbert qu’il contribue à dynamiser le département.
« Rien qu’en termes d’hébergements, il nous arrive parfois de devoir loger des troupes de 20 ou 30 personnes pendant 15 jours. Cela fait fonctionner les commerces, les hôtels et la restauration ».
L’événement permet également de donner à la ville d’Angers un rayonnement régional incontestable selon le directeur de l’événement : « Le festival est très bien implanté dans le département. Pour preuve, 90% de nos spectateurs viennent du Maine et Loire. Il faut dire qu’il y a une forte tradition théâtrale ici. Le festival d’Anjou est un peu notre cure théâtrale locale. »
http://info.forumdescommunes.fr/fr/actualites/1/3/culture
Point d’orgue de la saison culturelle pour le département, le Festival d’Anjou est le deuxième festival de théâtre de France. Avec près de 26 000 spectateurs en 2011, l’événement a battu son record de fréquentation l’an passé grâce en partie à une programmation alliant têtes d’affiche, pièces en avant-première et créations amateurs.
« Le festival est une énorme machine à mettre en place que cela soit au niveau de la logistique, avec plus de 60 personnes à gérer, mais également d’un point de vue budgétaire. Cette année encore, le budget est conséquent puisque ce sont 1,7 millions d’euros qui ont été nécessaires pour mettre en place l’événement », souligne Cyrille Gilbert, directeur de l'EPCC en charge de la direction du festival.
Tous les ans, sur près d’un mois, le Festival d’Anjou offre au public une programmation riche et éclectique avec des spectacles joués en plein air, dans des sites historiques et pittoresques, comme les Arènes de Doué-la-Fontaine, les cloîtres du Ronceray ou encore le château de Plessis-Macé.
Un festival en grande partie autofinancé
Fait rare dans la sphère culturelle, l’événement réussit à s’autofinancer à hauteur de 990 000 euros, soit 55% du budget global (1,7 millions d’euros).
« C’est grâce aux spectateurs, toujours plus nombreux, et à nos partenaires privés qui ont eux aussi augmenté cette année. Pour vous donner des chiffres, la billetterie a déjà engendré 550 000 euros de recettes (hors taxe) et nos partenariats s’élèvent aujourd’hui à 440 000 euros », précise Cyrille Gilbert.
Symbole fort de la région et du département du Maine et Loire, le festival a toujours était soutenu par le Conseil Général qui finance un tiers du budget global. Une aide financière sans laquelle il ne pourrait exister.
« Le département est un partenaire historique et essentiel pour nous. Même dans le contexte de restriction budgétaire que l’on connaît, l’aide financière du Conseil Général n’a pas diminué cette année et s’est même maintenue. Il finance 45% du budget global soit près de 760 000 euros. Une fois de plus, le département s’impose comme l’un de nos piliers et nous prouve sa fidélité. A l’inverse, l’Etat ne nous a rien donné et la Région Pays de la Loire ne nous a versé que 18 000 euros… J’imagine qu’elle a préféré soutenir d’autres actions culturelles… Je ne porte pas un jugement, c’est un simple constat », tient à souligner Cyrille Gilbert.
Sur les 1,7 millions d’euros de budget, 900 000 euros sont consacrés à la masse salariale, à savoir l’équipe administrative du festival mais également les techniciens et les comédiens, qu’il faut loger et nourrir pendant plusieurs jours.
« On a toujours tenu à offrir un accueil chaleureux et d’excellente qualité aux troupes et au public. Aucune économie n’est faite à ce niveau-là, explique le directeur du festival. Notre deuxième grande dépense est l’achat des spectacles, qui représente un coût de 400 000 euros cette année. Une somme conséquente qui nous permet d’offrir au public des spectacles auxquels il n’accède pas le reste de l’année. Cette somme nous permet également de participer à la production de nouvelles pièces. C’est le cas cette année avec Le Misanthrope de Molière, pièce mise en scène par Francis Huster. La création du spectacle a été finalisée chez nous et c’est ici aussi qu’a eu lieu la première », s’enthousiasme Cyrille Gilbert.
Le festival, une richesse culturelle et économique d’Angers
S’il est difficile de faire une estimation de l’impact du festival sur l’économie locale, « il est évident » pour Cyrille Gilbert qu’il contribue à dynamiser le département.
« Rien qu’en termes d’hébergements, il nous arrive parfois de devoir loger des troupes de 20 ou 30 personnes pendant 15 jours. Cela fait fonctionner les commerces, les hôtels et la restauration ».
L’événement permet également de donner à la ville d’Angers un rayonnement régional incontestable selon le directeur de l’événement : « Le festival est très bien implanté dans le département. Pour preuve, 90% de nos spectateurs viennent du Maine et Loire. Il faut dire qu’il y a une forte tradition théâtrale ici. Le festival d’Anjou est un peu notre cure théâtrale locale. »
http://info.forumdescommunes.fr/fr/actualites/1/3/culture
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