samedi 25 juin 2011

Fête de la myrtille, première

LORS de la fête de la myrtille, le dimanche 3 juillet, sur le site du Moulin d'Ohis, ces baies noires seront déclinées en de nombreuses créations.
« La confrérie du pissenlit organise cette fête dont le but est de réaliser quelques bénéfices qui seront alors reversés au club de football d'Ohis », présente Daniel Gibaru, grand maître de cette confrérie.
Et de citer donc quelques produits : le pâté aux myrtilles du charcutier hirsonnais Didier Plat, la glace à la myrtille, ou encore le pain brioché du même fruit, de Brigitte Bourry, épicière à Ohis.
Et Daniel Gibaru de poursuivre : « Nous mettrons l'accent sur nos produits, comme la bière, la confiture, la moutarde, le sirop, mais aussi les tartes, fabriquées par un véritable boulanger-pâtissier, les yaourts, produits eux dans une ferme d'Etrœungt. »
Et puis, le 3 juillet, il sera aussi possible d'acheter des myrtilles fraîches, grâce à un commerçant spécialisé venu de Laon.

Un fruit trop méconnu



Outre la brocante (inscriptions au 03.23.97.91.72), une quinzaine de commerçants et artisans prendront place dans le chapiteau installé aux abords du moulin (on citera des produits de Provence, un spécialiste des bougies, un artisan du bois, un fleuriste, etc.).
Et ce jour-là, il sera aussi possible de déguster la martiflette au maroilles de pissenlit.
Et d'ajouter : « Cette nouvelle fête est pour nous un saut dans l'inconnu. Nous sommes enthousiastes, mais aussi prudents, car il s'agit d'une part d'une première, d'autre part, ce fruit est assez méconnu en Thiérache et enfin, il faudra faire en fonction de la météo et de la concurrence des autres fêtes. Et puis, lors de la première fête du pissenlit, nous étions dans les mêmes dispositions. »
Daniel Gibaru conclut en soulignant qu'il ne demande rien à la municipalité d'Ohis : « Si ce n'est d'apporter un compteur forain et de tondre le terrain. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/fete-de-la-myrtille-premiere

51es Fêtes à Jean de la Fontaine / Le fabuliste fait son cirque

Les festivités sur le thème des animaux du cirque débutent aujourd'hui et pour trois jours. Voici les animations qu'il ne faut pas rater cette année.

JEAN DE LA FONTAINE troquera-t-il, cette année, sa veste et sa perruque pour le costume de M. Loyal pour ces 51es fêtes sur le thème des animaux du cirque ? Réponse samedi après-midi, à 16 h 15, devant la maison natale du fabuliste avant le traditionnel défilé jusqu'à l'hôtel de ville pour la remise des clés de la cité des fables au comité organisateur.
Les festivités commencent, néanmoins, aujourd'hui avec des animations sur le marché, place de l'Hôtel-de-Ville. Le rendez-vous est ensuite fixé à Brasles pour la soirée d'ouverture de la 51e édition des fêtes à Jean. Spectacles musicale et de jonglage à partir de 18 h 30, suivi de concerts à l'Espace culturel de Brasles à 20 h 30.

Fables version jazz

Les textes du fabuliste seront revisités par le groupe vocal Jazzafable, avec la participation du groupe de théâtre les Bionautes. Le chanteur et guitariste, Pierre Bensusan, clôturera cette soirée en musique. (Entrée 15 euros).
Pour admirer les douze fanfares participantes, il faudra attendre samedi après-midi (17 h 15). On note la présence de l'Amicale des sapeurs-pompiers de Schleithal (Bas-Rhin) et la Clique l'Espoir de Vaudricourt. Cette dernière, troupe originaire de la Somme, a « insisté pour participer à ces fêtes », confie Sophie Rigonnot, du comité organisateur. Il faut croire que la manifestation castelle jouit aujourd'hui d'une réputation nationale. Les prestations des fanfares seront entrecoupées de numéros de cirque (sans animaux vivants, les seuls qui s'en approcheront, seront en papier crépon exposés sur les chars).
Dimanche matin, réveil tonique avec les aubades dans différents lieux publics castels dont le Jardin des petits-prés ou la rue Charles-Martel. Essômes-sur-Marne, Fère-en-Tardenois et Mont-Saint-Père recevront aussi la visite de fanfares à 10 heures.

Péniche annulée

A 14 heures, il sera temps de se placer pour la Parade de Monsieur Jean de La Fontaine suivi de quatorze chars. Le nombre de chars en augmentation constante depuis 3 ans, enchante les organisateurs. Les fêtes se clôtureront - comme la tradition le veut - par un feu d'artifice en bords Marne. Une création spéciale et unique sur le thème du cirque (23 heures). Seule la venue de la péniche pour le concert de l'orchestre d'harmonie a été annulée (lire par ailleurs).
« Le projet n'a pu aboutir pour des raisons financières », explique Sophie Rigonnot « Nous voulions bien être porteurs du projet mais pas être les seuls à s'investir. Faire venir la péniche pour 45 minutes de concert pour un coût de 3 600 €, c'était déraisonnable. Le comité des fêtes reste vigilant surtout avec ses finances. »
Ce détail selon les organisateurs ne devrait pas gâcher les fêtes à Jean, qui préfèrent décidément la terre ferme.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/51es-fetes-a-jean-de-la-fontaine-le-fabuliste-fait-son-cirque

vendredi 24 juin 2011

Le succès du musée des arts premiers

L'amphithéâtre de verdure qui l'enserre a pris de l'ampleur. Cinq ans déjà, et ça pousse partout. Ça pousse, côté végétation, et ça se bouscule, côté visiteurs. Le musée du quai Branly est devenu une étape majeure dans le circuit des lieux culturels de la capitale.

Ouvert le 23 juin 2006, pour concrétiser un projet voulu par Jacques Chriac dès son élection à la présidence de la République, le musée des arts premiers a vite fait oublier, dans le succès, les polémiques qui ont précédé la gestation du projet : « Les arts d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques, longtemps considérés comme des curiosités exotiques ou de seuls specimens ethnographiques sont entrés définitivement dans le patrimoine universel des formes », se félicite Stéphane Martin, le président du musée.
Le projet architectural conçu par Jean Nouvel a pu surprendre, voire dérouter. Mais les habitués des lieux se sont vite familiarisés avec les espaces éclatés sous le regard de la tour Eiffel toute proche.
1,35 million de visiteurs
Après le phénomène de curiosité provoqué par la saison d'ouverture, qui a attiré 1,7 million de visiteurs, la fréquentation se stabilise désormais à 1,35 million de visiteurs chaque année. Plus de 300 000 objets y sont conservés, ainsi qu'un fonds exceptionnel de photographies, en provenance des cinq continents. De quoi faire venir dans les lieux le grand public mais aussi les chercheurs, les étudiants, les créateurs.
Cette confrontation et ce dialogue entre les cultures et les civilisations seront au coeur de la programmation spéciale conçue pour souffler les cinq bougies du musée. Les expositions temporaires, Maya, qui vient d'être inaugurée, Dogon et La fabrique des images, seront en accès libre et gratuit pour tous. Des activités spécifiques sont proposées : contes, ateliers, films, concerts. Et des « siestes électroniques » dans le jardin du musée, pour des DJ sets à écouter « à l'horizontale »
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Le-succes-du-musee-des-arts-premiers-_3639-1845396_actu.Htm

jeudi 23 juin 2011

Planétarium de Bretagne. «Voyage au coeur du Moyen Âge»

La visite virtuelle des édifices médiévaux des Côtes-d'Armor, proposée par le Planétarium de Bretagne cet été, promet un spectacle vidéo très haute définition, de grande qualité historique, où le spectateur sera baigné par le décor.
Effet «oeil-de-poisson» garanti! L'image, photographiée à partir d'un objectif «fisheye» (angle de champ proche de 180°), est projetée sur un écran hémisphérique pour conserver les dimensions. Le spectateur est cerné par l'image et se retrouve ici, non au coeur du système solaire, de la Lune ou parmi les astres mais au coeur du patrimoine médiéval. Avec son nouveau système de projection numérique très haute définition, le meilleur en Europe, le Planétarium de Bretagne, à Pleumeur-Bodou, offre une vision du ciel et de l'espace d'une qualité exceptionnelle. Dans son dôme de 20m de diamètre et une salle de projection pouvant accueillir jusqu'à 280personnes, il est aussi le 3e plus grand planétarium de France. Quatrième site le plus visité du département, il reçoit chaque année près de 45.000 visiteurs, essentiellement l'été.

Projet de vulgarisation du patrimoine

Afin de diversifier son offre de spectacles, il vient de monter, en partenariat avec le service patrimoine du conseil général, «Le voyage au coeur du MoyenÂge», une valorisation du patrimoine médiéval qui fait suite à l'opération «Abbayes et châteaux» dont il constitue le volet touristique. Patrick Pichouron, chargé d'études et de valorisation du patrimoine, en a écrit le scénario, «sous forme de déroulé chronologique, dans l'esprit du voyage», explique-t-il.

Un véritable inventaire du patrimoine

«C'est aussi l'histoire de la Bretagne, de l'An Mil à la fin de son indépendance, divisée en séquences. On commence par la motte castrale, les édifices religieux, l'architecture militaire de pierre, puis on passe au développement de villes comme Dinan, Moncontour, Tréguier, Guingamp et on finit en apothéose par l'embellie artistique des édifices religieux au XVesiècle, avec de petits trésors», résume l'historien guingampais, passionné de patrimoine local. «Personne ne connaîtra tous les sites qui sont présentés, c'est un véritable inventaire», poursuit-il, citant, par exemple, parmi «les pièces rares», les jubés de Notre-Dame de Kerfons de Ploubezre, de la chapelle Saint-Pabu à Saint-Guen ou de la chapelle de Loc-Envel. Des éléments paysagers sont également intégrés à la présentation, tels que l'estuaire du Trieux et le château de La Roche-Jagu ou les landes de Lancerff,àPlourivo.

Une déambulation à travers le département

Une animation en 3D permet une restitution du principe de la motte où, sur un site entièrement boisé, on efface les arbres, pour en restituer une. Des sites aussi remarquables que différents, entre le temple de Lanleff, les peintures de l'église de Morieux, la basilique Notre-Dame de Guingamp, l'abbaye de Beauport, le donjon de Dinan ou le château de Fort-la-Latte. Une véritable déambulation à travers le département, en 50minutes!«Cela permet de découvrir des sites dont beaucoup ne sont pas accessibles aux personnes à mobilité réduite», note aussi le directeur du planétarium, Vincent Daniou, qui ajoute que ce spectacle sera à nouveau visible lors des journées du patrimoine, le 18septembre.

Pratique Le lundi, à 12h, du 4juillet au 29août. À partir de 10 ans et plus. Tarif pour une séance: adulte 7EUR, réduit 5,50EUR, famille 19,60EUR, enfant supplémentaire2,80EUR. Réservation au 02.96.15.80.30. www.planetarium-bretagne.fr

http://www.letelegramme.com/ig/loisirs/agenda/planetarium-de-bretagne-voyage-au-coeur-du-moyen-age-22-06-2011-1344467.php

mercredi 22 juin 2011

Le Festival Interceltique reprend ses droits le 5 août 2011

Du 5 au 14 août prochains, la paisible commune de Lorient vibrera au rythme du Festival Interceltique. Lors de ces dix jours de concerts, le public verra sur scène plus de 4500 artistes incluant des chanteurs, des musiciens ainsi que des danseurs. Lors du précédent festival, plus de 800.000 personnes avaient fait le déplacement, et il y a fort à parier que cette année, il y aura encore plus de spectateurs.

Outre des concerts, le Festival Interceltique propose également une parade regroupant les différentes régions celtes. Ce grand rassemblement aura lieu le dimanche 7 août et il sera retransmis sur France 3. À savoir que les Nuits Interceltiques, qui se tiendront du 6 au 11 août, seront également diffusées par cette chaîne.

Le Festival Interceltique est fin prêt pour une nouvelle édition. Ceux désirant assister à cette rencontre sont vivement conseillés d’acheter leurs billets au plus vite. Pour ce faire, ils peuvent consulter le site officiel de cet événement ; ils y trouveront l’adresse des divers sites où ils pourront se procurer leurs tickets. Ceux qui le souhaitent peuvent aussi se rendre dans les points de vente habituels.
http://www.referencement-internet-web.com/27002-les-festival-interceltique-reprend-ses-droits-le-5-aout-2011.html

mardi 21 juin 2011

Opéra de Lille : Monteverdi, Haendel, Stravinski, Pascal Dusapin...

Six productions d'opéras (dont deux créations), des titres venus du baroque (Monteverdi, Haendel), du répertoire (Massenet) et du contemporain (Dusapin) : l'opéra de Lille annonce une saison plurielle, ce qui est sa mission. Une recette qui fonctionne plutôt bien si on regarde du côté des chiffres de fréquentation : 60 000 spectateurs cette année, 20 000 sur les seuls Happy Days, des taux de remplissage plus que satisfaisants (98,9 % pour La Métamorphose il y a quelques mois), un quart des abonnés âgés de moins de 25 ans. Une recette à développer encore.      
> Opéras. D'une production à l'autre, il y aura croisement de styles et des retrouvailles avec les fidèles de la maison. Les deux machines baroques - Agrippine de Haendel (novembre), Le Couronnement de Poppée, de Monteverdi (mars) -, seront menées par Emmanuelle Haïm et le Concert d'Astrée : Agrippine sera mis en scène par Jean-Yves Ruf (on se souvient de son bel Eugène Onéguine), Le Couronnement de Poppée par Jean-François Sivadier, dont on va beaucoup parler cette année au festival d'Aix avec une Traviata (à Lille, ce sera son cinquième opéra). Et un autre dénominateur commun : la soprano Sonya Yoncheva qui sera Poppée dans les deux opéras.
The Rake's Progress (la carrière d'un libertin) de Stravinski (octobre), opéra rarement donné, sera dirigé par Arie Van Beek, nouveau chef de l'Orchestre de Picardie. La mise en scène sera signée David Lescot : ce sera sa première entrée à l'opéra.
Trois créations contemporaines : Austerlitz, un voyage d'enfance, de Jérôme Combier avec l'ensemble Ictus, créé également cet été au festival d'Aix (novembre), Le Tour d'écrou, Benjamin Britten, direction musicale de Jean-Luc Tingaud, une production de La Clef des chants (décembre), Passion de Pascal Dusapin (février), mise en scène chorégraphiée par Sasha Waltz, reprise d'une production du Théâtre des Champs-Élysées (la suite du bouleversant Medea donné il y a deux ans).
Avec Cendrillon (Massenet), on revient de plain-pied dans le répertoire romantique et féérique : cette coproduction avec le Théâtre royal de la Monnaie de Bruxelles, Covent Garden de Londres, le Théâtre du Liceu de Barcelone et l'opéra de Santa Fe sera mis en scène par Laurent Pelly (déjà vu quant à lui au Théâtre du Nord), l'Orchestre national de Lille sera dirigé par Claude Schnitzler (mai).
> Danse. Anne Teresa de Keersmaker reprendra Cesena, sa création du festival d'Avignon de cet été 2011 : six chanteurs, des danseurs dans les lumières de l'aube (novembre), Maguy Marin avec sa dernière création Salves (avril), Alain Buffard viendra pour la première fois à l'opéra de Lille avec une pièce intitulée Baron samedi (avril). Christian Rizzo donnera sa dernière collaboration à Lille, Le bénéfice du doute (janvier). Un peu avant (novembre), deux dates pour découvrir la danse indienne avec le Bharata natyam (avec Attacafa).
> Concerts. On retrouvera le Concert d'Astrée avec La Création de Haydn (décembre), les jeunes musiciens du Cercle de l'Harmonie pour un programme Bach (novembre), les quatuors Prazak (mars), Diotima avec la soprano Sandrine Piau (avril), Maodigliani (juin). Des récitals : la soprano finlandaise Soile Isokoski (octobre), les mezzos en duo Karine Deshayes et Delphine Haidan (janvier). Ainsi que la programmation des concerts du mercredi à 18 h.
L'on n'oubliera pas trois Happy Days, une trentaine de rendez-vous autour des spectacles et hors les murs. Et des formules d'abonnements en de multiples déclinaisons.
Quelques points de comparaison pour finir : à l'opéra de Lyon, maison ancienne, qui propose une quinzaine d'opéras plus une copieuse saison musicale, les places les plus chères sont à 92 euros. À Dijon, maison plus récente avec laquelle Lille mènera cette année de nombreuses coproductions, les places les plus chères sont à 75 euros. À Lille, elles sont à 64 euros.
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/20/article_opera-de-lille-monteverdi-haendel-stravi.shtml

lundi 20 juin 2011

Mariage d'Albert et de Charlene : Monaco promet une fête populaire

Pavoisée aux couleurs monégasques et sud-africaines, Monaco promet « des heures historiques » les 1er et 2 juillet pour le mariage du prince Albert II et de sa fiancée Charlene, deux jours de cérémonies où sont attendues des têtes couronnées mais qui se veut aussi fête populaire.

À deux semaines de l'événement, des bannières annoncent déjà « Mariage princier - Juillet 2011 ». Dans les boutiques, les porcelaines aux initiales des mariés sont apparues, tandis qu'à l'opéra, on déboulonne les sièges pour laisser place au bal.
« 48 heures historiques », promet la direction du tourisme, qui espère la venue de 200 000 visiteurs dans ce petit territoire peuplé de seulement 35 000 résidents. Pour l'occasion, bus et parkings seront gratuits et les trains circuleront jusqu'à l'aube.
Après avoir assisté jeudi 30 juin à un concert des Eagles, réservé aux habitants et transfrontaliers, le prince Albert, 53 ans, et la S ud-Africaine Charlene Wittstock, ancienne championne de natation de 33 ans, seront mariés civilement le lendemain, à 17 heures , dans la salle du trône du palais.
Après une apparition au balcon, ils rejoindront leurs quelque 6 000 sujets de nationalité monégasque réunis sur la place et régalés notamment de mets sud-africains, avant un concert nocturne de Jean-Michel Jarre sur le port.
Samedi, place à la cérémonie religieuse, célébrée non en la cathédrale des noces de Grace et Rainier, mais en plein air dans la Cour d'honneur du palais. Un office retransmis sur grands écrans dans la ville, avec la participation évoquée de la soprano américaine Renee Fleming et plus de 4 300 invités, « épaules couvertes » pour les femmes.
Parmi les personnalités confirmées, Karl Lagerfeld, Inès de la Fressange, le président de la Fédération internationale de l'automobile Jean Todt, celui du CIO Jacques Rogge, le roi de Suède, le président libanais Michel Sleimane, la présidente irlandaise Mary McAleese.
Nicolas Sarkozy sera présent, selon son entourage, mais rien n'est décidé pour son épouse. Le prince William et Catherine seront en voyage officiel au Canada.

Un enfant bientôt ?


Le couple traversera ensuite la ville - en Lexus hybride décapotable - jusqu'à une chapelle où la mariée déposera son bouquet.
Le soir, le dîner sur les terrasses du casino aura été concocté par le Monégasque d'adoption Alain Ducasse, avant un feu d'artifice et le bal.
Un événement minuté, suivi par des médias du monde entier (1 200 demandes d'accréditation), où tout semble avoir été prévu, du timbre à l'effigie du couple aux partenariats avec des marques de luxe. Quant à la robe, le nom d'Armani a circulé mais le palais garde le secret.
Les futurs époux s'étaient rencontrés en 2000 lors d'un meeting de natation à Monaco. À nouveau réunis cinq ans plus tard, ils ont officialisé leur relation en 2006, des photos montrant la jeune femme la tête sur l'épaule de son prince aux JO de Turin.
Issue de la classe moyenne - « Une famille normale, avec ses valeurs », dit Charlene - , la future princesse partage avec son fiancé le goût du sport et le sens de l'humour, selon lui.
La jeune femme, convertie au catholicisme, assure ne pas redouter le protocole, jugeant plus contraignant d'apprendre le français, et elle espère « avoir un enfant bientôt ».
http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2011/06/19/article_mariage-d-albert-et-de-charlene-monaco-p.shtml

dimanche 19 juin 2011

20e F'Estival des musiques d'ici et d'ailleurs Cinquante concerts gratuits

La physionomie de Châlons change. Ci et là poussent des scènes musicales, prémices de la Fête de la musique à laquelle succèdera le F'Estival des musiques d'ici et d'ailleurs.
FAUDEL, Paris Combo, TéTé, Souad Massi, Anis, Saï Saï, Ariane Moffatt, Brigitte, Ben l'Oncle Soul…
Vous les reconnaissez ?
Des artistes aujourd'hui renommés, ayant tous pour particularité d'avoir fait une halte dans la ville préfecture pendant l'une des dix-neuf éditions passées du F'Estival des musiques d'ici et d'ailleurs.
Tremplin musical pour les nouveaux talents, cette 20e édition de la manifestation s'annonce forcément prometteuse.
Madjo, John Grape, Marcus & the Music, Carine Enseng, Imany, Alessandra Leao, Ndidi O… Sont autant de références à suivre de prêt.
Cinquante concerts au total, du samedi 25 juin au dimanche 31 juillet. En accès libre, il va de soit. Le cheval de bataille de Patrick Legouix, directeur artistique de Musiques sur la ville.
Les concerts seront principalement donnés sur les places Foch et de la République, mais aussi au Grand jard, ainsi que dans les quartiers Schmit, Orléans et du Verbeau pour ce qui est de Châlons.
D'autres le seront par ailleurs à Fagnières, Sarry, Saint-Martin-sur-le-Pré, Tours-sur-Marne et Sainte-Ménehould.
A suivre, le programme. Histoire d'avoir un premier aperçu.
S.B.
n Prenez note
• Samedi 25 juin
- à 19 heures, place de la République : Les Gars dans l'coin.
- à 21 heures, place Foch : Magnifico.
• Dimanche 26 juin
- à 17 heures, place de la République : Boya.
• Mardi 28 juin
- à 21 heures, esplanade du CSC du Verbeau : Moussa Coulibaly.
• Mercredi 29 juin
- à 21 heures, chemin des Sports à Saint-Martin-sur-le-Pré : Gaga Dilo.
• Jeudi 30 juin
- à 19 heures, square du quartier Orléans : Epikoi Enkor.
- à 21 heures, place Foch : Axel Krygier.
• Vendredi 1er juillet
- à 19 heures, place de la République : Elsa Kopf.
- à 21 heures, place Foch : Madjo.
• Samedi 2 juillet
- à 19 heures, place de la République : John Grape.
- à 21 heures, place Foch : My Little Cheap Dictaphone.
• Dimanche 3 juillet
- à 17 heures, place de la République : Latif Khan Trio.
• Mardi 5 juillet
- à 21 heures, place d'Austerlitz à Sainte-Ménehould : Mirrorfield.
• Mercredi 6 juillet
- à 21 heures, au stade de Sarry : La Fanfare en pétard.
• Jeudi 7 juillet / Journée de la diversité musicale
- à 19 heures, église Saint-Alpin : Coro Multifariam.
- à 21 heures, place Foch : Didier Super et sa discomobile.
• Vendredi 8 juillet
- à 19 heures, place de la République : Gentle Mystics.
- à 21 heures, place Foch : soirée « Rock avenir » avec Marcus & the Music et SpiralDogma.
• Samedi 9 juillet
- à 19 heures, place de la République : Kerjostyle and the Mothafonk.
- à 21 heures, place Foch : Blitz the Ambassador.
• Dimanche 10 juillet
- à 17 heures, kiosque du Grand Jard : Los GuaSoneros.
• Mardi 12 juillet
- à 21 heures, kiosque de la mairie à Tours-sur-Marne : The Mamaku Project.
• Mercredi 13 juillet
- à 22 heures, place d'Austerliz à Sainte-Ménehould : Les Enfants du Bal.
• Jeudi 14 juillet
- à 21 heures, place Foch : No Mad ?
• Vendredi 15 juillet
- à 19 heures, place de la République : Billie.
- à 21 heures, place Foch : Carine Erseng.
• Samedi 16 juillet
- à 19 heures, place de la République : Imany.
- à 21 heures, place Foch : June & Lula.
• Dimanche 17 juillet
- à 17 heures, place de la République : Alessandra Leao.
• Mardi 19 juillet
- à 19 heures, place d'Austerlizt à Sainte-Ménehould : Sabots d'érable.
- à 21 heures, place d'Austerliz à Sainte-Ménehould : Suroît.
• Mercredi 20 juillet
- à 21 heures, esplanade du centre André-Gallois à Fagnières : Ziskakan.

• Jeudi 21 juillet
- à 21 heures, place Foch : Ablaye Ndiaye Thiossane.
• Vendredi 22 juillet
- à 19 heures, place de la République : Ndidi O.
- à 21 heures, place Foch : Tamikrest.
• Samedi 23 juillet
- à 19 heures, place de la République : Nouraï.
- à 21 heures, place Foch : Orchestre national de Barbès.
• Dimanche 24 juillet
- à 17 heures, place de la République : Les Jeunes Tréteaux du Tchad.
www.musiques-ici-ailleurs.com

http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/20e-festival-des-musiques-dici-et-dailleurs-cinquante-concerts-gratuits